Tuesday, July 31, 2012

President Kagame avuga kubyerekeranye na M23

President Kagame avuga kubyerekeranye na M23 Muriyi video Nyakubahwa President Kagame yavuze byose bijanye nibiganiro yagiranye na Kabila ndetse namahanga mbere na nyuma yaho intambara ya M23 itangiriye. Nimwiyumvire:

President Kagame on M23

Monday, July 30, 2012

LA TENSION S'AUGMENTE DANS LE SUD KIVU

La tension entre les Bafuliru et les Barundi ne cesse de monter dans la Plaine de la de Ruzizi. De sources locales à Luberizi, les Barundi auraient barricadé tôt ce matin la RN5 au niveau de la localité de Mutarule pour protester contre ce qu'ils qualifient de laxisme des autorités locales qui ne prennent aucune disposition face aux provocations dont ils sont objet de la part de Bafuliru. Le lundi passé, les Baruliru avaient protesté en bloquant la route au même endroit pour exiger la libération immédiate et inconditionnelle de 2 de leurs notables arrêtés autour du dossier de l'assassinat du chef de collectivité de Barundi en avril dernier. Face à la pression, les autorités locales avaient fini à céder en libérant les 2 notables, une décision mal perçue par les Barundi. Les Barundi réclament ce matin, le retour en prison 2 notables présumés être les commanditaires de l'assassinat de leur Mwami. Aux dernières nouvelles, nous apprenons la progression depuis cette nuit de nombreux jeunes Bafuliru de Sange, Luberizi, .... vers Mutarule pour aller dégager le passage. Le risque d'une confrontation entre les 2 communautés est à craindre. Prudence aux partenaires humanitaires qui empruntent cet axe. Source: Samson

LE M-23 avance inexorablement vers Goma

RDCongo : le M-23 avance inexorablement vers Goma RDCongo : le M-23 avance inexorablement vers Goma© AFP Dans l'est de la République démocratique du Congo, les rebelles du M-23 avancent vers Goma, la capitale de la province du Nord Kivu, avec l'objectif avoué d'encercler la ville tenue par l'armée régulière pour la faire tomber comme un fruit mur. A quelques journalistes dont un reporter de l'AFP qui ont pu se rendre dans la zone ce weekend, le chef des opérations des rebelles pour le secteur, le colonel Innocent Kayima, a expliqué que l'intention du M23 était d'aller jusqu'a Kibumba, dernière agglomération sur la route de Goma où se trouve encore positionnée l'armée régulière congolaise, les FARDC. Cette localité est présentée par un diplomate occidental à Kinshasa comme le "dernier verrou" vers Goma. De là, assure le colonel Kayima, "nous encerclerons la ville (Goma) et nous démoraliserons les forces jusqu'a ce qu'elles s'en aillent". "Nous prendrons la ville sans tirer", a-t-il assuré. Place forte des forces armées de la RDC dans l'est du pays, il parait toutefois improbable que Goma soit abandonnée à son sort. D'autant qu'elle abrite des milliers de civils venus s'y réfugier et que de nombreuses troupes des Nations unies y assurent leur sécurité. Mardi dernier, pour protéger les populations qui fuyaient les combats, des hélicoptères d'attaque des Nations unies sont intervenus contre la rébellion. Ce weekend, Kibumba était défendue par six chars et un lance-roquettes multiples des forces de Kinshasa. Mais les rebelles n'étaient qu'à cinq km de là et, après s'être entendus au téléphone avec eux, les journalistes ont rejoint les premières lignes du M-23. "Nous avançons petit à petit vers Kibumba", a affirmé le colonel Albert Kahalaha un déserteur de l'armée régulière passé en mai dernier dans l'autre camp. Vêtus d'uniformes disparates de l'armée régulière sans aucun signe de grade, les hommes du M-23 sont positionnées de part et d'autre de la route sans autres armes lourdes que des mortiers de 60 mm, portables à dos d'homme, en place avec des caisses d'obus à proximité. Les combats qui durent depuis mai restent intermittents et dans les zones dont le M-23 s'est emparé la vie reprend lentement son cours. A Rutshuru, un bourg au nord de Kibumba tenu par la rébellion, un obus de mortier ou une grenade tirée par un fusil est bien tombé dimanche en fin d'après-midi sur une case vide qui a été détruite. Mais dans la matinée, une messe avait été célébrée, des civils étaient présents dans les rues, le coiffeur ouvert. Dans le centre, les rebelles s'activaient à préparer la nourriture dans de grandes bassines. Des petits groupes électrogènes permettaient à chacun de recharger sa radio ou sontélephone portable. Lors des combats de la semaine précédente, un pylône de transmission téléphonique a été touché, perturbant les communications. Un autre réseau en a profité et, quelques heures plus tard, après un changement de puces électroniques, les communications avaient repris normalement dans la ville. Des combats plus durs au nord Plus au nord, l'atmosphère est tendue. Les journalistes ont pu gagner le village de Madango, à une trentaine de kilomètres de Rutshuru. Là, un responsable militaire des rebelles, le colonel Justin Mahizi, leur a interdit d'aller plus loin prétextant la dureté des combats. Selon lui, les FARDC en se retirant ont tué plusieurs personnes et ont jeté leurs corps dans la rivière. Dans un ravin gisent deux hommes aux mains liées, tués par les FARDC selon le M-23. Sur la route vers le lieu-dit Mayamoto, en limite du parc naturel des Virunga, un gros camion de travaux publics a brûlé avec toute sa cargaison d'armes et les munitions ont explosé. Selon le M-23, les FARDC l'ont réquisitionné avec son chauffeur, y ont entassé des armes des munitions et du matériel de transmission mais, devant l'avancée du M-23, les soldats y ont mis le feu et ont tué le chauffeur. Aucune voiture ne circule. Selon un officier, les combats sont difficiles. Les rebelles, que le Rwanda voisin est largement accusé d'aider bien qu'il s'en défende, affirment avoir récupèré leurs armes sur l'ennemi. Les obus sont dans des caisses et les bandes de mitrailleuses encore rangées dans leur emballage. Les responsables nient absolument tout approvisionnement rwandais, même si des sources occidentales à Kinshasa ont évoqué des livraisons le week-end précédent. Tous parlent le Swahili, généralement utilisé dans l'est du pays et dans les pays de la région, ainsi que le Kinyarwanda, la langue nationale rwandaise. Un peu d'anglais et un peu de français aussi. Le M-23 a été formé par des membres d'une ancienne rébellion qui avaient été intégrés dans l'armée régulière en 2009 mais qui se sont mutinés en mai et ont repris les armes contre les FARDC.

Friday, July 27, 2012

LES BANYAMULENGE PERDENT LEURS ENFANTS ET LEURS VACHES EN DEFENDANT LA RDC

Alors que les soldats Banyamulenge se sont mobilises pour defendre le gouvernement de Kabila, la communaute Banyamulenge continuent de voir leurs vaches pillées en masse par les groupes Mai Mai souvent en complicité avec le FARDC. Entre temps on assiste a des deuils de chaque jour des morts de leurs soldats. Aujourd'hui on a appris que bcp d'officiers Banyamulenge ont été victimes de guerres de M23, entre autres le Maj. Kagigi, le Col. Gafirita, le Col. Muragizi et bcp d'autres blessés dont un serait dans le Coma. On se demande si ca vaut vraiment la peine de continuer a defendre un gouvernement qui victimize nos parents. Quant au sors de leurs vaches, meme la Radio Okapi a publié l'article suivant: Des hommes à la solde du chef coutumier de Wakabango, Joseph Abedi Kidiaba, sont accusés d’avoir pillé du bétail et des biens de valeur de la population, jeudi 26 juillet, dans la localité de Mibunda, en territoire de Shabunda (Sud-Kivu).Des sources militaires sur place affirment que ces miliciens ont pris la direction de Kalo, chef-lieu de la chefferie de Wakabango, avec leur butin. Les mêmes sources précisent que l’incident a eu lieu à 29 kilomètres de la position des militaires qui n’ont pas pu intervenir. Certains habitants de Mibunda qui ont tenté de s’opposer à la rafle des hommes de Joseph Abedi ont été blessés. D’autres ont été chassés de leurs villages, selon des sources militaires. L’administrateur du territoire de Shabunda, en séjour à Kinshasa, a déclaré ne pas être au courant de ce pillage, tout en confirmant que «le chef coutumier incriminé est très écouté par les forces d’auto-défense locale, Raïa Mutomboki». Contactés, certains acteurs de la société civile de Shabunda ne confirment pas l’information mais accusent le chef coutumier de Wakabango de se comporter en « terroriste », abusant de son pouvoir coutumier pour ravir impunément les biens des populations de sa juridiction. Le chef Joseph Abedi Kidiaba intimide toutes les autorités administratives et judiciaires qui osent aller remettre de l’ordre dans la chefferie de Wakabango, affirment des sources.

Wednesday, July 25, 2012

Kibumba viennent de tomber entre les mains du M23.

Deux collines avoisinantes de Kibumba viennent de tomber entre les mains du M23. Selon le porte-parole militaire du M23, les FARDC ont lancé depuis ce matin des attaques contre leurs positions aux environs de la localité de Rugari se trouvant à 20 Km de la ville de Goma.Pour l’instant le bilan est de deux morts et trois blessés parmi les FARDC qui viennent de perdre les localités de Mumwaro et Ngugu et se sont repliés momentanément à Kibumba à environ 15Km de la ville de Goma. Un habitant de Kibumba, confirme qu’une colonne des FARDC essoufflés en provenance des localités de Mumwaro et des Ngugu se dirigeraient vers Goma alors que leur aviation serait entrain de pilonner les positions du M23 depuis 13h00. La perte de ces deux localités se trouvant à 4 km seulement de Kibumba dernier verrou avant la chute de Goma est de très mauvaise augure pour le Général BAHUMA nouveau commandant de la 8e région militaire qui tenait à tout pris à démontrer qu’il pouvait faire mieux que son prédécesseur le Général MAYALA ‘’TENKEUR ‘’ qui s’était refugié avec plus de 1.000 hommes en Ouganda. En attendant d’en savoir plus sur la suite des événements, nous apprenons que les 5 généraux consultent tous les livres d’académies militaires pour trouver la meilleure tactique pour défendre la cité de Kibumba alors que le porte-parole du gouvernement, son excellence Lambert Mende consulterait en ces instants même les étoiles pour s’assurer de la montée en puissance des FARDC dont les premiers éléments seraient déjà arrivés à Goma. Source : http://www.soleildugraben.com/actualite/locale/202-deux-collines-avoisinantes-de-kibumba-viennent-de-tomber-entre-les-mains-du-m23.html

International Community messed up Congo, says President Kagame

The following article was published by the newstimes on the truth about the current war in DRC. President Kagame tells it all in terms of who did or said what before and during the current war in Congo. According to the news times: President Paul Kagame yesterday lashed out at Western countries and International organisations, saying they are the cause of the ongoing crisis in the eastern part of the Democratic Republic of Congo (DRC). The Head of State was speaking at the inauguration of the Rwanda Defence Force Command and Staff College at Nyakinama, Musaze District. President Kagame gave a chronology of events that led up to the Congo crisis, saying the two countries (Rwanda and DRC) had made tremendous progress towards pacifying eastern DRC, which has been a haven of various armed groups for the last 18 years. One of the militias operating in the troubled region is the Democratic Forces for the Liberation of Rwanda (FDLR), a terrorist group mainly composed of elements responsible for the 1994 Genocide against the Tutsi in Rwanda. “This problem has not been caused by Rwanda and it has not been abetted by Rwanda. On the contrary, in the last four years, nobody in this region, on this continent and beyond, has worked very hard to see peace coming to our country and our neighbouring country than Rwanda,” he said. Kagame pointed out that as the two countries were close to restoring peace, when the international community intervened and “twisted everything leaving the two countries in extreme misunderstandings and putting all the blame on Rwanda”. “…Actually the problem of DRC came from outside….it was created by the international community – our partners – because they don’t listen, they are so arrogant to listen and in the end they don’t actually provide a solution they just keep creating problems for us. We know better our problems, we know better about this region’s problems,” the President added. Over the last few years, officials from both sides of the border have met on several occasions, to come up with ways of eliminating armed groups in Eastern DRC. In 2009, Rwandan and Congolese armies mounted joint operations which weakened armed groups, especially the FDLR. The Umoja Wetu Operation came just months after Rwanda had helped put down a rebellion in eastern DRC by brokering a deal between Kinshasa and CNDP rebels, and arresting the rebels’ leader Gen. Laurent Nkunda. “We are genuine about trying to find a solution for this problem, but they (international Community) come and run over everything and when things explode they will come around and blame us for it, even when they are the ones who cause the problems,” Kagame said. He added that during last year’s presidential elections in the Congo, Rwanda tried to play a positive role with the Kinshasa government, and after that, the two countries kept working together to deal with the problems in the east. “We worked with them to deal with the challenges they had within their own country and then some people were not happy about that. They came up with the idea of arresting some people in the Congo for justice and accountability – which is good if only it was not selective. He explained that Rwanda’s response was that it did not see how it must get involved with arresting Congolese soldiers, maintaining that was for the DRC government to decide. “We asked them that ‘how does that become our problem, why don’t you go and arrest him?” Kagame said in reference to Gen. Bosco Ntaganda, who was then a serving Congolese army officer but indicted by the ICC for crimes he allegedly committed 10 years ago. Ntaganda was the leader of the CNDP rebels who had been integrated in the Congo army under the March 23, 2009 agreement. “They insisted that we must have to help, and the pressure turned from Congo to us…this was before this conflict, and this kept going on and on. We appealed to them, we advised them that they were going to mess up the progress that has been made but they couldn’t listen,” said President Kagame. “After that, members of the international community developed an idea that if Rwanda can’t support them to arrest someone in another country, then they would put us together with those they want to arrest, and this is really how it turned out to be. I am not dramatising anything here, I am telling the real story.” Kagame added that, after the latest crisis broke out in DRC (in April), he telephoned his Congolese counterpart Joseph Kabila and discussed the matter. “I asked him (Kabila) if he was aware of what was going on, if he had a hand in it, and if he wasn’t creating problems for himself, and he said no and that he had been approached (by the international community) and added that ‘my approach is different, I want to arrest some people for indiscipline but not handing them over to ICC’,” explained President Kagame, who said that he and President Kabila had all along kept talking over the developments in eastern DRC to help find a lasting solution. Kagame said he had agreed with Kabila that officials from both countries meet and come up with the most appropriate way of dealing with the unfolding tension within the DRC. A meeting was later convened in the Rwandan border town of Rubavu. “On the request of the Government of the DRC, Congolese officials called in the representatives of the (M23) rebels, one of them being the current leader of the rebellion. The group explained their grievances and the officials of the Government of Congo were taking note of the problems that were being raised and saying that they were aware of the problems that were being mentioned; they said they would address the problems when they go back to Kinshasa,” explained Kagame. However, the Congolese officials went back to Kinshasa and did the contrary, the President pointed out. “Then the International Community was saying that Rwanda is helping rebels, but helping them with what, and for what reason? They say we supply them with ammunition, but these people get guns from the Congolese army. The ammunition they have is from their Congolese armouries. “We are not supplying even one bullet, we have not and we will not. If we had supplied them, by the way, I would be telling you that we have done so because we would have done it for a reason; but we have not even had a reason to have this conflict going on. On the contrary, we tried to prevent it and we advised both Congo and the international community,” said Kagame. The Head of State added that for some reasons, the west is able to put the mess they have caused on some other people’s shoulders, adding “maybe that’s why they never listen”. This week, members of the UN Panel of Experts on the Congo, who released the controversial preliminary report in whose addendum they accused Rwanda of supporting the DRC, are expected in the country to hear Rwanda’s side of the story. “If the world has these kinds of experts on whose account of their report people are going to be penalised and abused, then please if you can’t prevent that, then you need to know how to constantly challenge it,” said the President. The US government, over the weekend, released a statement saying they are holding a $200,000 pledge to support a Rwandan Military academy. Source: http://www.newtimes.co.rw/news/index.php?i=15063&a=56268

Sunday, July 22, 2012

JOB IN MINEMBWE/ OFFRE D'EMPLOI A MINEMBWE

-------------------------------------------------------------------------------- Coordinateur de terrain / Field Coordinator Sector: Program Management Location: DR Congo Employee Type: Regular Employee Category: Full Time -------------------------------------------------------------------------------- Description An English Description Will Follow: Le bureau de terrain de l'IRC à Minembwe est situé dans un lieu reculé où les conditions de sécurité sont imprévisibles. Le Coordinateur de terrain, basé à Minembwe, est à la tête du bureau et il est responsable de tous les éléments de sécurité, de logistique, d'administration, de ressources humaines et de finance qui sont mis en œuvre à partir de ce bureau dans la zone de programmation. Il est également chargé de superviser la mise en œuvre au quotidien des programmes de lutte contre la violence de genre (GBV), en coordination étroite avec les Coordinateurs de programme de santé et de GBV basés au bureau provincial de Bukavu. Le portefeuille programmatique actuel de la région de Minembwe aborde la santé primaire, la santé reproductive et la violence de genre, et comprend des interventions occasionnelles de réponse d'urgence. Le budget de programmation de la région du bureau de terrain pour la mise en œuvre des programmes est de plus de 2 millions de dollars par an. Quarante personnes travaillent au bureau de Minembwe et dix autres à l'antenne de Mikenge, située dans la zone sanitaire voisine d'Itombwe et également sous la responsabilité du Coordinateur de terrain. RESPONSABILITÉS Gestion des opérations et des finances Mettre en œuvre et documenter l'ensemble des procédures administratives, financières et logistiques de l'IRC, et veiller à leur respect par tout le personnel en tout temps. Mettre en œuvre les systèmes logistiques et veiller à leur conformité aux protocoles de l'IRC et des donateurs : suivi des actifs de l'IRC, système de gestion informatisée des stocks et système d'approvisionnement. Effectuer des audits réguliers et résoudre les problèmes en lien avec l'approvisionnement, la gestion des stocks, les contrats fournisseurs et la gestion et le traitement des actifs. Mettre en œuvre, réviser et maintenir des contrôles financiers internes et un système de gestion de la trésorerie vérifiables. Assurer l'exactitude des rapports financiers ainsi que leur conformité aux exigences de l'IRC et des donateurs. Effectuer des visites de terrain régulières pour superviser et soutenir le personnel IRC du bureau de Mikenge et des autres antennes de terrain de la région. Garantir la transparence financière de toutes les dépenses réalisées par l'IRC dans la zone opérationnelle de Minembwe en assurant le suivi de la mise en œuvre des procédures financières et logistiques, et en effectuant des visites de terrain régulières pour superviser les activités programmatiques. Administration/RH Assurer la gestion quotidienne des RH (ex. recrutement, congés, gestion des performances) pour tout le personnel basé à Minembwe. Veiller à ce que le Code de conduite IRC et le Règlement interne soient entièrement compris et appliqués par l'ensemble du personnel de Minembwe. Apporter orientation et inspiration à l'équipe de Minembwe afin de préserver un environnement de travail professionnel et harmonieux en dépit des contraintes liées à l'isolement et la sécurité du contexte local. Représentation Établir de bons rapports avec les autorités locales et autres leaders locaux de la région, promouvoir et préserver l'acceptation de la présence de l'IRC et de la programmation dans la région, et entretenir de bonnes relations avec les membres de la communauté locale. Sécurité Assumer la responsabilité globale de la sécurité et de la sûreté de l'ensemble du personnel et des actifs de l'IRC dans la zone de compétence. Assurer la liaison avec les Nations Unies (MONUSCO), les autres agences et les autorités locales, rester continuellement informé de l'évolution de l'environnement sécuritaire dans la région, et communiquer une analyse solide et des recommandations au bureau provincial de Bukavu sur une base régulière. Développer et mettre constamment à jour les procédures et protocoles écrits de sécurité. Veiller à ce que l'ensemble du personnel soit adéquatement formé à l'utilisation de tout l'équipement de communication. Mise en œuvre du programme. Veiller à ce que les activités programmatiques de l'IRC à Minembwe soient mises en œuvre comme prévu, en étroite coordination avec les Coordinateurs de programme Santé et GBV du bureau de Bukavu. Communiquer aux Coordinateurs toutes les modifications de planifications rendues nécessaires par les questions de sécurité et autres contraintes opérationnelles. En cas de besoin, fournir une supervision et un soutien opérationnel aux activités programmatiques de réponse d'urgence dans la zone d'opération, en coordination avec le Coordinateur de programme RRMP (réponse d'urgence) de Bukavu. Assurer la coordination et la supervision de la production, par les Responsables de programme, de rapports détaillés réguliers sur l'avancement du projet à l'intention des Coordinateurs. Aider au développement d'argumentaires et de budgets pour la proposition de projets, en coordination avec les chefs de projet, selon les besoins. Ce poste est sous la supervision du Directeur provincial adjoint des opérations (DPDO) du Sud Kivu, basé dans le bureau provincial de Bukavu. EXIGENCES Master souhaité, préférablement dans le développement international ou la gestion ; Au moins 3 ans d'expérience professionnelle auprès d'ONGI dans des pays en développement, de préférence en Afrique, et une expérience significative de travail dans un contexte non sécurisé ; Expérience professionnelle dans la gestion de sécurité, la logistique, la finance et l'administration au sein d'une ONGI ; Capacité démontrée à gérer du personnel de terrain ; Excellentes compétences en communication interculturelle ; Compétences en résolution des problèmes et prise de décision ; Solides compétences informatiques et rédactionnelles pour la production de rapports ; Souplesse, capacité à travailler de façon indépendante et à respecter les délais ; Capacité et motivation à travailler dans un environnement non sécurisé et isolé, et à rester calme sous la pression ; Expérience d'utilisation de radios HF (CODAN), de radios VHF et de téléphones satellites ; Maîtrise courante du français parlé et écrit ; bonne maîtrise de l'anglais parlé et écrit ; SITUATION DE SÉCURITÉ SPÉCIFIQUE/HÉBERGEMENT Le bureau de terrain de Minembwe est situé dans une région très reculée de conflit latent mais persistent entre le gouvernement et plusieurs groupes armés. Des mesures de sécurité sont en place (installations sous surveillance, équipement de communication). L'hébergement fourni est basique mais confortable. Il est équipé de façon à être raisonnable et adapté au contexte. ****** The International Rescue Committee (IRC) responds to the world’s worst humanitarian crises and helps people to survive and rebuild their lives. Founded in 1933 at the request of Albert Einstein, the IRC offers lifesaving care and life-changing assistance to refugees forced to flee from war or disaster. At work today in over 40 countries and 22 U.S. cities, we restore safety, dignity and hope to millions who are uprooted and struggling to endure. The IRC leads the way from harm to home. SCOPE The IRC field office in Minembwe is located in a remote environment with unpredictable security conditions. The Field Coordinator, based in Minembwe, is head of the office and is responsible for all aspects of security, logistics, administration, human resources and finance that are implemented from that office and in the area of program implementation. He/she is also responsible for overseeing daily program implementation of health and gender-based violence (GBV) programs, in close coordination with the Health and GBV Program Coordinators who are based in the Bukavu provincial office. The current program portfolio in the Minembwe area includes primary health care, reproductive health, gender-based violence, and occasional interventions for emergency response. The programming budget for the field office area of program implementation is over $2 million per annum. There are 40 local staff based in the Minembwe office and 10 staff based in the ‘antenna’ office in Mikenge, which is located in the neighboring health zone of Itombwe and also falls under the Field Coordinator’s area of responsibility. RESPONSIBILITIES Operations and Financial management Implement, document and ensure that all IRC administrative, financial and logistics procedures are applied at any time by all staff. Implement and monitor logistics systems that conform to IRC and donor protocols: IRC assets tracking, computerized warehouse management system, and procurement system Regularly audit and address problems with procurement, warehouse management, vendor contracts, and asset management and disposal. Implement, revise, and maintain verifiable internal financial controls and cash management system. Ensure that financial reports are accurate and meet IRC and donor reporting requirements. Conduct regular field visits to provide monitoring and support for IRC staff in the Mikenge office and other field locations in the area Guarantee the financial transparency of all expenses made by the IRC in the Minembwe operational zone, by following up on the implementation of financial and logistics procedures, and by carrying regular field visits to monitor program activities. Admin/HR Ensure the daily HR management (e.g. recruitment, holidays, performance management) of all staff based in Minembwe. Ensure that the IRC Code of Conduct and Internal Rules and Regulations are fully understood and implemented by all Minembwe staff. Provide guidance and inspiration to the Minembwe team in order to maintain a professional and harmonious work environment despite the constraints linked to isolation and security of the local context. Representation Establish a good rapport with local authorities and other local leaders in the area, to promote and maintain the acceptance of IRC presence and programming in the area and ensure good relations with members of the local community. Security Assume overall responsibility for the security and safety of all IRC staff and assets in the area of responsibility. Liaise with UN (MONUSCO) and other agencies and local authorities, remain continually informed of the evolution of the security environment in the area and communicate sound analysis and recommendations to IRC provincial office in Bukavu on a regular basis Develop and continually update written security procedures and protocols. Ensure that all staff are adequately trained in the use of all communications equipment Program implementation Ensure that IRC program activities in Minembwe are implemented as planned in close coordination with the Health and GBV Program Coordinators in Bukavu office Communicate any necessary changes in planning due to security or other operational constraints to the Coordinators Provide oversight and operational support to emergency response program activities in the area of operation when required, in coordination with the RRMP (Emergency Response) Program Coordinator in Bukavu Coordinate and review the production of regular narrative reports on project status from the Program Managers to the Program Coordinators Assist with the development of project proposal narratives and budgets in coordination with project managers, as needed This position reports to the Deputy Provincial Director for Operations (DPDO) for South Kivu, who is based in the Bukavu provincial office. REQUIREMENTS Masters degree preferred, ideally in international development or management; Minimum of 3 years experience working with INGOs in developing countries, preferably in Africa and with substantial experience working in an insecure context; Professional experience in security management, logistics, finance and administration while working with an INGO; Demonstrated ability to manage field staff; Excellent cross-cultural communication skills Problem-solving and decision-making skills; Strong computer and report writing skills; Flexibility, ability to work independently and meet deadlines; Ability and will to live/work in an insecure and isolated environment and remain calm under pressure; Experience working with HF radios (CODAN), VHF radios, satellite telephones; Fluency in spoken and written French; good spoken and written English; SPECIFIC SECURITY SITUATION/HOUSING The Minembwe field office is located in a very remote area of latent but persistent conflict between Government and multiple armed groups. Security measures are in place (guarded compounds, communication equipment). Housing provided is basic but comfortable. It is equipped to be reasonable and appropriate to the context.

Friday, July 20, 2012

Tawimbi Yashubijwe muri Leta ya RDC, Inka zikomeje Kunyagwa

Nyuma yagahengwe kari kamaze iminsi ruguru, Inka 150 zanyazwe kandi Mibunda ntamakuru menshi arashika ariko bamwe bavuga ngo niza Basama bo Kundondo kandi zajanywe numbubembe bita AOCI, izindi 13 nazo zajanywe na FDLR Kukiryama aho ni Gahololo,zahitanywe na FDLR zigiye muri Nord ngo Nihamba ninkaho ari zaba Nyirakuru Hamwe Nibyo mu Marungu Habereye ibiganiro Hagati ya Col Delphin Kayimbi userukira Gouvernement aherekejwe na Commandat secteur Uvira Rugaya- David na Commandant was 111 Regiment Col Jean jacques Bisetsa Hamwe na Col Richard Tawimbi ibiganiro byabereye mu Marungu dore niyo Sun City yachu, Ibyo yasabye byose barasa naho babyemeye kandi bahise bavuga ko uhereye kumwisho wukukwezi azahembwa , none basize babwiye abasoda bari Marungu ngo Tawimbi sumwanzi wigihugu, aho akenera hose muri Congo yahagenda atariko mbere yuko nzagaruka mbaye musize hano Marungu Ningabo ze zose Mukomere Rev Samson

Wednesday, July 18, 2012

Nord-Kivu: les miliciens Raïa Mutomboki prennent le contrôle d’une autre localité

Dore ibyaramutse muri DRC selon Radio: Après des combats avec les militaires congolais, ce mercredi 18 juillet dans la matinée, les miliciens Raïa Mutomboki ont pris le contrôle de la localité de Njingala, située à 48 km de Walikale-centre, déjà sous leur occupation. Selon des sources locales, ces miliciens Maï-Maï tenteraient de prendre le contrôle d’autres localités du territoire de Walikale. Les miliciens qui ont attaqué Njingala sont venus de la localité d’Obaye, rapportent des témoins joints au téléphone. D’autres sources indiquent qu’après avoir pris le contrôle de cette localité, un groupe de miliciens se sont dirigés vers la localité de Mubi qu’ils auraient encerclée. A Walikale-centre, cité sous leur contrôle depuis le mardi 17 juillet, les miliciens ont renforcé leur présence. Un habitant affirme que mille autres combattants se sont ajoutés au trois cents qui ont mené l’attaque d’hier. Ces combattants sont en majorité recrutés parmi les jeunes dont des mineurs d’âge. Ils seraient habillés en civil et armés pour la plupart de lances, de machettes et de quelques armes à feu. Au cours de l’attaque de Walikale-centre, deux militaires ont été tués et huit autres blessés. Une femme et un milicien ont également été tués. Interrogés par Radio Okapi, des responsables militaires du territoire de Walikale indiquent que des opérations pour contre attaquer ces Maï-Maï sont actuellement planifiées par les soldats des Forces armées de la RDC (FARDC) qui sont retirés jusqu’à environ 4 km de la cité de Walikale-centre. Le commandant militaire à Walikale reconnaît que la situation est complexe car, dit-il, les miliciens ont pris la population civile comme boucliers humains. De leur côté, les notables des communautés Lega, Nyanga, Tembo et d’autres personnalités de la société civile locale envisagent de négocier avec ces miliciens pour qu’ils se retirent de Walikale-centre. Les Raïa Mutomboki prétendent être une milice d’autodéfense qui lutte contre les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Mais ils s’illustrent quelque fois par des exactions contre des populations civiles. En avril 2012, ils ont signé un accord de principe avec les FARDC à Shabunda-centre (Sud-Kivu) pour la pacification de ce territoire. Les miliciens s’étaient engagés à déposer les armes et à regagner la vie civile à condition que les militaires leur garantissent la sécurité. Les autorités militaires avaient promis de leur garantir la sécurité s’ils déposaient les armes. Source : radiookapi.net:

Friday, July 13, 2012

LA DELEGATION DE BANYAMULENGE DE KINSHASA DENONCE LA XENOPHIE DU PPRD

Cet article est publie en entiereté sur la delegation banyamulenge pour denoncer la campagne xenophobique contre les tutsis congolais aupres du PPRD du regime de Kabila. Le gouvernement n’entend pas tolérer un quelconque mouvement xénophobe contre la communauté tutsi de la RDC suite à des élans de colère populaire suscitée par la rébellion des insurgés du M.23 au Nord-Kivu, a clairement signifié le ministre de l’Intérieur à une délégation de cette communauté venue lui exprimer ses inquiétudes face à un dérapage xénophobe qu’elle redoute L’exacerbation que suscite dans les esprits des Congolais l’insurrection rebelle de Bosco Ntanganda et comparses que le public identifie comme le front armé de la communauté tutsi en RDC comporte un risque sérieux d’explosion d’un fort sentiment xénophobe contre cette communauté. Cette propension xénophobe a commencé même à transpirer dans le cercle du parti proche du président de la République, le PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie) qui a dénoncé mercredi à sa matinée politique l’agressivité des rebelles du M.23 en appelant la population congolaise à la mobilisation générale contre les comploteurs de la déstabilisation de la RDC. Face à la menace entrevue de dérapage xénophobe contre la communauté tutsi, ses représentants n’ont pas tardé à exprimer leurs inquiétudes. Et pour vite parer à toute éventualité, ils ont démarché pour obtenir rapidement des garanties de sécurité auprès des autorités gouvernementales. C’est dans ce contexte que l’autorité gouvernementale en charge de l’administration et de la sécurité du territoire qui oeuvre en étroite liaison avec la haute hiérarchie du pays a accédé avec diligence à la requête des représentants de la communauté tutsi. Le ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières, M. Richard Muyej Mangeze Mans, a, en effet, vite accédé à la demande lui soumise en acceptant de recevoir jeudi la délégation de la communauté tutsi qui sollicitait présenter ses doléances. Plus d’une dizaine de membres de cette communauté ont constitué la dite délégation conduite auprès du ministre Muyej par un de leurs leaders en vue en la personne de l’ancien Vice-président de la République dans le système 1 + 4, Me Azarias Ruberwa, également ancien chef rebelle de l’ex-RCD/Goma. Acette audience leur accordée dans la salle des réunions au cabinet de travail du patron de la territoriale, les hôtes du ministre ont soumis à ce dernier toutes leurs préoccupations. Leur porte-parole désigné pour exprimer leurs doléances a étalé la préoccupante situation qu’ils redoutent de faire les frais d’une chasse aux sorcières dans le système 1 + 4. Dans le plaidoyer de défense de leur cause, le porte-parole a évoqué sans détours la menace perçue dans les diatribes proférées mercredi par les ténors du PPRD à la matinée politique organisée par cette formation politique. Il va sans dire que les interlocuteurs du ministre de l’Intérieur ont épinglé comme source de menace pour leur vie la mobilisation générale décrétée par le PPRD pour soutenir les forces combattantes des FARDC au front de la guerre leur menée par les rebelles du M.23 dont plus personne ne doute du soutien extérieur du Rwanda, le pays foyer de la communauté tutsi dans la région. Le chef de file de la délégation, ci-devant Me Azarias Ruberwa n’a pas méconnu les actes de barbarie que commettent les rebelles du M.23 à l’Est de la RDC. Il a indiqué que la communauté tutsi les désapprouve et les dénonce fermement. Il lancera ensuite un message de paix au nom de son groupe ethnique en appelant à l’arrêt immédiat de la guerre. Pour sa part, le ministre Richard Muyej très réceptif a écouté attentivement les doléances lui présentées par ses hôtes. Prenant ensuite la parole pour leur répondre, il commencera par les tranquilliser en leur signifiant que le gouvernement ne tolérera ni ne permettra de dérapage xénophobe vis-à-vis de quelque groupe ethnique que ce soit. Conformément aux préoccupations lui soumises, le ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières a rassuré les membres de la délégation de la communauté tutsi en RDC que le gouvernement veillera à assurer la protection des personnes pour lesquelles il est prévenu des menaces encourues d’atteinte à leur intégrité physique. C’est finalement dans une autre plaidoirie cette fois de la paix que le ministre Muyej s’est lancé devant ses interlocuteurs. Le patron de la territoriale et des services de l’ordre et la sécurité a invité la population à la sérénité que lui-même sait afficher devant ses hôtes comme il l’a aussi démontré devant la délégation tutsi, en insistant sur la culture de la paix et la mobilisation pour la solidarité nationale. L’heure ne doit pas être à la division dans les rangs de toute mosaïque ethnique nationale mais à se serrer tous les coudes face aux ennemis de la paix. Le ministre a été relayé dans ses propos par le gouverneur de la ville de Kinshasa, M. André Kimbuta, qui a assisté à l’audience qui a fini par baigner dans une ambiance de jovialité. Daniel Nzuzi/MMC