Friday, October 2, 2020

LE BOUT D'HOMME JUSTIN BITAKWIRA DÉPASSÉ



À la suite d'installation et officialisation de la commune rurale de Minembwe , le Notable d'Uvira Justin bitakwara bihoranya n ' a plus de capacité de rétention politique.   Ni celle du langage diplomatique . Il parle comme un vulgaire citoyen. 

Accusant le ministre de la défense , présent à Minembwe pendant l'événement,  de HAUTE TRAHISON.  Lui et le rassemblement des gens de  Fayulu,  RAFA, en signe,  ils appellent à la démission du ministre d'État monsieur Azarias Ruberwa ensemble avec le gouverneur du sud kivu,  Kasi Ngwabidje. Bitakwira et Fayulu parlent  confusément de la commune de Minembwe.  Mêlant le Rwandais  Paul Kagame et l'Ougandais Yoweri Museveni dans des histoires internes de la RDCONGO . 

Et comme si cela ne suffisait pas , ils suggèrent à l' ouverture d'un corridor pour un retour massif et définitif des Tutsi congolais.  

Décidément, à considérer les fusillades qui se sont produites dans le centre Minembwe,  à Madegu,  conséquemment aux incitations aux meurtres et assassinats des banyamulenge visés  par la logorrhée  communicationnelle de l'homme aux allules d' un pygmée ayant perdu la tête par une chasse ratée,  harassante et longue; monsieur bitakwira  certes, semble clore la page de l' existence des Tutsi en République démocratique du Congo. 

Quand bien même l'ethnie tutsi figure sur l'attlas jeune Afrique parmi les peuples vivant dans le sous-continent.  

Pour mieux le faire,  la violence meurtrière commence par les commerçants bashi vivant à Minembwe. Eux qui ont à  la fois refusé d'abandonner le milieu pour donner prétexte à la non cohabitation pacifique entre les  banyamulenge avec d'autres tribus. Mais aussi eux qui ont rejeté l'adhésion aux  groupes Maimai par solidarité bantu. 

Dans  la nuit du jeudi à vendredi 02 octobre 2020, trois  commerçants bashi sont ainsi achevés par une fusillade d' un militaire du gouvernement congolais en fureur .  Un autre  militaire du gouvernement tombe également par accident dans la foulée  des cris et des  détonations d'une krachinikof aux bruits incandescents.  

Minembwe en deuil donc au lendemain de l' octroi officiel de la commune rurale. Vivement contestée par  BITAKWIRA Justin  en des termes banals et irréfléchis. 

Il accuse maître Azarias Ruberwa être descendu à Minembwe pour l' installation de la commune. Or, le  même bitakwira était descendu à Kiliba chez lui pour installation de sa commune . 
Il furmine contre le ministre de la défense de n'avoir pas capturé le col MICHEL RUKUNDA.  Le  ministre n'était pas allé se batre.  Il était dans une mission de pacification.  

Et quand bien même il se battrait ; il aurait dû commencer par les premières défections dans l'armée congolaise aujourd'hui des  chefs rebelles reconnus ostensiblement  au-delà de nos frontières.  Ce sont William YAKUTUMBA,  René,  Nyerere etc. 

Le bout d'homme semble carrément perdre la tête lorsqu'il évoque des situations invraisemblables en sa qualité d'un communicant aguerri.  

Mais cherchons vraiment à savoir si le fils à sa grand-mère est réellement  un orateur de qualité.  Ou s' il s' agit tout simplement d' une volonté farouche de compensation de son insuffisance physique par une volupté verbale mal placée et incommodée.  

BITAKWIRA Justin jure par sa mère la fin de l'existence des  tutsi dans les hauts plateaux de Minembwe.  Il pousse  les Maimai ainsi que l'armée nationale à  la violence et aux meurtres des citoyens civils dans leurs activités à  faire avancer la commune meurtrie par les affres de la guerre.  

Ce faisant , Bitakwira doit répondre devant un juge d'instruction.  Dans un délai raisonnable ne dépassant pas 3 jours. Trop c'est trop . Que le pouvoir nous dise s'il est avec le criminel  BITAKWIRA ainsi que son camarade anti-toutsi Martin Fayulu . Ou s'il est  du côté de la population civile  
victime des actes d'assassinat quotidien. Et pour rien !

Bukavu,  le 02 octobre 2020

*Jean Scohier Muhamiriza*

*Journaliste indépendant* 

À la suite d'installation et officialisation de la commune rurale de Minembwe , le Notable d'Uvira Justin bitakwara bihoranya n ' a plus de capacité de rétention politique.   Ni celle du langage diplomatique . Il parle comme un vulgaire citoyen. 

Accusant le ministre de la défense , présent à Minembwe pendant l'événement,  de HAUTE TRAHISON.  Lui et le rassemblement des gens de  Fayulu,  RAFA, en signe,  ils appellent à la démission du ministre d'État monsieur Azarias Ruberwa ensemble avec le gouverneur du sud kivu,  Kasi Ngwabidje. Bitakwira et Fayulu parlent  confusément de la commune de Minembwe.  Mêlant le Rwandais  Paul Kagame et l'Ougandais Yoweri Museveni dans des histoires internes de la RDCONGO . 

Et comme si cela ne suffisait pas , ils suggèrent à l' ouverture d'un corridor pour un retour massif et définitif des Tutsi congolais.  

Décidément, à considérer les fusillades qui se sont produites dans le centre Minembwe,  à Madegu,  conséquemment aux incitations aux meurtres et assassinats des banyamulenge visés  par la logorrhée  communicationnelle de l'homme aux allules d' un pygmée ayant perdu la tête par une chasse ratée,  harassante et longue; monsieur bitakwira  certes, semble clore la page de l' existence des Tutsi en République démocratique du Congo. 

Quand bien même l'ethnie tutsi figure sur l'attlas jeune Afrique parmi les peuples vivant dans le sous-continent.  

Pour mieux le faire,  la violence meurtrière commence par les commerçants bashi vivant à Minembwe. Eux qui ont à  la fois refusé d'abandonner le milieu pour donner prétexte à la non cohabitation pacifique entre les  banyamulenge avec d'autres tribus. Mais aussi eux qui ont rejeté l'adhésion aux  groupes Maimai par solidarité bantu. 

Dans  la nuit du jeudi à vendredi 02 octobre 2020, trois  commerçants bashi sont ainsi achevés par une fusillade d' un militaire du gouvernement congolais en fureur .  Un autre  militaire du gouvernement tombe également par accident dans la foulée  des cris et des  détonations d'une krachinikof aux bruits incandescents.  

Minembwe en deuil donc au lendemain de l' octroi officiel de la commune rurale. Vivement contestée par  BITAKWIRA Justin  en des termes banals et irréfléchis. 

Il accuse maître Azarias Ruberwa être descendu à Minembwe pour l' installation de la commune. Or, le  même bitakwira était descendu à Kiliba chez lui pour installation de sa commune . 
Il furmine contre le ministre de la défense de n'avoir pas capturé le col MICHEL RUKUNDA.  Le  ministre n'était pas allé se batre.  Il était dans une mission de pacification.  

Et quand bien même il se battrait ; il aurait dû commencer par les premières défections dans l'armée congolaise aujourd'hui des  chefs rebelles reconnus ostensiblement  au-delà de nos frontières.  Ce sont William YAKUTUMBA,  René,  Nyerere etc. 

Le bout d'homme semble carrément perdre la tête lorsqu'il évoque des situations invraisemblables en sa qualité d'un communicant aguerri.  

Mais cherchons vraiment à savoir si le fils à sa grand-mère est réellement  un orateur de qualité.  Ou s' il s' agit tout simplement d' une volonté farouche de compensation de son insuffisance physique par une volupté verbale mal placée et incommodée.  

BITAKWIRA Justin jure par sa mère la fin de l'existence des  tutsi dans les hauts plateaux de Minembwe.  Il pousse  les Maimai ainsi que l'armée nationale à  la violence et aux meurtres des citoyens civils dans leurs activités à  faire avancer la commune meurtrie par les affres de la guerre.  

Ce faisant , Bitakwira doit répondre devant un juge d'instruction.  Dans un délai raisonnable ne dépassant pas 3 jours. Trop c'est trop . Que le pouvoir nous dise s'il est avec le criminel  BITAKWIRA ainsi que son camarade anti-toutsi Martin Fayulu . Ou s'il est  du côté de la population civile  
victime des actes d'assassinat quotidien. Et pour rien !

Bukavu,  le 02 octobre 2020

*Jean Scohier Muhamiriza*

*Journaliste indépendant*

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