Thursday, July 17, 2008

L’assassinat de PILOTE RUTABARA est un crime odieux, exaspérant qui en principe doit nous servir d’une leçon.

Kigali
Juillet 17, 2008

Il existe des situations dont on manque des mots pour les dire, les expliquer ou les justifier. La mort de ce jeune qui n’a eu le tort de suivre sa petite sœur kidnappée par une horde des malfrats est un crime qui n’a pas de nom.

Au nom de quel droit ces brigands qui l’ont assassiné peuvent-ils s’arroger ? C’est une aberration voire même une naïveté de notre part de se poser une telle question. Puisque dans une jungle, telle que la RDC, il n’y a pas des lois qui protégent les faibles. C’est la loi du plus fort, cette fable est connue de nous tous.

Toutefois, pour le cas de l’espèce il y a lieu de se poser milles et une question. Ce jeune PILOTE yazize iki vraiment ? Umuntu agiye kuzaza azira nakiwe, azire abiwe ? Ce garçon n’a même pas égratigné quelqu’un, il n’a même pas voler ne fut-ce qu’une poule de quelqu’un.

Cribler des balles à quelqu’un qui n’a rien fait et qui n’est pas surtout armée (nkuko babivuze baribavuye gusenga wenda yarafite Bible, changwe se Wokovu, changwe se Indirimbo zogushimisha Imana) et qui n’a eu le tort de suivre sa petite sœur est un acte ignoble, haineux qui doit être gravé dans les annales de notre histoire. Un jour où l’autre mes chers frères, il y aura un semblant de justice, ayons la perspicacité de noter tous ces forfaits commis par des hors-la-loi.

On peut en outre se demander si cette haine, cette rancune ou cette animosité sont due à quoi ? Ce qui est sûr ce n’était pas une autodéfense. Serait-ce une ignorance (ubujiji) ? We can say no!

Cet acte ignominieux exaspère davantage car c’est de la bestialité, de la barbarie, de l’inimitié à outrance. Ce qui est certain c’est l’absence de gouvernance et d’un État digne de ce nom. C’est un illogisme de parler même de l’impunité. Qui va punir qui ? Parce qu’à y voir de près, presque, je dis bien presque, toute personne publique qui a trempé dans la politique de la transition de la RDC (militaires & politiciens) est condamnable, jusqu’au plus haut sommet de l’État. Ni plus ni moins ibyo nimiyoborere mibi. Ariko se ninde wabikora? Reka noneho twirwaneho.

D’aucuns me demandèrent de proposer des solutions ou des voies de sortie. Je ne peux dire que, le désordre qui règne dans le pays à contaminer la communauté des Banyamulenges. Au lieu de comprendre cette dynamique troublante nous nous évertuons à nous entretuer, à nous abominer. Il nous faut un nouvel ordre communautaire, comme le pays est désorganisé il nous faut notre organisation.

Cependant, je suis conscient que c’est un leurre d’esprit. En effet, comment pouvons-nous nous organiser au moment où même ceux (militaires, politiciens, intellectuels, leaders d’opinions tels que : les pasteurs et les Kapita) qui sont sensé faire quelque chose se spécialisent et se singularisent dans le clanisme et des coteries qui ne servent qu’à nous scinder davantage ?

En fin, moi je l’ai dit et je le dirais toujours nous avons une obligation morale et historique svp pour notre progéniture. Cette histoire d’assassinat de PILOTE devrait par exemple : Nous obliger de bannir à jamais la culture yo guterura. Nta Abagore baba kuriyi mailing liste kugirango dushireho urugaga rwabagore rwokurwanya tugamije kurundara burundu umucyo mubi wo guterura? Nous devons tout de même évoluer, non !

Les Pasteurs, ba Gapita babigiramo uruhare, car c’est une pratique d’un autre âge, d’une autre ère.

Cette histoire d’assassinat de PILOTE devait obliger les membres de famille de tous ceux qui ont trempé dans ce meurtre odieux de s’unir à la famille du défunt et de décrier haut et fort plus jamais ça, qu’un individu non armé soit lynché sans raison.

Bref, ce meurtre de PILOTE est un assassinat lâche qui doit être décrier par tout le monde, les enfants, les hommes et les femmes. Il nous faut une libération de l’esprit. Il faut une révolution. Un assaissinat qui a fait parlé meme nos pures ennemis?


Par Rumenge Nt. Alain

Chargé de cours au

Kigali Health Institute

Tuesday, July 15, 2008

The fourth Commemoration of the Gatumba Massacres of Congolese Tutsis Refugees in Burundi

Date: 16th August 2008 at 13:00 London time
Venue: Human Rights Action Centre, Amnesty International UK, 17-25 New Inn Yard, London EC2A 3EA.

Contextual Background
It is now four years since some 160 innocent Congolese refugees - from the Banyamulenge community –who had sought refuge at Gatumba, on Burundian territory, were cruelly slaughtered, some burned alive by a band of warlords operating in the African Great Lakes Region. Every year, survivors, community members and other people aggrieved or saddened by the event gather to honour these precious lives lost out of hatred. They also take the occasion to remind the international community that the various calls for justice have remained unfruitful.

It is generally reported that since the beginning of the armed conflict in the Democratic Republic of Congo, more than 5 million people died as direct or indirect victims of the armed conflict. All these human lives are equally valuable and cry for justice. What sets apart the Gatumba massacres from other numerous - and equally horrendous crimes committed in the country - is the fact that victims were targeted and massacred on the sole ground of their identity: they were guilty of being Tutsis. In the light of dynamics in the region in the aftermath of the Rwandan genocide, identity politics in Rwanda, Burundi and D.R. Congo have translated into national and transnational armed movements promoting ethnic hatred. Early reports of the Gatumba massacres displayed this dimension in the commission of the crime.1

This also explains the complexity of the situation of the victims: Congolese citizens under UN protection in Burundi reportedly killed by armed groups of Burundian, Rwandan and Congolese citizenship, who launched the attack from Congolese territory. This explains why no real steps have been taken by national, regional and international bodies to fully investigate and prosecute those responsible for this horrendous crime. Nearly four years after the commission of the crimes; a retrospective, critical look at the purported positive dynamics in the region (including so-called Democratic elections in Congo in 2006) does not generate any hope to members of the Banyamulenge community in general, and Gatumba survivors and victims in particular as far as justice and security are concerned. Conversely, due to the prevailing impunity, hatred campaigns directed against the community and its members are still openly conducted, including by some Congolese state officials, exposing them at the mercy of extremist groups freely operate in the region.

These killings are also illustrative of problems posed by proliferation of small arms easily accessible to any wannabe warlords in various corners of the globe. They suggest a strengthened resolve to campaign for their control and management; and for accountability for those involved in illegal arms traffic.

Ubuntu is a non-profit International Organisation, aimed at seeking peace and bridging divides in D.R Congo and the Great Lakes region at large. By getting involved in the commemoration of the Gatumba Massacre, the organization aims at raising awareness within national but mostly international fora on challenges pertaining to delivery of justice to victims of the Gatumba massacre. The organization offers an insight into regional geopolitics; more specifically an analysis of the ongoing Congolese crisis and the importance of post-conflict mechanisms; such as the proliferation of arms and the need for adequate post-conflict policies for the healing process.

The event will be relevant to: General public, academic and independent researchers, International Non-Governmental Organisations, United Nations’ representatives, Foreign affairs committee-DRC desk, Human right activists, the Great Lake Region civil society, University students, Community organisations, Inter-cultural and Religious Organisations.

On Behalf of UBUNTU
Alex Mvuka Ntung.
Programme and Partnership Manager
Felix Ndahinda
Press and Communication Officer

Monday, July 14, 2008

Santos, Masunzu et Muheto Shetani beneficieront-ils de l'amnistie pour de guerre commis au Kivu?

TON SANG DEMANDE JUSTICE, ET NOUS LA CHERCHERONS POUR TOI PILOTE, Justice oblige!

Avant d'introduire l'article ci-dessous publie par congodigital portant sur la loi d'amnistie des soldats criminels, on se demande si les gens comme Muheto surnomme "Shetani" et le general Masunzu, tous deux accusé pour les massacres de Makobola, (probablement Santos aussi) beneficierons de cette amnestie! On en doute. Mais, comme ce sont des bras droits du président Joseph Kabila, qui leur a donné le droit de tuer, violer, prendre la population de Minembwe en otage tout en bénéficiant le droit a` l'impunité, il n'est pas impossible d'envissager leur amnestie.
Une fois encore, le gouvernement Congolais prouve son incapacité d'apporter la justice a` son peuple. Des meurtres comme celui commis la semaine passée a` Minembwe dont Rutabara un jeune de 25 ans avait été assassiné par les hommes de Muheto, Santos et Muheto, sont souvent passés impunis. La population de Kabela, de vyura, de Makobola a été massacrée par les soldats criminels qui vont bientot bénéficié de cette amnistie.
Et on nous dira que c'est pour l'interet des Congolais?????
A Minembwe, comme a` Makobola, on n'acceptera pas cette genre de justice que cette fausse amnistie semble proclammer pour recompenser les criminels. Les sangs des victimes crient fort et clairs: que la justice soit faite!!!!!!!

Pour plus d'ample sur cette amnistie, veuillez lire l'article du congodigital ci-dessous:

Vote à l’Assemblée nationale de la loi sur l’amnistie pour faits de guerre commis au Kivu
Kinshasa, 14/07/2008 / Politique
Six mois après la conférence de Goma sur la paix, la sécurité et le développement dans les Kivu, l’amnistie pour faits de guerre commis dans ces provinces et qui fut coulée sous forme de loi que les groupes armés ayant participé à cette conférence avaient sollicitée vient enfin d’être votée à l’Assemblée nationale.
L’Assemblée nationale vient d’adopter le projet de loi portant amnistie pour des faits commis dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Ce lundi 14 juillet, ce sera le tour du Sénat de s’imposer le même exercice en vue d’ aboutir sans doute au même résultat. Ainsi, le Rubicon vient d’être franchi pour aller résolument vers la paix totale et durable.

Que toutes les parties prennent conscience de l’impor­tance de cet acte qui vient d’être posé. Qu’il ne s’agit nullement d’un simple fait de marketing politique. Mais d’un acte de haute portée politique.

La séance plénière du samedi 12 juillet, 1’Assemblée nationale a examiné et adopté le “ Projet de loi portant amnistie pour faits de guerre et insurrectionnels commis dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud Kivu . Ce projet de loi a été pré­senté par le ministre de la Justice et des Droits humains, Me Mutombo Bakafwa Nsenda. Dans son intervention, il a invité les députés à voter la loi pour la paix et l’unité du pays tout en précisant qu’il s’agit-là d’un contrat entre le Gouverne­ment central et les groupes armés de l’ Est.

Amnistie : le Rubicon a été franchi

Une demande en guise de repen­tance, a-t-il souligné, pour que la Nation accorde à ces groupes le pardon moyennant réparation. D’où la nécessité de n’accorder l’amnistie qu’à ceux qui l’ont sol­licitée. Il convient de rappeler que cet acte fait suite aux décisions retenues à l’issue de la Conférence sur la paix, la sécurité et le déve­loppement du Nord et du Sud-Kivu qui s’était déroulée à Goma. Ce forum avait entre autres recommandé une amnistie pour faits de guerre et insurrectionnels dans le but de mettre fin à la guerre, à l’in­sécurité et de sceller la réconcilia­tion entre les fils et filles de ces deux provinces. Il revient par con­séquent à toutes les parties visées dans cette amnistie, d’honorer leurs engagements en quittant les sentiers tortueux de la guerre, des conflits armés jusqu’à menacer l’intégrité territoriale ainsi que la souveraineté nationale.

L’Assemblée nationale s’est donc inscrite dans cette logi­que. Et au terme d’une séance vraiment houleuse, les députés ont adopté ce projet de loi. Ce lundi l4juillet, ce sera le tour du Sénat, en deuxième lecture, de s’adon­ner au même exercice pour par­venir sans nul doute au même ré­sultat que celui de l’Assemblée na­tionale.

Les causes profondes

Les faits amnistiés sont ceux commis pendant la période allant du mois de juin 2003 à la date de la promulgation de la pré­sente loi. Ceci dit, on ne peut que saluer le sens de responsabilité des députés qui, nombreux d’entre eux se sont faits violence pour privilé­gier l’intérêt national, tendre effectivement vers une paix durable et totale au Kivu. Au-delà, sur toute l’étendue de la République démo­cratique du Congo.

Mais pour donner un sens à cette amnistie, l’on ne doit jamais perdre de vue les causes profon­des de l’insécurité, des violences, des atrocités, de la présence des groupes armés négatifs dans cette partie du pays. Pas d’amnésie. Mais y songer chaque fois permettra d’accélérer les réformes sur l’Armée, les services de sécurité ; la décentralisation, l’Administra­tion publique de manière à soutenir les institutions tant nationales que régionales issues des élections. En même temps, renforcer et im­poser l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du pays.

Le plus difficile maintenant consiste à préserver cet acquis pour barrer la route à l’impunité, et surtout éviter de créer des ému­les dans d’autres provinces. Cette logique de réconciliation nationale pour une paix durable devra aller jusqu’au bout afin d’éviter des re­bondissements spectaculaires, toujours au Kivu, en Ituri au Kasaï et pourquoi pas dans le Bas-Congo.

Seul un gouvernement hau­tement responsable est à même de donner un sens à cet acte qui vient d’être signé. Pour que l’amnistie ne soit pas un simple chiffon à je­ter dans la poubelle des ordures et des oubliettes et qui se traduirait par la persistance de l’insécurité et de l’instabilité des institutions de la République.

Projet de loi portant amnistie pour faits de guerre au Kivu

L’Assemblée Nationale et le Sénat ont adopté, le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :

Article 1er : Il est accordé à tous les Congolais résidant au Congo ou à l’étranger une amnistie pour faits de guerre et insurrectionnels commis dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Article 2 : Aux termes de la présente loi, on entend par faits de guerre et insurrectionnels, les actes inhérents aux operations, militaires autorisées par les lois et coutumes de guerre qui, à l’occasion de la guerre ou de l’insurrection, ont causé un dommage à autrui.
Article 3 : La présente loi d’amnistie ne concerne pas les crimes de génocide, les crimes de guerre, et les crimes contre l’humanité.
Article 4 : La présente loi ne porte pas atteinte aux réparations civiles, aux restitutions des biens meubles et immeubles ainsi qu’aux autres droits et frais dus aux victimes des faits infractionnels amnistiés.
Article 5 : Les faits amnistiés sont ceux commis pendant la période allant du mois de juin 2003 à la date de la promulgation de la présente loi.
Article 6 : La présente loi entre en vigueur à la date de sa promulgation.
(Milor)

Publie par digitalCongo.net
Freddy Monsa Iyaka Duku/Le Potentiel

Friday, July 11, 2008

LA DERNIERE PHOTO DE RUTABARA APRES AVOIR ETE ASSASSINE SOUS L'ORDRE DU MAJOR DE LA FARDC, SANTOS A MINEMBWE



Comme promis, le journal Minembwe vous présente la derniere photo de Rutabara après son assassination. Cette photos sert comme temoignage de la barbarie dont la population Banyamulenge de Minembwe en sont victime.
C'est jeune garcons avait 25 ans. Il était un étudiant en vacances chez-eux a` Minembwe. Remplis des reves et ambitions comme tout autre jeune de son age. Mais les meurtriers qui controlent actuellement nos villages de Minembwe ne permettent plus a` nos jeunes de rever ni de vivre. Tel était le cas pour Rutabara. Alors qu'il venait de l'église suivant un group des femmes de son village, Rutabara a entendu un bris criant au secours.

Quand il a prete plus d'attention, il a vite reconnu la voix: c'était sa soeur qui criait a` haute voix demandant son secours. Ces memes group des kidnapeurs l'avaient encore kidnapper bien avant.
Brave qu'il était, Rutabara n'hésitant pas a` courir vers sa soeur qui venait d'etre enlever par un group des bandits armés. Arrivant pret de ces criminels, Rutabara a vite reconnu certains d'eux; et il a commencé a` négotier a` distance pour qu'ils laissent sa soeur s'en aller. Il ne pouvait jamais envisager que ces garcons bien que armés, pouvaient arriver a` tirer directement sur lui.

Ces meurtres, n'ont pas hésiter a` tirer sur Rutabara qui leur a prevenu de ne pas continuer ces gestes meurtrier de peur qu'ils ne lui tue pas.
Soudain, Rutabara se voie assassiner, une fois sur son bras, une deuxieme balle dans ses cotes, et une troisieme dans sa ventre!
Quelle malice? ces bourreaux n'ont pas meme penser de s'arreter apres la premiere balle ni la deuxieme quoi qu'ils voyaient clairement qu'ils tiraient sur un garcon innocent dont le seul peché était de venir au secours de sa soeur qu'ils venaient de kidnapper afin de la violer.

Rutabara savait tres bien ce que ce genre de kidnapping ou enlevement signifiait pour sa soeur, comme tout le monde le sait. Mais pour lui c'était plus que ca. Une autre de ses soeurs avait était aussi enlevée par un frere d'un de ces criminels; et sa soeur reste la femme de l'un de ces meurtriers jusqu'au jourd'hui. Il n'était pas la` quand cela était arriver a` sa soeur, et certainement qu'il ne pouvait pas laisser sa cadette soeur dans les armes de ces criminels. Pour lui c'était la vie ou la mort. Il était resolu de la liberer a` tout prix et cela fut le cas.
A quelle prix? Rutabara a bien donné sa vie pour sauver sa soeur.
Cette photo est la` pour dire a`tout le monde de temoigner le degree de criminalité que les soldats des Forces armées gouvernementale du Congo, en particulier le groupe du général Masunzu, dont les responsables directes inclu un de ces commandants, le major Santos. L'image ci-haut de Rutabara crie fort et a` haute voix pour une justice. Son sang demande justice jour et nuit.

Il incombe a` nous tous de nous assurer que cette justice soit rendue. Major Santos et ses acolytes doivent repondre a` la justice et ils payeront pour ce qu'ils ont fait, justice demande.

Akim

L'insécurité dans les Hauts Plateaux d'Itombwe, Territoire de Minembwe

Les informations provenant des sources différentes et vraisemblablement crédibles font étant des troubles dans les hauts plateaux de Mulenge à deux endroits précis à savoir:
1) Nyakirango et
2) Lurenge.

A Nyakirango il semblait qu’un Katanyama serait porté disparu, il y a quelque jours (fuite ? Mort, tué par qui ? Rien n’est connu). Ce qui a poussé le contingent qui est basé sur place à s’en prendre à la population. Ils ont pris les vaches (6), les chèvres (une vingtaine) et les moutons (une trentaine).

Tandis qu’à Lulenge on dit qu’il s’agit d’une trentaine des vaches prises par les assaillants, qui jusqu’à ce jour ne sont pas encore bien identifiés.

Au fait, les inquiétudes qui faisaient étant de l’insécurité il y a quelques jours dans les hauts plateaux viennent donc de se confirmer !



Rumenge Alain

Tuesday, July 8, 2008

Mulenge: Ya nzoka yabaye ndende igeze aho kwikoma.

By
Justin Nsenga
United States of America
July 08, 2008

>>>> Uko Njye mbibona No.001/07/08>>>>


Ubu, inkuru zivugwa mu biganiro by’abakomoka n’abatuye agace ka Mibembwe ni inkuru z’ihohoterwa, kwicwa ndetse n’agashinyaguro gakorerwa abaturage batuye mu misozi ya Mulenge. Ibi byatangiye byitwa ubugizi bwa nabi bukorwa n’ingabo za Kongo ziturka mu yandi moko, bikavugwa ko bibasiraga Abanyamulenge kubera kudahuza ubwoko no kubera ko Umututsi wese aho ari muri Kongo atotezwa.

Ubu ibintu byabaye amayobera, abo twitaga abanzi bacu ubu, barituramiye, baratureba ndetse bamwe muri bo bafite agatima kimpuhwe baratabariza bene Kanyamulenge bati nyabuneka nimureke tujye guhuza bariya Bantu. Ibi ni bimwe mubyavuzwe mu nama ya Goma, ubwo umuyobozi w’inteko Vital Kamerhe yasabaga ko haboneka “ imfura” z’abashi n’andi moko zikaba abahuza b’ubwoko. Aha ubwoko by’abanyamulenge bugeze hateye isoni ndetse nagahinda, aho ya nzoka twavutse dusanga bavuga ngo iba ndende ntiyikoma, yageze noneho aho yikoma.

Amakuru aza buri munsi, kandi buri wese azi ni uko ubu mu Minembwe, nta muntu ukigira ijambo avuga, abantu bafashwe ingwate, batunzwe n’igitsure cyabitwaga ko aribo bakagombye kubafasha no kubatabara. Abagore n’abana babakobwa ubu afatwa kungufu bakangizwa, tutavuze indwara bashobora kuba baterwa ni benshi, buri Munyamulenge aho ari ku isi ashaka igisubizo akakibura, nyamara imabraga zacu twese zishobora kugira abo zirengera.

Muri iyi nkuru turagerageza gukora isesengura ry’uburyo iki kibazo kigomba gukemurwa, kubera ko hashize hafi ibyumweru bibiri tuvuga ku rupfu rw’umusore witwa Rutabara Pilote wazize ko atabariye mushiki we wari ufashwe bunyamaswa, ndetse aho abantu batangiye kubivugira no kubisakuza, birasa naho byahaye abantu isura nyayo yuko ikibazo giteye, nyamara si ubwanone ibibazo nkibi bitubaho tukamagana, tukabisakuza, ariko umuryango w’Abanyamulenge murirusange ntugire ikintu gifatika gishobora guha inkozi zibibi amasomo.

Intangiriro y’ibi byago: Burya ngo utabizi yicwa no kutabimenya, ndetse ngo wumutsa inkuba ikagukubitira abana, ngo umurozi nawe umuhishira akakumaraho urubyaro. Abasore barimo kuduhekura nitwe twaboroye, kuva intambara ya 1996 itangira na nyuma yaho, abenshi muribo baranzwe n’ubwicanyi. Ariko icyo gihe kuberaga ko bicaga ando moko, nta Munyamulenge numwe wigeze ahaguruka ngo abiyame, mubyukuri hamwe byasaga naho barimo barengera ubwoko, ariko kandi muri bo barimo babiba imbuto yo kumena amaraso. Interahamwe zicanye mu Rwanda mu 1994 nubu ziracicana muri Kongo kubera ko uwanyoye amaraso ntayahaga.

Mwese muribuka uburyo ki twese twahagurukiye hamwe turwanirira Masunzu ubwo yari amaze kutumvikana n’ingabo z’u Rwanda, kujya inyuma ye Abanyamulenge benshi babibonagamo kurengera ubwoko bwose, ndetse no kwanga ko ubwoko bwose busuzugurwa, Masunzu yubaraweho nubwoko bwose, yewe hari nabana b’Abanyamulenge bamennye amaraso kubera kurengera Masunzu. Urugero ni abasirikare b’Abanyarwanda barasiwe Uvira ubwo bashakaga gufata Masunzu.Ibyo birasa nibyo uwitwa Muheto, alias SHETANI yakoze I Makobola, twese twaranumye, ndetse bifatwa nko kwihorera kuko hari abana b’Abanyamulenge bari baguye muri uwo muhana.

Bukeye, RCD yohereje Jules MUtebutsi mu Minembwe kugira ngo aje kurwanya Masunzu wari wariyise umwigomeke, ariko mubyukuri ntabwo masunzu yagiraga ingingo zifatika zituma ataja munsi y’amategeko n’ubuyobozi bwa gisirikare bwa RCD, ikibazo yagiraga ni kimwe gusa: RCD yari ifashijwe n’u Rwanda, Masunzu yari yarishe abasirikare b’u Rwanda abaziza ubusa, rero yabonaga ko byanga byakunda nasubira muri RCD azafatwa. Icyakora ibyo ntawe wenda yashoboraga kubibwira kubera ko cyari icyaha cye bwite,kandi icyaha ni gatozi. Yafashe umwanzuro wo kwinjiza iyo ngengabitekerezo(ideology) mu baturage ba Mulenge ababwira ko umwanzi wabo ari Umunyarwanda cangwe se RCD kuko byose kuri we byari bimwe. Abaturage babyumvise gutyo, ndetse nabana benshi bafatwa bugwate na Masunzu kubera inyungu zagatwe ke.

Intambara hagati ya Masunzu na Jules Mutebutsi ntawe utazi ibyayo, yarwanywe nabaturage, kugeza igihe RCD yitabaza ingabo z’u Rwanda nazo zatsinzwe n’abaturage.Ariko izina n’intsinzi byabaye ibya Masunzu, bimukura ku cyavu bimugeza ku ntebe y’agasuzuguro n’ubuhemu nkirya APULONI yari yiayeho. Iyo ntebe niyo Joseph KABILA yamusanzeho amuheraho isakaramento y’amaraso y’abana b’Abanyamulenge arimo va uyu munsi. NGIYI INTANGIRIRO Y’IMIBABARO UBWOKO BURIMO NONE.

Bamwe bati gute se kandi???? Iyo Masunzu ataza kwigira ikigomeke, nako iyo ataza kumena amaraso ngo ahungire mu misozi ya Minembwe, aho yari yizeye umutekano we, uyu munsi nta musirikare uba uri ruguru. Kuko aba yaragiye mu mategeko ya gisirikare akajya gukorera ahandi. Muti none se ko ari I Bukavu ni gute ahuye nibyo?? Kuba Muheto, Santos nabandi bica bakanasenya, bari mu mwanya Masunzu yari arimo imyaka ishize, Muheto aratinya ko aramutse amanutse yafatwa mpiri agashikirizwa ubutabera, kuko ga Abaturage aba civils yishe bafite ababavugira kandi dossier ye yamaze kugera aho atazayigarura niyo yaha Kabila imitwe yose y’Abanyamulenge bamwijeje.

Kuki uyu munsi Muheto,Santos bakora amahano, Masunzu arebera kandi ariwe wakagombye kubahana?? Nuko ibyo bakora nawe yabikoze, kandi aho bageze ni nkakurya ngo “ Mvuga maze nkuvemo” Masunzu yafashe inkota yica abana bamurwanyeho, uwo ninde yababarira, erega nawe aho ari ntabwo yacitse ubutabera, ikibazo gusa nuko akorana nabo atazi, kuko sinzi ko uyu munsi Masunzu ariwe uri aharengeye aho Bemba yari ari. “Imbeba irya umuhini yototera isuka.” Rero, Masunzu ubu ntashobora gutunga Muheto urutoki cangwe Santos kuko aribyo bivomesho akoresha kwa Kabila, bamuvuyemo yaba asigaye ku gasi wenyine. Uko rero niko biteye, ni urunana ( chaine) y’abagizi ba nabi, batakibabazwa namaraso yabantu, aho bageze babaye ibinya, niba “ Ntambabazi”.

Hakorwa iki ngo ako gatoreranzambi kubugome kavanweho, ndetse nako gatsiko k’abaterabwoba (terrorosts) gasamburwe?

Njye mbona kugira ngo uriya mutwe wabagizi ba nabi uhashwe, abantu bose nk’ubwoko twahagurukira hamwe, ariko rero hari bimwe by;ingenzi bigomba gukorwa nizi nzego:

1. Abanyapolitiki b”Abanyamulenge: Abanyapolitiki b’Abanyamulenge aho abri hose muri Kongo mugomba guhagurukira rimwe mugasaba ubutabera bwa gisirikare ko nufata ziriya nkozi zikibi zigahanwa. Ntibizoroha kuko abo muergera aribo bakuriye missions nkaziriya, ariko kandi mugomba gukoresha imbaraga zanyu zose, mukageza ibyo birego no muzindi nzego mpuzamahanga kubera ko ijwi ryanyu ryumvikana.

2. Abaturage batuye mu Minembwe: Nubwo bitoroshye guhangana nabo bicanyi bitwaje intwaro, ariko kandi Abanyarwanda baca umugani ngo “ akimuhana kaza imvura ihise” muhaguruke mukoreshe inzira zose zishoboka murebe ko mwaramira abatarapfa. Aha nasaba ko imiryango yajya hamwe ikagenderera ziriya nkozi zibibi nubwo bigize “bantumva” ababyeyi babo bakaba hana, ndetse bakabaca mu miryango kumugaragaro, kubera ko buriya bugome bugiye kuzatuma imiryango yangana burundu. Noneho umuntu akajya amenya ko na nyina umubyara yamuciye mu muryango we.

3. Diaspora: Ubu Abanyamulenge bari hanze y;igihugu bararuta abakirimo. Nukuvuga guhera hakurya ya Rusizi ukageza no kuyindi migabane, bagomba guhaguruka bakamagana,bagatanga ibirego, bagasaba ko Masunzu, Muheto, Santos bafatwa vuba na bwangu bagashikirizwa ubutabera.

4. Umunyamulenge wese muri rusange: Amateka yacu yaranzwe no gukingira abantu ikibaba twitwaje umuvukano, ariko rero bigeze ahantu tugomba kurenga amarangamutima (sentiments) tukareba inyungu zubwoko. Aha reka ntange urugero. Ejobundi Muheto yakingiye ikibaba bene se bari bibye ibikoresho byamashuri arimo yubakwa kuri Mugono. Bamuhungiyeho, umuryango wabo ubonye iryo shyano ufata inka zabo basore uzijyana gusaba imbabazi, bukeye Muheto aza kunyaga zanka. Nubu abo basore ibyo bibye ntibyagarutse, kandi mubyukuri amashuri yarimo yubakirwa abana b’Abanyamulenge bose. Urwo ni rumwe mungero zigayitse. Santos ibyo yakoze atanga itegeko ryo kwicana, ndetse bikaba nta kirakorwa ngo abakoze ibyaha bahanwe.Rero, niba tukigira umutima wo gukunda ubwoko tubanze dushire amasentiments ku ruhande, ikibi tucyite ikibi, icyiza nacyo tucyite cyiza, hanyuma inkozi zibibi zitwe gutyo, kandi tutabishize ku murara cangwe ngo abanaka, kuko ibyo nabyo bigiye kuzatuma ducikamo ibice kurusha.

Justin
Journal Minembwe Contributor

>>>Bizakomeza>>>>

Monday, July 7, 2008

La version vraisemblable du Scandale de l’Église du Bon Berger

J’avais promis de revenir sur l’histoire de l’Église « Bon Berger ». Voici ma compréhension des faits.

La version vraisemblable de l’histoire de l’Église du Bon Berger, fait étant des pratiques non orthodoxes qui seraient à la base de la chicane et la controverse ayant abouti à l’arrestation des pasteurs Nkundabantu et Thomas. J’ai appris par la suite que Nkundabantu est de ton clan mon cher du groupe Samson. Ce qui est dommage lorsque tu le soutiens sans avoir la vraie version des faits.

De un, il s’agit d’une affaires des pognons. Le camp de Nkundabantu & col. a accusé « à tord » - jusque-là- leur Représentant Légal de détournement des fonds. Accusation adressée aux instances habilitées de l’État (Minijuste, Minaloc & Présidence de la République ) en ignorant les échelons administratifs (Conseil d’administration & Assemblée Générale) de l’Église. Il s’est avéré par la suite que les mêmes montants dont on accusait le Représentant de détournement sont exactement les montants que le Représentant avait octroyé à ses tortionnaires comme des crédits ou des avances sur leurs salaires. L’équipe d’enquête a trouvé les preuves à l’appui des faits à la banque dont l’Église est cliente. Les pauvres tourmenteurs croyaient que l’autre (le Représentant) gère en désordre – comme ils le feront peut être – les fonds de l’Église.

De deux, cette machination diabolique « qualifions-la comme telle » est l’œuvre des mains sales qui ont mis en place un réseau quasi-mafiosique qui semble-t-il doit avoir induit en erreur ou a dupé Nkundabantu & Col. Toujours une affaire des pognons. Il semble qu’il y a des « chrétiens » hommes d’affaires et politiciens « membres » adeptes de l’Église Bon Berger (qu’aucun ne nous oblige pas de citer leurs noms) qui sollicitaient les marchés de livraison du ciment, des couleurs et du bois etc.. pour la basilique que l’Église est entrain de construire dans le Quartier chic de Nyarutarama. Il faut voir cette Église mon cher. Son emplacement (côte à côte à une concession de la première Dame du Rwanda), son coût (en tout cas en terme de plus d’un million de $ américain) seraient l’œuvre du Représentant. C’est lui qui cherche les fonds à l’étranger parmi les bailleurs des fonds, les bienfaiteurs. Pour cette histoire, le conseil d’administration a décidé autrement étant donné que l’ASBL est régie par les lois en vigueur au Rwanda. On ne donne pas un marché comme on donnait une vache naguère mu kirambi, kugatorero changwe se kumudege wa Kanyanga mon cher. La passation des marchés se fait par des offres techniques assorties dans un journal officiel. C’est ça la loi au Rwanda, comme dans tout pays qui se respecte, tels la Confédération Helvétique , l’Australie ou la Suède etc..

Chose grave de trois, (c’est ce qui énerver davantage dans cette affaire), cette bande de soi-disant chrétiens ont trompé des femmes « membres » de l’Église (deux veuves SVP) en demandant l’une d’apposer sa signature sur le document d’accusation soi-disant qu’il s’agit de l’aide qu’ils sont entrain de solliciter et qu’elle sera (l’une de veuve) parmi les premiers et les meilleurs bénéficiaires de l’aide. Pour l’autre on a carrément signé P.O à son nom. Les deux femmes ont étalés ces faits à la commission d’enquête.

De quatre, dès que les instances habilitées ont été saisies, une commission a été mise en place pour décanter la situation. Toujours, dans cette machination, le camp de Nkundabantu & col. a joué le malin tout le long du procès. Il amenait par exemple des personnes différentes de celles qu’ils avaient donné lors du processus préparatoire du procès. Ce qui prouvait aux yeux même d’un apprenti juge le manque de cohésion et de division au sein de ce camp. Bref, de l’incertitude des faits.

De cinq d’ailleurs, il semble que lors du procès, ces « soi-disant chrétiens hommes d’affaires et politiciens » se sont montrés très bavards et se sont portés même – en vain bien sûr – l’avocat du camp de Nkundabantu. L’expression mieux dite serait « se porter l’avocat du diable ». Munumve neza je ne veux pas dire que ou qualifier le camp de Nkundabantu de diable.

Par la suite, la commission d’enquête a réuni l’Assemblée générale de l’Église en date du 20/07/2008. Cette dernière s’est prononcée pour l’excommunication de six personnes du camp de Nkundabantu pour une durée d’une année. Il semble que l’humble Représentant s’était prononcé pour six mois, l’Assemblée Générale a décidé de les doubler. Ces derniers tout en sachant qu’ils étaient frappé par la mesure (car une lettre administrative leur avait été adressée) se sont permis de « GUHAGARIKIRA » sans la permission du Représentant le jour même de leur excommunication en public, en présence des hommes de l’ordre, qui n’ont pas pu supporté ce désordre sur le sol du pays des milles collines. Niko bikorwa. Kandi wakwongeraho ko bakora neza. Cette réputation est extraterritoriale. Je manque des mots pour dire autrement.

In fine, le moins que l’on puisse dire est que cette Église restait presque l’unique des « membres » qui n’avait pas encore été frappée par la malédiction de la division. L’on se rappellera de celle de Banyabyinshi de Kimisagara, du Restauration church, de Maranathan, du CEPAC du fameux pasteur Meshake qui a pris le large passant par la petite fenêtre, laissant ses brebis, ses moutons sans berger. Espérons que l’Église du « Bon berger » le restera. La liste n’est pas exhaustive, car dans le pays de milles collines, c’est plein d’Églises tribalo-ethniques des « membres » dirigées par des vrais faux pasteurs.

Pour le cas d’espèce, il faut ouvrir l’œil et le bon. Car, les raisons ou les mobiles qui souvent étaient à la base de ces querelles intestines semblent être différents pour le cas de l’Église Bon Berger. Il y a une main ou des mains sales derrière les pasteurs Nkundabantu et col. Cette coalition scélérate est hétéroclite. Composée d’hommes d’affaires et politiciens en mal de positionnement. Il semble que cette dernière catégorie des personnes est généralement réputée être vindicative.

Les jeunes pasteurs eux, même certains vieux en ont fait et font de toutes les couleurs dans le pays de milles collines mes chers frères de la diaspora. Désillusionnez-vous ! Voulez-vous qu’on vous fasse leurs récits, cas par cas ? Biteshej’isoni communauté. Pouvez-vous comprendre que les stéréotypies qui étaient naguère considérées comme des Twa au Rwanda sont actuellement transposées aux membres.

Bref, Nkundabantu & col. ont été victimes d’une affaires des pognons orchestrée par un groupe d’individus ayant l’art d’une machination quasi-mafiosique et d’une duperie diabolique (imaginez-vous mes chers frères tromper une veuve? Ndabyemera nshobora no kubihamya ko IMANA rurema ushobora byose adashobora ku laisser passer ce crime impuni) et surtout de l’incertitude des faits que les hommes de l’ordre n’ont pas pu supporté. Voilà pourquoi les Pasteurs Nkundabantu et Thomas ont été mis aux arrêts.

Mon cher ami Samson et chers frères, Nkundabantu peut avoir une moralité irréprochable, mais a été d’une naïveté morbide jusqu’à croire aux félidés dont il est le berger. C’est ça sa responsabilité. C’est dommage que c’est lui et quelques autres pauvres individus qui sont indexés, alors que les vrais commanditaires se la coulent douce.

Imana iduhezagire.

Ne jamais trahir la communauté

Rumenge Nt. Alain

La version vraisemblable de l’histoire de l’Église du Bon Berger,

Voici ma compréhension des faits.

La version vraisemblable de l’histoire de l’Église du Bon Berger, fait étant des pratiques non orthodoxes qui seraient à la base de la chicane et la controverse ayant abouti à l’arrestation des pasteurs Nkundabantu et Thomas. J’ai appris par la suite que Nkundabantu est de ton clan mon cher du groupe Samson. Ce qui est dommage lorsque tu le soutiens sans avoir la vraie version des faits.
De un, il s’agit d’une affaires des pognons. Le camp de Nkundabantu & col. a accusé « à tord » - jusque-là- leur Représentant Légal de détournement des fonds. Accusation adressée aux instances habilitées de l’État (Minijuste, Minaloc & Présidence de la République ) en ignorant les échelons administratifs (Conseil d’administration & Assemblée Générale) de l’Église. Il s’est avéré par la suite que les mêmes montants dont on accusait le Représentant de détournement sont exactement les montants que le Représentant avait octroyé à ses tortionnaires comme des crédits ou des avances sur leurs salaires. L’équipe d’enquête a trouvé les preuves à l’appui des faits à la banque dont l’Église est cliente. Les pauvres tourmenteurs croyaient que l’autre (le Représentant) gère en désordre – comme ils le feront peut être – les fonds de l’Église.
De deux, cette machination diabolique « qualifions-la comme telle » est l’œuvre des mains sales qui ont mis en place un réseau quasi-mafiosique qui semble-t-il doit avoir induit en erreur ou a dupé Nkundabantu & Col. Toujours une affaire des pognons. Il semble qu’il y a des « chrétiens » hommes d’affaires et politiciens « membres » adeptes de l’Église Bon Berger (qu’aucun ne nous oblige pas de citer leurs noms) qui sollicitaient les marchés de livraison du ciment, des couleurs et du bois etc.. pour la basilique que l’Église est entrain de construire dans le Quartier chic de Nyarutarama. Il faut voir cette Église mon cher. Son emplacement (côte à côte à une concession de la première Dame du Rwanda), son coût (en tout cas en terme de plus d’un million de $ américain) seraient l’œuvre du Représentant. C’est lui qui cherche les fonds à l’étranger parmi les bailleurs des fonds, les bienfaiteurs. Pour cette histoire, le conseil d’administration a décidé autrement étant donné que l’ASBL est régie par les lois en vigueur au Rwanda. On ne donne pas un marché comme on donnait une vache naguère mu kirambi, kugatorero changwe se kumudege wa Kanyanga mon cher. La passation des marchés se fait par des offres techniques assorties dans un journal officiel. C’est ça la loi au Rwanda, comme dans tout pays qui se respecte, tels la Confédération Helvétique , l’Australie ou la Suède etc..
Chose grave de trois, (c’est ce qui énerver davantage dans cette affaire), cette bande de soi-disant chrétiens ont trompé des femmes « membres » de l’Église (deux veuves SVP) en demandant l’une d’apposer sa signature sur le document d’accusation soi-disant qu’il s’agit de l’aide qu’ils sont entrain de solliciter et qu’elle sera (l’une de veuve) parmi les premiers et les meilleurs bénéficiaires de l’aide. Pour l’autre on a carrément signé P.O à son nom. Les deux femmes ont étalés ces faits à la commission d’enquête.
De quatre, dès que les instances habilitées ont été saisies, une commission a été mise en place pour décanter la situation. Toujours, dans cette machination, le camp de Nkundabantu & col. a joué le malin tout le long du procès. Il amenait par exemple des personnes différentes de celles qu’ils avaient donné lors du processus préparatoire du procès. Ce qui prouvait aux yeux même d’un apprenti juge le manque de cohésion et de division au sein de ce camp. Bref, de l’incertitude des faits.
De cinq d’ailleurs, il semble que lors du procès, ces « soi-disant chrétiens hommes d’affaires et politiciens » se sont montrés très bavards et se sont portés même – en vain bien sûr – l’avocat du camp de Nkundabantu. L’expression mieux dite serait « se porter l’avocat du diable ». Munumve neza je ne veux pas dire que ou qualifier le camp de Nkundabantu de diable.
Par la suite, la commission d’enquête a réuni l’Assemblée générale de l’Église en date du 20/07/2008. Cette dernière s’est prononcée pour l’excommunication de six personnes du camp de Nkundabantu pour une durée d’une année. Il semble que l’humble Représentant s’était prononcé pour six mois, l’Assemblée Générale a décidé de les doubler. Ces derniers tout en sachant qu’ils étaient frappé par la mesure (car une lettre administrative leur avait été adressée) se sont permis de « GUHAGARIKIRA » sans la permission du Représentant le jour même de leur excommunication en public, en présence des hommes de l’ordre, qui n’ont pas pu supporté ce désordre sur le sol du pays des milles collines. Niko bikorwa. Kandi wakwongeraho ko bakora neza. Cette réputation est extraterritoriale. Je manque des mots pour dire autrement.
In fine, le moins que l’on puisse dire est que cette Église restait presque l’unique des « membres » qui n’avait pas encore été frappée par la malédiction de la division. L’on se rappellera de celle de Banyabyinshi de Kimisagara, du Restauration church, de Maranathan, du CEPAC du fameux pasteur Meshake qui a pris le large passant par la petite fenêtre, laissant ses brebis, ses moutons sans berger. Espérons que l’Église du « Bon berger » le restera. La liste n’est pas exhaustive, car dans le pays de milles collines, c’est plein d’Églises tribalo-ethniques des « membres » dirigées par des vrais faux pasteurs.
Pour le cas d’espèce, il faut ouvrir l’œil et le bon. Car, les raisons ou les mobiles qui souvent étaient à la base de ces querelles intestines semblent être différents pour le cas de l’Église Bon Berger. Il y a une main ou des mains sales derrière les pasteurs Nkundabantu et col. Cette coalition scélérate est hétéroclite. Composée d’hommes d’affaires et politiciens en mal de positionnement. Il semble que cette dernière catégorie des personnes est généralement réputée être vindicative.
Les jeunes pasteurs eux, même certains vieux en ont fait et font de toutes les couleurs dans le pays de milles collines mes chers frères de la diaspora. Désillusionnez-vous ! Voulez-vous qu’on vous fasse leurs récits, cas par cas ? Biteshej’isoni communauté. Pouvez-vous comprendre que les stéréotypies qui étaient naguère considérées comme des Twa au Rwanda sont actuellement transposées aux membres.
Bref, Nkundabantu & col. ont été victimes d’une affaires des pognons orchestrée par un groupe d’individus ayant l’art d’une machination quasi-mafiosique et d’une duperie diabolique (imaginez-vous mes chers frères tromper une veuve? Ndabyemera nshobora no kubihamya ko IMANA rurema ushobora byose adashobora ku laisser passer ce crime impuni) et surtout de l’incertitude des faits que les hommes de l’ordre n’ont pas pu supporté. Voilà pourquoi les Pasteurs Nkundabantu et Thomas ont été mis aux arrêts.
Mon cher ami Samson et chers frères, Nkundabantu peut avoir une moralité irréprochable, mais a été d’une naïveté morbide jusqu’à croire aux félidés dont il est le berger. C’est ça sa responsabilité. C’est dommage que c’est lui et quelques autres pauvres individus qui sont indexés, alors que les vrais commanditaires se la coulent douce.
Imana iduhezagire.
Ne jamais trahir la communauté
Rumenge Nt. Alain

LES FAITS SUR LE SCANDALE DE L'EGLISE BON BERGER DE KIGALI

Ma compréhension des faits.

La version vraisemblable de l’histoire de l’Église du Bon Berger, fait étant des pratiques non orthodoxes qui seraient à la base de la chicane et la controverse ayant abouti à l’arrestation des pasteurs Nkundabantu et Thomas. J’ai appris par la suite que Nkundabantu est de ton clan mon cher du groupe Samson. Ce qui est dommage lorsque tu le soutiens sans avoir la vraie version des faits.
De un, il s’agit d’une affaires des pognons. Le camp de Nkundabantu & col. a accusé « à tord » - jusque-là- leur Représentant Légal de détournement des fonds. Accusation adressée aux instances habilitées de l’État (Minijuste, Minaloc & Présidence de la République ) en ignorant les échelons administratifs (Conseil d’administration & Assemblée Générale) de l’Église. Il s’est avéré par la suite que les mêmes montants dont on accusait le Représentant de détournement sont exactement les montants que le Représentant avait octroyé à ses tortionnaires comme des crédits ou des avances sur leurs salaires. L’équipe d’enquête a trouvé les preuves à l’appui des faits à la banque dont l’Église est cliente. Les pauvres tourmenteurs croyaient que l’autre (le Représentant) gère en désordre – comme ils le feront peut être – les fonds de l’Église.
De deux, cette machination diabolique « qualifions-la comme telle » est l’œuvre des mains sales qui ont mis en place un réseau quasi-mafiosique qui semble-t-il doit avoir induit en erreur ou a dupé Nkundabantu & Col. Toujours une affaire des pognons. Il semble qu’il y a des « chrétiens » hommes d’affaires et politiciens « membres » adeptes de l’Église Bon Berger (qu’aucun ne nous oblige pas de citer leurs noms) qui sollicitaient les marchés de livraison du ciment, des couleurs et du bois etc.. pour la basilique que l’Église est entrain de construire dans le Quartier chic de Nyarutarama. Il faut voir cette Église mon cher. Son emplacement (côte à côte à une concession de la première Dame du Rwanda), son coût (en tout cas en terme de plus d’un million de $ américain) seraient l’œuvre du Représentant. C’est lui qui cherche les fonds à l’étranger parmi les bailleurs des fonds, les bienfaiteurs. Pour cette histoire, le conseil d’administration a décidé autrement étant donné que l’ASBL est régie par les lois en vigueur au Rwanda. On ne donne pas un marché comme on donnait une vache naguère mu kirambi, kugatorero changwe se kumudege wa Kanyanga mon cher. La passation des marchés se fait par des offres techniques assorties dans un journal officiel. C’est ça la loi au Rwanda, comme dans tout pays qui se respecte, tels la Confédération Helvétique , l’Australie ou la Suède etc..
Chose grave de trois, (c’est ce qui énerver davantage dans cette affaire), cette bande de soi-disant chrétiens ont trompé des femmes « membres » de l’Église (deux veuves SVP) en demandant l’une d’apposer sa signature sur le document d’accusation soi-disant qu’il s’agit de l’aide qu’ils sont entrain de solliciter et qu’elle sera (l’une de veuve) parmi les premiers et les meilleurs bénéficiaires de l’aide. Pour l’autre on a carrément signé P.O à son nom. Les deux femmes ont étalés ces faits à la commission d’enquête.
De quatre, dès que les instances habilitées ont été saisies, une commission a été mise en place pour décanter la situation. Toujours, dans cette machination, le camp de Nkundabantu & col. a joué le malin tout le long du procès. Il amenait par exemple des personnes différentes de celles qu’ils avaient donné lors du processus préparatoire du procès. Ce qui prouvait aux yeux même d’un apprenti juge le manque de cohésion et de division au sein de ce camp. Bref, de l’incertitude des faits.
De cinq d’ailleurs, il semble que lors du procès, ces « soi-disant chrétiens hommes d’affaires et politiciens » se sont montrés très bavards et se sont portés même – en vain bien sûr – l’avocat du camp de Nkundabantu. L’expression mieux dite serait « se porter l’avocat du diable ». Munumve neza je ne veux pas dire que ou qualifier le camp de Nkundabantu de diable.
Par la suite, la commission d’enquête a réuni l’Assemblée générale de l’Église en date du 20/07/2008. Cette dernière s’est prononcée pour l’excommunication de six personnes du camp de Nkundabantu pour une durée d’une année. Il semble que l’humble Représentant s’était prononcé pour six mois, l’Assemblée Générale a décidé de les doubler. Ces derniers tout en sachant qu’ils étaient frappé par la mesure (car une lettre administrative leur avait été adressée) se sont permis de « GUHAGARIKIRA » sans la permission du Représentant le jour même de leur excommunication en public, en présence des hommes de l’ordre, qui n’ont pas pu supporté ce désordre sur le sol du pays des milles collines. Niko bikorwa. Kandi wakwongeraho ko bakora neza. Cette réputation est extraterritoriale. Je manque des mots pour dire autrement.
In fine, le moins que l’on puisse dire est que cette Église restait presque l’unique des « membres » qui n’avait pas encore été frappée par la malédiction de la division. L’on se rappellera de celle de Banyabyinshi de Kimisagara, du Restauration church, de Maranathan, du CEPAC du fameux pasteur Meshake qui a pris le large passant par la petite fenêtre, laissant ses brebis, ses moutons sans berger. Espérons que l’Église du « Bon berger » le restera. La liste n’est pas exhaustive, car dans le pays de milles collines, c’est plein d’Églises tribalo-ethniques des « membres » dirigées par des vrais faux pasteurs.
Pour le cas d’espèce, il faut ouvrir l’œil et le bon. Car, les raisons ou les mobiles qui souvent étaient à la base de ces querelles intestines semblent être différents pour le cas de l’Église Bon Berger. Il y a une main ou des mains sales derrière les pasteurs Nkundabantu et col. Cette coalition scélérate est hétéroclite. Composée d’hommes d’affaires et politiciens en mal de positionnement. Il semble que cette dernière catégorie des personnes est généralement réputée être vindicative.
Les jeunes pasteurs eux, même certains vieux en ont fait et font de toutes les couleurs dans le pays de milles collines mes chers frères de la diaspora. Désillusionnez-vous ! Voulez-vous qu’on vous fasse leurs récits, cas par cas ? Biteshej’isoni communauté. Pouvez-vous comprendre que les stéréotypies qui étaient naguère considérées comme des Twa au Rwanda sont actuellement transposées aux membres.
Bref, Nkundabantu & col. ont été victimes d’une affaires des pognons orchestrée par un groupe d’individus ayant l’art d’une machination quasi-mafiosique et d’une duperie diabolique (imaginez-vous mes chers frères tromper une veuve? Ndabyemera nshobora no kubihamya ko IMANA rurema ushobora byose adashobora ku laisser passer ce crime impuni) et surtout de l’incertitude des faits que les hommes de l’ordre n’ont pas pu supporté. Voilà pourquoi les Pasteurs Nkundabantu et Thomas ont été mis aux arrêts.
Mon cher ami Samson et chers frères, Nkundabantu peut avoir une moralité irréprochable, mais a été d’une naïveté morbide jusqu’à croire aux félidés dont il est le berger. C’est ça sa responsabilité. C’est dommage que c’est lui et quelques autres pauvres individus qui sont indexés, alors que les vrais commanditaires se la coulent douce.
Imana iduhezagire.
Ne jamais trahir la communauté
Rumenge Nt. Alain

L’ANALYSE SUR L’ADAPTATION DES BANYAMULENGE DANS LA SOCIETE MODERNE.

L’ANALYSE SUR L’ADAPTATION DES BANYAMULENGE DANS LES SOCIETES MODERNES DU GLOBE. (Par Mvuka Ntungo, UK)
C’est article est une réaction aux critiques faits par rapport aux Banyamulenge et leur intégration dans la société moderne partout au monde. Les langues de communications utilisée dans c’est article temoigne en soit l’influence culturel des banyamulenges inclus l’auteur lui-meme. This article is a reaction to some criticism against Banyamulenge people which the author sees as a form a cultural stereotyping. The article is written in multilingual format, which is another example of cultural influence on Banyamulenge people. Il faut aussi noter que bien que c’est article est surtout addressé au public Banyamulenge, il mérite aussi l’attention de notre audience général ( récteurs du journal Minembwe). While this article is primarily addressed to the Banyamulenge audience, it is also suitable for the general public, especially the readers of Minembwe Newsletter who have interest in understanding the socio- cultural development of Banyamulenge people.
The opionions expressed in the article below are solely those of the author. The article begins as follow :
Muraho bavandimwe. Ntabgo nzi le contexte orginal ya message ya Bisengimana (rwizihirwa) , ariko haribintu byinshi bijanye na cultural stereotyping bikenewe une attention.
Ibiganiro mucyisha kuriyi forum nibyiza cyane kandi byazafasha mumihindurire yubuzima butandukanye. Imyiryane mumakanisa ntayo nzi, niba inahari ca fait parti de le'volution de l'Eglise kimwe no muri Historique yayo. Abanyamulenge sibo bambere en mon avis. Amakanisa yahoze mo conflit kuva l'orgine ya prostentatisme. Yego morale spirtuelle mutanze ninziza cyane mukwi echapant ces divisions. Ariko ubundi ntagishasha kandi ces conflits sont generaux partout. Ubu mubgongereza le siege de l'Eglise Anglicane est en conflit avec les restes des eglises.

Ahubgo icyo nashaka gusubiza nayo magambo avugwa muri public arena, akaba azayitirirwa abanyamulenge. Abiga imiterere n'imicyo yabantu, cyangwa se the human civilisation development, bashobora kugaragaza neza ko ar'ubgoko buke bgakwi adaptant kuri conditions za modernisme kimwe nabanyamulenge. Abanyamulenge babaye ho bari excluded within the main stream system in the Ex Zaire. Nyamara Histoire igaragaza ko malgre la vie traditionnelle babagamo bashoboye kwi conformant na systeme ya taxation mais plus encore la crise identitaire yasabaga ko nabagore baba bazi le contexte d'exclusion nkuko mubizi habaye les manifestations nyinshi ziyobowe nabagore harinabagore barwanye intambara nabapara commando.

Malgre le manque des infrastructures dans le congo tout entier, les Banyamulenge etaient au courant de l'evolution politique.Suite aux diverses exclusions, nos aines sont parvenus à traverser les conditions difficiles dans la selection discriminatoire dans les uiniversites. Mais pourtant ils venaient fraichement du village.

Pendant les guerres dans la region des grands lacs, les Banyamulenges comprenaient tres bien leur position socio-politique par rapport aux voisins dans les autres pays. Dans les conflits de retrouver nos droits politiques, nous sommes partis des exclus dans tous les niveaux, au leadership national. pendant la fuite vers le Rwanda, comme les familles ne pouvaient que joindre leur relatifs travaillant dans les organisations publiques, les banyamulenge n'etaient qu'obliger de se rendre dans "les villes", donc la capitale du Rwanda (Kigali)
Nyuma y'intambara pendant 13 ans, abanyamulenge bakomeje kuza mu Rwanda, abenshi babura akazi, bakubutwa nubuzima bgohasi. Ariko ntibyatumye kugeza uno munsi ntitugira icyo bita Homeless- un sans abris cyangwa se un mandiat publique. Ubuzima burakomeye ariko ntiwasobanura ukuntu umuntu wakubiswe n'Intambara agahungira muri capitale, agashika agatangira gucyuruza inyabugogo, cyangwa akishakira ubuzima kuri niveau ye, akaba arwana yiga anshaka ko abana babaho kuri niveau yabandi bana. Noneho yagira icyo akoze kikitwa ubuturage??
Ibyo byose wavuze nahamya ko ibyinshi nibyo bitirirwa biba byavuzwe n'injiji zitigaragaza.
Abanyamulenge bafite pride yumucyo wabo( une fierite), noneho ibyo bavuga babivuga batitega. Noneho hagira uwariwe wese uvuze ikintu kikabitirirwa. Cultural stereotype mubyukuri iziva mo divisions, hazaba igihe ibyo byazaba les bases d'exclusions kimwe nizindi zose. Abanyamulenge ino hanze naho bagaragaje ko ntacyo batakora mwisi. Mumyaka 10 bashoboye kugera munzego zose zisi kumenyakanisha ikibazo cyabo. Sinunva ko harubundi bgoko bakora ibi buvuye dans une vie purement primitive. Nkaba rero nashaka kubgira uyu mugabo nti examples zose utanze zibyitirirwa abanyamulenge ni Cultural stereotype. Ikibazo nkuze kubona Ikgali nuko nabanyamulenge bitwa ko bize bahatuye basigaye bagira complex d'inferiorite, ugasanga banga kuvuga kwarabanyamulenge. Ugasanga bigira ibyo batari mugushakisha kuba accepter.

Muri congo naho iyo uhamagaye ibukavu ntawa kuvugisha atavuze igiswahili kugira ngo abanyekongo batunva kwafite une liasion nabanyanrwanda. Pour confirmer notre congolinite ntabgo bizava mukwihakana la culture Rwandaise kuko nous sommes les Rwandophones, ntihagire umuntu uzazayivugisha ibintu kubanyekongo ngo bamenye kwatava murwanda! Naho mu Rwanda, pour confirmer notre culture Rwandaise ntabgo arukwihakana notre Orgine au Congo. Ingendo yundi iravuna.

Murakoze
Mvuka

L’ANALYSE SUR L’ADAPTATION DES BANYAMULENGE DANS LA SOCIETE MODERNE.

L’ANALYSE SUR L’ADAPTATION DES BANYAMULENGE DANS LES SOCIETES MODERNES DU GLOBE. (Par Mvuka Ntungo, UK)
C’est article est une réaction aux critiques faits par rapport aux Banyamulenge et leur intégration dans la société moderne partout au monde. Les langues de communications utilisée dans c’est article temoigne en soit l’influence culturel des banyamulenges inclus l’auteur lui-meme. This article is a reaction to some criticism against Banyamulenge people which the author sees as a form a cultural stereotyping. The article is written in multilingual format, which is another example of cultural influence on Banyamulenge people. Il faut aussi noter que bien que c’est article est surtout addressé au public Banyamulenge, il mérite aussi l’attention de notre audience général ( récteurs du journal Minembwe). While this article is primarily addressed to the Banyamulenge audience, it is also suitable for the general public, especially the readers of Minembwe Newsletter who have interest in understanding the socio- cultural development of Banyamulenge people.
The opionions expressed in the article below are solely those of the author. The article begins as follow :
Muraho bavandimwe. Ntabgo nzi le contexte orginal ya message ya Bisengimana (rwizihirwa) , ariko haribintu byinshi bijanye na cultural stereotyping bikenewe une attention.
Ibiganiro mucyisha kuriyi forum nibyiza cyane kandi byazafasha mumihindurire yubuzima butandukanye. Imyiryane mumakanisa ntayo nzi, niba inahari ca fait parti de le'volution de l'Eglise kimwe no muri Historique yayo. Abanyamulenge sibo bambere en mon avis. Amakanisa yahoze mo conflit kuva l'orgine ya prostentatisme. Yego morale spirtuelle mutanze ninziza cyane mukwi echapant ces divisions. Ariko ubundi ntagishasha kandi ces conflits sont generaux partout. Ubu mubgongereza le siege de l'Eglise Anglicane est en conflit avec les restes des eglises.

Ahubgo icyo nashaka gusubiza nayo magambo avugwa muri public arena, akaba azayitirirwa abanyamulenge. Abiga imiterere n'imicyo yabantu, cyangwa se the human civilisation development, bashobora kugaragaza neza ko ar'ubgoko buke bgakwi adaptant kuri conditions za modernisme kimwe nabanyamulenge. Abanyamulenge babaye ho bari excluded within the main stream system in the Ex Zaire. Nyamara Histoire igaragaza ko malgre la vie traditionnelle babagamo bashoboye kwi conformant na systeme ya taxation mais plus encore la crise identitaire yasabaga ko nabagore baba bazi le contexte d'exclusion nkuko mubizi habaye les manifestations nyinshi ziyobowe nabagore harinabagore barwanye intambara nabapara commando.

Malgre le manque des infrastructures dans le congo tout entier, les Banyamulenge etaient au courant de l'evolution politique.Suite aux diverses exclusions, nos aines sont parvenus à traverser les conditions difficiles dans la selection discriminatoire dans les uiniversites. Mais pourtant ils venaient fraichement du village.

Pendant les guerres dans la region des grands lacs, les Banyamulenges comprenaient tres bien leur position socio-politique par rapport aux voisins dans les autres pays. Dans les conflits de retrouver nos droits politiques, nous sommes partis des exclus dans tous les niveaux, au leadership national. pendant la fuite vers le Rwanda, comme les familles ne pouvaient que joindre leur relatifs travaillant dans les organisations publiques, les banyamulenge n'etaient qu'obliger de se rendre dans "les villes", donc la capitale du Rwanda (Kigali)
Nyuma y'intambara pendant 13 ans, abanyamulenge bakomeje kuza mu Rwanda, abenshi babura akazi, bakubutwa nubuzima bgohasi. Ariko ntibyatumye kugeza uno munsi ntitugira icyo bita Homeless- un sans abris cyangwa se un mandiat publique. Ubuzima burakomeye ariko ntiwasobanura ukuntu umuntu wakubiswe n'Intambara agahungira muri capitale, agashika agatangira gucyuruza inyabugogo, cyangwa akishakira ubuzima kuri niveau ye, akaba arwana yiga anshaka ko abana babaho kuri niveau yabandi bana. Noneho yagira icyo akoze kikitwa ubuturage??
Ibyo byose wavuze nahamya ko ibyinshi nibyo bitirirwa biba byavuzwe n'injiji zitigaragaza.
Abanyamulenge bafite pride yumucyo wabo( une fierite), noneho ibyo bavuga babivuga batitega. Noneho hagira uwariwe wese uvuze ikintu kikabitirirwa. Cultural stereotype mubyukuri iziva mo divisions, hazaba igihe ibyo byazaba les bases d'exclusions kimwe nizindi zose. Abanyamulenge ino hanze naho bagaragaje ko ntacyo batakora mwisi. Mumyaka 10 bashoboye kugera munzego zose zisi kumenyakanisha ikibazo cyabo. Sinunva ko harubundi bgoko bakora ibi buvuye dans une vie purement primitive. Nkaba rero nashaka kubgira uyu mugabo nti examples zose utanze zibyitirirwa abanyamulenge ni Cultural stereotype. Ikibazo nkuze kubona Ikgali nuko nabanyamulenge bitwa ko bize bahatuye basigaye bagira complex d'inferiorite, ugasanga banga kuvuga kwarabanyamulenge. Ugasanga bigira ibyo batari mugushakisha kuba accepter.

Muri congo naho iyo uhamagaye ibukavu ntawa kuvugisha atavuze igiswahili kugira ngo abanyekongo batunva kwafite une liasion nabanyanrwanda. Pour confirmer notre congolinite ntabgo bizava mukwihakana la culture Rwandaise kuko nous sommes les Rwandophones, ntihagire umuntu uzazayivugisha ibintu kubanyekongo ngo bamenye kwatava murwanda! Naho mu Rwanda, pour confirmer notre culture Rwandaise ntabgo arukwihakana notre Orgine au Congo. Ingendo yundi iravuna.

Murakoze
Mvuka

L'ADAPTATION DU PEUPLE BANYAMULENGE DANS LES SOCIETES MODERNES DU GLOBE

(Par Mvuka Ntungo, UK)
United Kingdom, July 22, 2008

Introductory Message: (Journal Minembwe)


C’est article est une réaction aux critiques faits par rapport aux Banyamulenge et leur intégration dans la société moderne partout au monde. Les langues de communications utilisée dans c’est article temoigne en soit l’influence culturel des banyamulenges inclus l’auteur lui-meme. This article is a reaction to some criticism against Banyamulenge people which the author sees as a form a cultural stereotyping. The article is written in multilingual format, which is another example of cultural influence on Banyamulenge people. Il faut aussi noter que bien que c’est article est surtout addressé au public Banyamulenge, il mérite aussi l’attention de notre audience général ( récteurs du journal Minembwe). While this article is primarily addressed to the Banyamulenge audience, it is also suitable for the general public, especially the readers of Minembwe Newsletter who have interest in understanding the socio- cultural development of Banyamulenge people.
The opionions expressed in the article below are solely those of the author.
The article begins as follow :

Ref: "Tugomba kwiha agacyiro imberey`Imana nimbere yabantu"
Muraho bavandimwe. Ntabgo nzi le contexte orginal ya message ya Bisengimana (rwizihirwa) , ariko haribintu byinshi bijanye na cultural stereotyping bikenewe une attention.
Ibiganiro mucyisha kuriyi forum nibyiza cyane kandi byazafasha mumihindurire yubuzima butandukanye. Imyiryane mumakanisa ntayo nzi, niba inahari ca fait parti de le'volution de l'Eglise kimwe no muri Historique yayo. Abanyamulenge sibo bambere en mon avis. Amakanisa yahoze mo conflit kuva l'orgine ya prostentatisme. Yego morale spirtuelle mutanze ninziza cyane mukwi echapant ces divisions. Ariko ubundi ntagishasha kandi ces conflits sont generaux partout. Ubu mubgongereza le siege de l'Eglise Anglicane est en conflit avec les restes des eglises.

Ahubgo icyo nashaka gusubiza nayo magambo avugwa muri public arena, akaba azayitirirwa abanyamulenge. Abiga imiterere n'imicyo yabantu, cyangwa se the human civilisation development, bashobora kugaragaza neza ko ar'ubgoko buke bgakwi adaptant kuri conditions za modernisme kimwe nabanyamulenge. Abanyamulenge babaye ho bari excluded within the main stream system in the Ex Zaire. Nyamara Histoire igaragaza ko malgre la vie traditionnelle babagamo bashoboye kwi conformant na systeme ya taxation mais plus encore la crise identitaire yasabaga ko nabagore baba bazi le contexte d'exclusion nkuko mubizi habaye les manifestations nyinshi ziyobowe nabagore harinabagore barwanye intambara nabapara commando.

Malgre le manque des infrastructures dans le congo tout entier, les Banyamulenge etaient au courant de l'evolution politique.Suite aux diverses exclusions, nos aines sont parvenus à traverser les conditions difficiles dans la selection discriminatoire dans les uiniversites. Mais pourtant ils venaient fraichement du village.

Pendant les guerres dans la region des grands lacs, les Banyamulenges comprenaient tres bien leur position socio-politique par rapport aux voisins dans les autres pays. Dans les conflits de retrouver nos droits politiques, nous sommes partis des exclus dans tous les niveaux, au leadership national. pendant la fuite vers le Rwanda, comme les familles ne pouvaient que joindre leur relatifs travaillant dans les organisations publiques, les banyamulenge n'etaient qu'obliger de se rendre dans "les villes", donc la capitale du Rwanda (Kigali)
Nyuma y'intambara pendant 13 ans, abanyamulenge bakomeje kuza mu Rwanda, abenshi babura akazi, bakubutwa nubuzima bgohasi. Ariko ntibyatumye kugeza uno munsi ntitugira icyo bita Homeless- un sans abris cyangwa se un mandiat publique. Ubuzima burakomeye ariko ntiwasobanura ukuntu umuntu wakubiswe n'Intambara agahungira muri capitale, agashika agatangira gucyuruza inyabugogo, cyangwa akishakira ubuzima kuri niveau ye, akaba arwana yiga anshaka ko abana babaho kuri niveau yabandi bana. Noneho yagira icyo akoze kikitwa ubuturage??
Ibyo byose wavuze nahamya ko ibyinshi nibyo bitirirwa biba byavuzwe n'injiji zitigaragaza.
Abanyamulenge bafite pride yumucyo wabo( une fierite), noneho ibyo bavuga babivuga batitega. Noneho hagira uwariwe wese uvuze ikintu kikabitirirwa. Cultural stereotype mubyukuri iziva mo divisions, hazaba igihe ibyo byazaba les bases d'exclusions kimwe nizindi zose. Abanyamulenge ino hanze naho bagaragaje ko ntacyo batakora mwisi. Mumyaka 10 bashoboye kugera munzego zose zisi kumenyakanisha ikibazo cyabo. Sinunva ko harubundi bgoko bakora ibi buvuye dans une vie purement primitive. Nkaba rero nashaka kubgira uyu mugabo nti examples zose utanze zibyitirirwa abanyamulenge ni Cultural stereotype. Ikibazo nkuze kubona Ikgali nuko nabanyamulenge bitwa ko bize bahatuye basigaye bagira complex d'inferiorite, ugasanga banga kuvuga kwarabanyamulenge. Ugasanga bigira ibyo batari mugushakisha kuba accepter.

Muri congo naho iyo uhamagaye ibukavu ntawa kuvugisha atavuze igiswahili kugira ngo abanyekongo batunva kwafite une liasion nabanyanrwanda. Pour confirmer notre congolinite ntabgo bizava mukwihakana la culture Rwandaise kuko nous sommes les Rwandophones, ntihagire umuntu uzazayivugisha ibintu kubanyekongo ngo bamenye kwatava murwanda! Naho mu Rwanda, pour confirmer notre culture Rwandaise ntabgo arukwihakana notre Orgine au Congo. Ingendo yundi iravuna.

Murakoze
Mvuka

L’ANALYSE SUR L’ADAPTATION DES BANYAMULENGE DANS LES SOCIETES MODERNES.

(Par Mvuka Ntungo, UK)
United Kingdom, July 22, 2008

Introductory Message: (Journal Minembwe)


C’est article est une réaction aux critiques faits par rapport aux Banyamulenge et leur intégration dans la société moderne partout au monde. Les langues de communications utilisée dans c’est article temoigne en soit l’influence culturel des banyamulenges inclus l’auteur lui-meme. This article is a reaction to some criticism against Banyamulenge people which the author sees as a form a cultural stereotyping. The article is written in multilingual format, which is another example of cultural influence on Banyamulenge people.
Il faut aussi noter que bien que c’est article est surtout addressé au public Banyamulenge, il mérite aussi l’attention de notre audience général ( récteurs du journal Minembwe). While this article is primarily addressed to the Banyamulenge audience, it is also suitable for the general public, especially the readers of Minembwe Newsletter who have interest in understanding the socio- cultural development of Banyamulenge people.
The opionions expressed in the article below are solely those of the author.
The article begins as follow :

Ref:Tugomba kwiha agacyiro imberey`Imana nimbere yabantu
Muraho bavandimwe. Ntabgo nzi le contexte orginal ya message ya Bisengimana (rwizihirwa) , ariko haribintu byinshi bijanye na cultural stereotyping bikenewe une attention.
Ibiganiro mucyisha kuriyi forum nibyiza cyane kandi byazafasha mumihindurire yubuzima butandukanye. Imyiryane mumakanisa ntayo nzi, niba inahari ca fait parti de le'volution de l'Eglise kimwe no muri Historique yayo. Abanyamulenge sibo bambere en mon avis. Amakanisa yahoze mo conflit kuva l'orgine ya prostentatisme. Yego morale spirtuelle mutanze ninziza cyane mukwi echapant ces divisions. Ariko ubundi ntagishasha kandi ces conflits sont generaux partout. Ubu mubgongereza le siege de l'Eglise Anglicane est en conflit avec les restes des eglises.

Ahubgo icyo nashaka gusubiza nayo magambo avugwa muri public arena, akaba azayitirirwa abanyamulenge. Abiga imiterere n'imicyo yabantu, cyangwa se the human civilisation development, bashobora kugaragaza neza ko ar'ubgoko buke bgakwi adaptant kuri conditions za modernisme kimwe nabanyamulenge. Abanyamulenge babaye ho bari excluded within the main stream system in the Ex Zaire. Nyamara Histoire igaragaza ko malgre la vie traditionnelle babagamo bashoboye kwi conformant na systeme ya taxation mais plus encore la crise identitaire yasabaga ko nabagore baba bazi le contexte d'exclusion nkuko mubizi habaye les manifestations nyinshi ziyobowe nabagore harinabagore barwanye intambara nabapara commando.

Malgre le manque des infrastructures dans le congo tout entier, les Banyamulenge etaient au courant de l'evolution politique.Suite aux diverses exclusions, nos aines sont parvenus à traverser les conditions difficiles dans la selection discriminatoire dans les uiniversites. Mais pourtant ils venaient fraichement du village.

Pendant les guerres dans la region des grands lacs, les Banyamulenges comprenaient tres bien leur position socio-politique par rapport aux voisins dans les autres pays. Dans les conflits de retrouver nos droits politiques, nous sommes partis des exclus dans tous les niveaux, au leadership national. pendant la fuite vers le Rwanda, comme les familles ne pouvaient que joindre leur relatifs travaillant dans les organisations publiques, les banyamulenge n'etaient qu'obliger de se rendre dans "les villes", donc la capitale du Rwanda (Kigali)
Nyuma y'intambara pendant 13 ans, abanyamulenge bakomeje kuza mu Rwanda, abenshi babura akazi, bakubutwa nubuzima bgohasi. Ariko ntibyatumye kugeza uno munsi ntitugira icyo bita Homeless- un sans abris cyangwa se un mandiat publique. Ubuzima burakomeye ariko ntiwasobanura ukuntu umuntu wakubiswe n'Intambara agahungira muri capitale, agashika agatangira gucyuruza inyabugogo, cyangwa akishakira ubuzima kuri niveau ye, akaba arwana yiga anshaka ko abana babaho kuri niveau yabandi bana. Noneho yagira icyo akoze kikitwa ubuturage??
Ibyo byose wavuze nahamya ko ibyinshi nibyo bitirirwa biba byavuzwe n'injiji zitigaragaza.
Abanyamulenge bafite pride yumucyo wabo( une fierite), noneho ibyo bavuga babivuga batitega. Noneho hagira uwariwe wese uvuze ikintu kikabitirirwa. Cultural stereotype mubyukuri iziva mo divisions, hazaba igihe ibyo byazaba les bases d'exclusions kimwe nizindi zose. Abanyamulenge ino hanze naho bagaragaje ko ntacyo batakora mwisi. Mumyaka 10 bashoboye kugera munzego zose zisi kumenyakanisha ikibazo cyabo. Sinunva ko harubundi bgoko bakora ibi buvuye dans une vie purement primitive. Nkaba rero nashaka kubgira uyu mugabo nti examples zose utanze zibyitirirwa abanyamulenge ni Cultural stereotype. Ikibazo nkuze kubona Ikgali nuko nabanyamulenge bitwa ko bize bahatuye basigaye bagira complex d'inferiorite, ugasanga banga kuvuga kwarabanyamulenge. Ugasanga bigira ibyo batari mugushakisha kuba accepter.

Muri congo naho iyo uhamagaye ibukavu ntawa kuvugisha atavuze igiswahili kugira ngo abanyekongo batunva kwafite une liasion nabanyanrwanda. Pour confirmer notre congolinite ntabgo bizava mukwihakana la culture Rwandaise kuko nous sommes les Rwandophones, ntihagire umuntu uzazayivugisha ibintu kubanyekongo ngo bamenye kwatava murwanda! Naho mu Rwanda, pour confirmer notre culture Rwandaise ntabgo arukwihakana notre Orgine au Congo. Ingendo yundi iravuna.

Murakoze
Mvuka

Boteti assassiné à Kinshasa, des civils tués à Minembwe !



Cette article était dernierement publié par
La Prospérité en date du 07/07/2008

Trop, c’est trop. L’insécurité a atteint son stade suprême à Kinshasa et dans les principaux centres névralgiques du pays. Daniel Boteti, Vice-Président de l’Assemblée Provinciale de Kinshasa, a été assassiné, ce dimanche 6 juillet, dans la fourchette de deux à trois heures du matin. A Minembwe, au Sud-Kivu, la population est encore sous le choc. Pour une affaire d’un mariage par rapt ; une affaire de viol, des civils ont été, il y a quelques jours, massacrés. Des hommes du Major Santos seraient épinglés comme auteurs de cet acte odieux. En attendant que l’auditorat militaire ne les fasse arrêter, juger et condamner, le commandant de la 10ème Région militaire ne devrait-il pas rendre compte des faits de ses troupes ?
C’est un Kimbuta ému qui est monté hier sur le plateau de la Rtnc pour annoncer solennellement l’assassinat de l’Honorable Daniel Boteti, ce dimanche 6 juillet, vers les petites heures du matin, à Kinshasa. Deux des assaillants ont été maîtrisés. Jusqu’ici, l’enquête se poursuit, a-t-il, du reste, rassuré. Et qu’au fur et à mesure de son déroulement, des informations seront livrées au public pour étayer les circonstances ayant occasionné cet acte abject. D’ores et déjà, l’autorité urbaine a présenté ses condoléances les plus attristées à la famille de l’illustre disparu et à l’Assemblée Provinciale de la Ville de Kinshasa. C’est sûr que dans les prochaines heures, le programme des funérailles sera, lui aussi, connu. Au fait, la question de l’insécurité demeure une affaire récurrente, à Kinshasa et en provinces. Pour le cas de Boteti, plusieurs versions rivalisent d’ardeur sur le marché politique. L’une d’elles soutient que l’homme revenait d’une fête de mariage. Il s’agissait, en effet, de deux enfants Endundo et Mokolo qui se sont unis pour le meilleur et le pire, ce samedi 5 juillet. Sur son chemin de retour, il est tombé dans une embuscade, aux environs de l’avenue de la Montagne qui jouxte les avenues Nguma et Haute Tension, dans la commune de Ngaliema. Une altercation s’en est suivie entre les hommes en uniforme non autrement identifiés et l’élément commis à la garde de l’Honorable Daniel Boteti. Pris sous les feux, ce dernier a osé prendre le large. La tentative de gagner une parcelle voisine s’est soldée par un échec. A environ quinze mètres, il a attrapé une balle qui, finalement, l’a emporté dans l’au-delà. Déjà, dans la voiture, il avait encaissé une première balle, au bras, raconte-t-on.
Minembwe sous le choc, des civils tués …
Minembwe est inconsolable, il pleure ses morts au jour le jour ! Depuis bien de temps, cette contrée de la RD. Congo au Sud-Kivu vit un calvaire indescriptible : les hommes en uniforme appartenant à deux brigades déployées à Minembwe, l’une intégrée et commandée par le colonel BAKUWE et une autre non intégrée commandée par un certain Colonel MUHETO et un major du nom de SANTOS sèment la désolation au sein de la population civile qu’ils sont censés protéger. Ces brigades des FARDC déployées dans cette partie et à la tête desquelles se trouvent les officiers cités ci – haut, s’illustrent par des exactions et tueries de toute sorte dans tous les villages des hauts plateaux de Minembwe, sous leur contrôle. Voici les derniers cas encore frais qui peignent le tableau combien sombre de la vie des populations de cette partie du pays :

1. Il y a 4 jours, 2 mamans du village de MIKENKE accompagnées de 2 enfants ont été sauvagement abattues à quelques mètres d’une position de FARDC à RWITSANKUKU, alors qu’elles revenaient d’un mariage dans le moyen plateau. Leurs corps ont été éventrés et les cœurs soutirés par leurs bourreaux. Précisons que parmi ces victimes, il y avait un bébé de 9 mois et un jeune garçon de 10 ans. Cette information a été confirmée et diffusée par la radio Okapi et beaucoup d’organisations de défense des droits de l’homme.
2. Il y a 2 semaines, le garde de corps du Major Santos, sur ordre de son chef, a fait un kidnapping d’une jeune fille du nom de Yvette Sekanyuzi, en vue d’un mariage forcé ou par rapt qui n’est autre chose qu’un viol. Huit personnes ont participé à cette opération macabre à la tête desquelles deux capitaines à savoir, SEBAGABO et BISETSA, et cinq soldats dont GATEZI, BIRORI, MUHOZI, GATUTSI et RUGARURA et un civil du nom de MWIZERWA RUTABARA qui, curieusement, est celui qui aurait tiré sur la victime. Le frère de la victime du nom de SEKANYUZI Pilote qui voulait voler au secours de sa sœur, a été fauché par une rafale des balles qui lui occasionnèrent des blessures mortelles. Il a été acheminé à l’hôpital de référence d’Uvira par l’avion de la Monuc, mais hélas ! il succombera à l’hôpital même, 2 jours après. Ce qui est étonnant est que ni l’auteur du crime, ni son chef le major Santos qui a commandité cet acte, personne n’est inquiété et jusqu’à ce jour, les deux circulent librement, alors que l’affaire a été portée à la connaissance des instances hiérarchiques et judiciaires de l’armée, y compris la Région militaire du Sud-Kivu.
3. Il y a 2 mois, un pasteur du nom de GAHUNGU RUGABA du village de MURAMBYA a été lâchement abattu par les mêmes éléments indisciplinés des forces de l’armée, alors qu’il gardait son troupeau à quelques Kilomètres de son village. Son corps criblé des balles a été retrouvé 3 jours plus tard gisant dans la forêt de GAFINDA.
4. Dans le village de KAHWERA, à près de 10 Kms du centre de Minembwe, 2 jeunes filles respectivement de 8 et de 10 ans ( NANGORE ET MUKESHA) ont été violées par les hommes en uniforme. Les auteurs de cette ignoble action sont dans la libre circulation, bien que connus et bien identifiés.
5. Une jeune dame du nom de NABIKUNDWA a été cruellement violée dans le village de RUGEZI. Agonisant, elle fut acheminée au centre de santé de Minembwe pour les premiers soins d’urgence, puis à BUJUMBURA. Les auteurs de ce forfait, au lieu d’être arrêtés, ont été permutés d’une position à une autre dans le même milieu. Révoltées par la prolifération de ces actes combien criminels, les femmes de Minembwe ont organisé une marche pacifique de protestation pour exprimer leur désarroi auprès du Commandant de Brigade de la place ; le même major Santos faisant alors fonction de Cmdt de Brigade ordonnera une répression violente contre cette marche. Des balles crépitèrent et les femmes furent sérieusement tabassées. Trois d’entre elles furent grièvement molestées et blessées. Même les forces de la Monuc de Minembwe ont assisté impuissamment à ce spectacle désolant.

Tels sont les cas récents des exactions et tueries que subit la population des hauts plateaux et qui prouvent à quel point MINEMBWE est devenu invivable. Ces cas viennent s’ajouter à une longue liste des traitements dégradants dont sont victime les populations qui vivent en milieux ruraux, précisément à MINEMBWE.
Les champs ont été dévastés par ces forces de l’ordre et une crise alimentaire pointe déjà à l’horizon. Le petit et le gros bétail sont devenus une propriété de ces hors-la-loi. La population civile sans défense vit et subit tous ces méfaits désespérément ! Voilà qui a justifié un exode massif de la population active de Minembwe vers les camps de réfugiés des pays voisins.
Des incertitudes
De ce tableau combien sombre, il y a lieu de se poser un certain nombre de questions. : Jusque quand l’impunité sera-t-elle tolérée dans ce pays ? Où est l’autorité de l’Etat en RDC, spécialement à Minembwe ? Qui protège ces intouchables qui causent mort et désolation au sein des populations ? Y a-t-il un délit aussi fort que le meurtre ?
Il convient de souligner que le colonel Muheto et le major Santos sont à Minembwe depuis bientôt 10 ans et sont devenus inamovibles comme des chefs coutumiers à la seule différence qu’ils tuent, arrêtent, violent, jugent et condamnent et ne sont jamais passés par le brassage.

Un cri de détresse est lancé par la population de Minembwe au Gouvernement, plus précisément à la justice militaire pour que tous les auteurs de ces actes soient punis conformément à la loi.

Publié par
La Prospérité en date du 07/07/2008

IMIHANGO YOGUSEZERA RUTABARUKA PILOTE WAZIZE UBUGOME BURENZE KWEMERA BWAHAGARIKIWE NA MAJOR SANTOS

Kigali, Dimanche le 06 Juillet 2008

Kubasomyi ba Journal Minembwe Mwese:

Dukomeje kubagezaho inkuru zijyanye n'urupfu rwa nyakwigendera Rutaburuka Pilote wishwe n'abagizi banabi, bamuziza gutabara mushiki we bari ba teruye baka mwangiza bamufashe kugufu, bashigikikwe na Major Santos, uvuka iRundu mumuryango w'ABAHINDA.
Reka tubanze tubagezeho amazina yabakoze ayo marorerwa, n'ubugome butigeze kubaho mubwoko bw'abanyamurengwe.
Reka tubamenyeshe ko amakuru dufite kuruyu munsi nuko abo bicyanyi bahunze bakaba uyumunsi bashobora kuba bageze Uvira cyangwa Bujumbura nkuko bikomeje kuvugwa. Icyingenzi nuko byanga bikunda, byatinda, bitebuka, izonkora maraso zizafatwa zicyirwe imanza hamwe nabampari bazo bafatanye nabo aribo ba SANTOS.
Abo bakurikira baraye bacyiwe n'umuryango wabanyamulenge wose nkuko byasabwe mu kiriyo cyabereye iKigali.

Amazina tumaze kumenya yabo bicyanyi ni:
1. KAJEGE MAZURU,MWENE MAZURU,
2.SERUGO MWENE SHONI, (Bombi babahinda)
3.MWIZERWA RUTABARA MWENE MUSABWA WA BA TWARI, akaba arinawe warashe Rutebuka abifatikanije nabo tumaze kuvuga.

Reka rero dukomeze tubagezeho amakuru ajyanye niyo mahango nkuko dukomeje kuyagezwaho nabavandimwe bari ahatandukanye.
Akim

Jerome kuva Ikigali ati:

Ejo Dimanche 14H00-17H00 nibgo twashoje i kiriyo ca nyakwigendera Pilote RUTABARA kw' Itorero Bon Berger.

Pilote tuzakomeza kumwibuka igihe cyose. Arangije tukimukeneye aducitse tutabishaka nyamara amaraso ye atanzwe kubgo kurwanya akarengane.

Rero dufatanye kugira ngo twamagane tuna prevenir ibyabaye kutazongera kuba nkuko bamwe babivuze ngo

" Isi ntigizwe mbi nabayitera kumbi GUSA ahubgo igizwe mbi n'abantu babona ubgo bubi ntibagire ico babukora ho"

Abari mu kiriyo bose bunze mwijambo rimwe dushobora ku resumer muraya magambo" Enough is Enough" Trop c'est trop" assez c'est assez,

Ibi tubonye birahagije.

None murebe indi message iri hepfo nayo ico ivuga kandi.

Murakoze kwihangana.

Jerome

Pastor Gasaza nawe yongeyeho ati:

Ikiliyo cya genze neza, abantu baracyitabiliye cyane ndetse n'abatari abanyamulenge benshyi bari bahari.
Abavuze bose ont condamnés buriya bwicyanyi kandi basabye guhanwa kwa bariya bicyanyi ndetse basaba n'imiryango yose y'abanyamulenge kubacya bagahinduka ibicibwa hose.
Ikindi n'uko hasabwe ko ikibazo gifatwa n'abanyamulenge bose atari la famille restreinte gusa. Abantu baturutse Ruguru batanze amakuru y'uko byagenze asa na yayandi yanditswe na Héritier kuri MahoroGroup.
Ndizera noneho ko hari une prise de conscience de notre communauté yo guca umuco wo kudahana.
Mugire amahoro y'Imana
Pastor Tito Gasaza


Ejo Journal Minembwe izabagezaho Version ivuye ruguru Mu Minembwe.

Mubigejejweho na M.Akim

Message ya Mahoro kurupfu rwa nyakwigendera Rutabara Pilote

ETATS UNIS D'AMERIQUE,
Dimanche le 06 Juillet 2008

Par Dr. Kigabo, president:

Message ya Mahoro ntabwo itandukanye nizaba membres bose nkuko dukomeje kuzisoma kuri mahorogroup. Nugu condanner umucyo mubi w'ubwichanyi, guhemukira umuryango, no guhekura ubwoko bwachu Abanyamurenge byatangiye igihe Rutambwe, Nkumbuyinka nizindi ntwari zose zazize ubusa. Urupfu rwa Rutabara nikimenyetso cyerekana ko benshi muritwe bamaze kugera kure aho tutizeye ko bazagaruka. Ariko twizeye ko bitinde bitebuke icyaha cyose kizagaruka kumutwe wa nyiracyo akazagihanirwa byintangarugero.
Igisirikare cya Congo gikomeje kutuhekura kandi tuzifatanya nabandi bose kwiyama, gutabaza ubuchamanza aribwo butabera kugirango ubwoko bwachu burenganurwe kandi urwagashinyaguro nka ruriya ntirukongere kubaho. Ntituzareka gukoresha inzira zose zamamahoro kugirango ubugambanyi, ubuhemu, agasuzuguro, nubugome bizachike burundu imurenge.
Abakoze ishyano nkaririya ntamwanya wabo uri imurenge kandi bakwiye kumenya ko tukiri ubwoko bukomeye niyo bakomeje gukora uko bashoboye kutusuzuguza no kudusiga icyeyi.

Tuboneyeho akanya ko guhamagarira umunyamurenge wese ndetse nabakunda abanyamulenge bose ko twahaguruka nkumuntu umwe tugafatana munda tukaba umuntu umwe tugahaguruka tukarwanya imirimo yubujiji nubugome bisa nkibi byaraye bitubayeho.
Duhorahoje ababyeyi numuryango wa nyakwigendera tutibagiwe umuryango waBanyamulenge bose.
Twizere ko Leta ya Congo itazabura guhana ibyaha nka biriya byo kwicha ubwoko urupfu rwagashinyaguro izuba riva kandi imbere yabanyagihugu namahanga. Twizere ko na Monuc izatanga ubuhamya bwibyo yiboneye kugirango bizahanwe.
Abanyamurenge ahaturi hose dukwiye kwiyunga tukamaganira hamwe umuchyo wubwichanyi duchiye munzira yamahoro.
Ngaho Imana ibakomeze kandi ihe Rutabara uburuhuko mubwami byayo budashira.

Ni Dr Kigabo Mbazumutima
Perezida w'Umuryango Mahoro uhuza Abanyamurenge batuye muri America na Canada.
Tel 623-313-0255

Ejo Journal Minembwe izabagezaho inkuru y'inoka ivuye ruguru Mu Minembwe.

KUGANDUKIRA INTWARI RUTABARUKA PILOTE WAZIZE UBUGOME BW'INKORA MARASO, MU MINEMBWE

PHOENIX ARIZONA, USA
Dimanche, le 06 Juillet, 2008

By Heritier

Ejo dimanche July 6th niho twabashije kugira ceremonie yo gusezera
umusore wacu Rutabaruka Pilote. Iyo ceremonie ikaba yarabereye munzu
ya pasteur Kanyaruhuru Rukema Jason utuye Phoenix, Arizona, U.S.A .
Icyo giterane cyari cyahujije abanyamulenge bose batuye arizona na
bandi batarabanyamulenge baje kuduhumuriza no guhorahoza ubgoko bgacu
kubyago twahuye nabyo.

Twatangije na serivice yamasengesho nkuko twese tubizi yuko
ntayandima rituals dushobora gukora yaduhesha ibyiringiro byo
kuzabona abadusize bose dukunda kurusha ijambo ryimana. Iyo service
yambere yahagarikiwe na pasteur Kanyaruhuru; ikabayarabaye mo
indirimbo, amasengesho nijambo ry'imana twagaburiwe na Pasteur Simoni
Mataratara. Service yose yabayemo amajambo yibyiringiro nogukomezanya
mubihe bimeze nkibi. Mzee Mataratara yatwibukije yuko Pilote iwe
aruhutse, ati imibabaro nagahinda nibindi byose nkibyo aritwe
tubisigaranye atariko we araruhutse kandi nitwe tusigaye kugirango
tuzamusange. Aba pasteur bacyu, abaririmbyi abantu bose en general
bakoze umurimo mwiza muriyo service yamasengesho.

Iyi service ikaba yasaga niyindi twakoreye Atlanta Georgia kwa
mushiki wa Pilote yahujije nayo Abanyamulenge bose bahatuye,
Abarundi, Abakongomani, Abanyarwanda na bany'Amerika arinabo
bahagarikiye icyo giterane. cyavugiwe mwamajambo akomeye yinyigisho.
Pasteur Nancy yavuze ngo kuva abayeho we atarunva umuntu uzira undi
murububuryo. aravuga ngo nubgo Pilote adusize ati agiye nkitwari
kandi ngo tuzamusanga akiritwari. Ati twari tukimukeneye hano atariko
yagiye aho yarakenewe cyane, Nancy yakomeje n'ijambo ryibyiringiro
kimwe niryo pasteur Mataratara yatubgiye ati " wamunsi niwagera,
imana izahanagura amarira yacyu iduhujije nabarya bose badusize
bafite ibyiringiro nka Pilote. Pasteur Lee nawe ahagiye avuga umunsi
winkozi zibibi bazahagarara imbere yintebe ya judgement. Avuga yuko
justice igomba gukorwa hejuru yinkozi zibibi nkaba batwaye uyumusore
hano kwisi ,ati kandi ngo ntanabgo bizagarukira hano, ngo nanyuma
yurupfu abantu basa repondre kuma actes bakoze.

Nyuma yaho nanone hagiyeho igicye cyakabiri cyogusezera umusore wacyu
Rutabaruka, kikaba nacyo cyarahagarikiwe na Heritier Rugabirwa.
Tukaba twaratangije na un moment de silence yokwibuka iyinzira
karengane yariyaduhujije. Hakaba haravuzwe imibereho yanyakwigendera.
Muribamwe mubabyeyi barutabaruka bamureze mumuryango nabo bakuranye
bafashe ijambo. Bose abamuhamije nabakurikira:

Terezia Kanyaruhuru- Arizona ( AZ)

Abiya Kabunda - AZ

Oriya Sira - (AZ)

Liberal Giramata Rubibi AZ

Fiston Rugazura sira- AZ iyo yari service ya arizona.
Namwiza Sebineza ( Pilote's sister)- ATLANTA ( ATL)
Paul Sebineza bukuru - ATL
Heritier Rugabirwa - ATL just for

Service ya AZ nanone yarakomeje nyuma yubuhamya. haba amagambo
yokwiyama noguhamagarira abanyamulenge bose gucya umucyo mubi
wandukiriye akarere kiwacyu ndetse nibiyaga bigari byose. abantu bose
bahagurutse bamaganye biriya bikorwa kandi bahamagariye abantu bose,
imiryango yose yabanyamulenge, abategetsi bacyu bose namashirahamwe
yose yabanyamurenge gufatira ikikibazo hamwe cyo guca umucyo
wokudahana iwacu. Basabye amashirahamwe yabanyamulenge bose
nimiryango yose guhagurukira guhana izinkozizibibi . Basabye yuko
twava Mumagambo tukaja Mubikorwa ati " ntamwanya ugihari wamagambo,
ikibi cyarinjiye, ati none niduhaguruke dukore". Mubavuze
nabakurikira:
Mzee Kabereshi -Tucson, AZ
Mzee Muzero - Phoenix, AZ
Mzee Nkingirizi - Phoenix, AZ
Maman Rose Mapendo - Phx, az

Habaye ho ijambo ryo gusoza ariryo ijambo ryatumwe numuryango wa
Pilote uhamagarira abobavukana bose babanyamulenge guhagurukira hamwe
twese tukagwanya ikibi. iryo jambo ryashatse kwibutsa abanyamulenge
bose aho ubugome bugejeje ubgoko kandi bavuga yuko ntamuntu numwe
cangwe se numuryango numwe wagwanya ubugome bgarenze iwacyu ati
nkeretse twese twishize hamwe. iryo jambo ryakurikiwe nanone
namasengesho yo kurangiza basabira famille yanyakwigendera, ubgoko
bgose bgabanyamulenge na mahoro imulenge.
IJAMBO RYA FAMILLE MUSHOBORA KURI MUNSI YIYI MESSAGE.
Turangije tubashimiye nkumuryango wa Pilote kudufata mumugongo kandi
twizeye yuko dufatikanije twese kugwanya akarengane kimulenge.
Murakoze
Heritier.

IJAMBO RYA FAMILLE

Mubyukuri twizeye yuko irishano ryaguye ryaratubabaje twese
nk'umuryango nubgoko bgacyu bgose bgabanyamurenge. Ururupfu rywa
Rutabaruka akaba arurupfu rudasanzwe, urupfu rwagashinyaguro,
agasuzuguro rukaba arinurupfu ruva kumucyo wokudahana wakomeje
kwigaragaza iriya rugu iwacu duturuka.
Rutabaruka amaze guhohoterwa, byatwibukije byinshi kumuryango nubgo.
Byatwibukije izindi nzira karengane nkawe zipfa burimunsi. Ababicya
barahari, barangenda ntanacyo ubgoko bubatwaye nkuko dukunze kubivuga
ngo" Nuko uwapfuye yapfuye"
Tukaba uyumunsi dushaka kwibutsanya no gucya mumazina make yabantu
bose bumuryango n'ubgoko barimugupfa akarengane bazira ubusa.

•Muri 2000 Muturambo , umusore witwa Muvura mwene Rusingizwa yaje
mukibari ( mukiruhuko cyabasirikire) . Bucye uwo musore ahagarikwa
nabasirikire bacyu babanyamulenge, bamubaza ikibari arakibereka.
Arangije babasirikire ati" uragira ngwiki kibari cyatubuza kukwicya"?
undi nawe ngo niyontaja kugira ikikibari mwanicyaga? Abandi nti
nubundi turakwigira hishaba. Ubgo baramwitaza baramurasa agwaho.
Ntibyarekeye aho
•muri 2003 bafashe abana babasore ngo bara deserter igisirikare, bose
barabana icyumi barabakubita babicya mumwana umwe womuri famille.
Byarakomeje nyuma yaho kandi
•Umwuzu wa Rwigema wo Murumagaza umuhungu wa Muyeye ngo ni Gasosi.
Ageze kukiziba kuri barrier bara mubaza ati urinde aravuga ngo niwe
Gasosi abandi ti ni Gasosi aremeye ubgo baramurasa arapfa.

Umutima wubgicyanyi urakomeza kugeza ejubundi aho bariya basore
babasirikare barimo Rutambge, Nkumbuyinka nabandi bose basangiye
urupfu bagiye babasanga mumazu yabo bakabicya urupfu rwagasuzuguro
nkakuyumunsi.
Kubera yuko abantu bose twabivuze ntihagira icyo dukora uwo mucyo
warakomeje winjira nomubaturage uratangira urasenya nokwicya.
Twunvise aho umusore wafashe umugore we aramwitemagurira, nundi
mugabo atema Mubyarawe amuziza amafaranga yokugura inka. Abo bose
barahari baragenda mumaso yabo bicyiye.

•Ejo bundi mwunvise Muminembge umugore abasirikire babanyamahanga
bafashe kungufu bara mu violer kugeza aho atangirira guhwera. Abadamu
bigaragambye kubyo bakorerwa uwitwa Muheto (Shitani) arabafata
arakubita bamwe nubu bagizwe ibimuga. Hanyuma abuza abantu kumujana
kubitaro.
•Uyumunsi twese tukaba duhaye dusibukira Rutabaruka wazize mushikiwe.
Nirihe jambo rindi risigaye umunyamurenge asigaje atazazira?

Umucyo wokudahana niwo ugejeje ubgoko bgacyu hano. Tukaba
twabahamageye nkumuryango kandi twese tuvukana kugira ngo
duhagurukire twese rimwe twamagane ibibera iwacyu. Ntitwongere
kubivuga ngo tubirekere aho. Umwanya wokurinda waratambutse. Tukaba
tubasabye nkabagabo muserukira ubgo ibikurikira:
1.Twese hamwe tugwanye uyumucyo mubi waduteye wokwica inzira
karengane. Dusabye umuryango wamahoro uduserukira ino twese
kwitangira kino kibazo nogufatikanya nimiryango yacyu twasize Afrika
gusaba ibihano kurababasore nabategetsi babo kujanwa kubutabera
nogucyirwa ibihano bibakwiriye aribyo byogupfa.
2.Dusabye Mahoro nanone kwamagana biriya bikorwa bibera iwacyu ruguru
babicyishije munyandiko, ama Radio nibindi bikoresho nkibyo kugira
ngo twiyame umbgicyanyi bubera iwacyu butewe na group yabantu bamwe
gusa. Dusabye yuko iriya group ikora amahano nkaya yitwa group yaba
terrorist kandi bikaba publier
3.Dusabye yuko haba gusaba kwa Mahoro kuyandi mashirahamwe yacu
mubgoko twese nkotwafatikanya dugasaba kufatwa kwa Santos nabariya
bana bahaye bacyikishwa bamaze kwicya umuntu kugira ngo bashirwe
murukiko bidatinze, kandi twese twasaba yuko igihano kibakwiriye
arugupfa.

Mureke duhaguruke twese tugwanye ubugome kandi dufatane munda
mubibazo byose. Uyumunsi dusibukiye Rutabaruka ariko nitutagira icyo
dukora ntibizahagarikira aha.
Murakoze gushikira ububutumwa.
Umuryango wa marehemu Rutabaruka.


Heritier