Friday, December 31, 2021

COMMUNIQUE DU GROUPE D’AUTODEFENSE CIVILE TWIRWANEHO


1. VERITE SUR LES ATTAQUES DE KAMOMBO

Depuis ce lundi, 27 décembre, les réseaux sociaux et le porte-parole de l'opération Sukola II Sud Sud-Kivu, parlent d'une prétendue attaque de Twirwaneho contre les positions des FARDC basées à Kambombo. En réalité, et comme d'habitude, Twirwaneho n'a pas attaqué et n'attaque jamais les positions des FARDC. C'est plutôt les attaques des Maïmaï appuyés par les FARDC contre les civiles Banyamulenge qui ont dégénéré.

En effet, selon les sources militaires et civiles, le Commandant du 121ème bataillon basé à Mikenge, le Col André Ekembe, a préparé avec les Maïmaï, des attaques simultanées sur différents axes contre les villages Banyamulenge. Ces attaques ont été menées par les Maïmaï Bishambuke et Yakutumba, à l'avant- plan, appuyés en armes et munitions par le bataillon du Col Ekembe. Des preuves matérielles, y compris des messages audios sur les préparatifs, tant tactiques que logistiques des attaques circulent sur les réseaux sociaux, témoignant de cette complicité.
En date du 26 Décembre, ces attaques ont effectivement eu lieu, l'une à Kivumu, dans les périphéries de Minembwe et l'autre à Nyamara dans Kamombo. Toutes ces attaques furent repoussées par l'autodéfense Twirwaneho. Celle de Nyamara dégénéra car les Maïmaï, après avoir tué un berger munyamulenge répondant au nom de MUTABERA GAHIRIMA et ravi une dizaine des vaches, se sont repliés dans les camps des FARDC. A la poursuite de leurs vaches et des Maïmaï, les membres de la force d'autodéfense Twirwaneho sont entrés en collision avec les FARDC mixés aux Maïmaï.

Tout en regrettant les pertes en vies humaines de tous les côtés, nous condamnons et dénonçons fermement la collaboration des FARDC avec les Maïmaï visant à détruire les villages, à piller les vaches et à chasser les banyamulenge de leur milieu.
Par ailleurs, nous tenons à dénoncer les calomnies en forme de manipulations médiatiques, mensongères et récupérations politiques concernant d'éventuelles mutilations par les forces d'autodéfense Twirwaneho de certaines personnes tombées sur le champ de bataille. Des acteurs impartiaux travaillant dans le secteur, tels que la Monusco qui a assuré le transport des corps, peuvent témoigner de la fausseté de ces allégations ! Cette manipulation qui n'est pas la première, vise à servir de prétexte pour poursuivre les meurtrières attaques contre les Banyamulenge. On se souviendra de l'attaque et destruction des villages des Banyamulenge en août 2021 sous prétexte que les Twirwaneho travaillent avec un groupe terroriste. Il n'est pourtant secret pour personne que c'est sont plutôt les FARDC de l'opération Sokola II qui hébergent les rebelles Burundais de Red-Tabara car, utilisés en renforts des Maïmaï pour déraciner les Banyamulenge.

Cette manœuvre de désinformation et manipulation de l'opinion est désormais une nouvelle arme de guerre dans l'arsenal des FARDC pour parfaire le projet d'extermination des Banyamulenge. On se souviendra qu'en août 2021, les FARDC avaient attaqué Kamombo sous prétexte que les Twirwaneho étaient en coalition avec un mouvement terroriste étranger. Pur mensonge cousu du fil blanc. Une autre raison à ce montage est le fait que les FARDC cherchent
 
à masquer leur faiblesse à protéger le major Joseph Kaminzobe dont le tragique assassinat a jeté un discrédit sur ces derniers. Rappelons que le regretté a été lynché, brûlé vif et sa chair mangée par les notables et la population de Lueba alors qu'il voyageait dans une ambulance en compagnie de ses camarades d'armes dont son chef hiérarchique. Aucun coup de feu n'a été tiré. Un opprobre que les FARDC cherchent à faire oublier.

2. UN ASSAUT SUR MINEMBWE SE PRÉPARE

Après ces attaques Maimai et FARDC contre les civils de Kamombo, les informations crédibles et recoupées des sources indépendantes en notre possession renseignent que le Col Ekembe vient d'appeler et de rassembler les Maïmaï de tous bords, pour un assaut final contre Minembwe et le camp de déplacés Banyamulenge de Mikenge.
Les sources renseignent que ces attaques seront dirigées par le général Maïmaï Yakutumba et vont impliquer les groupes Maimai Kakobanya, Zela Mbuma, Jimmy.
Le colonel Ekembe a livré 8 fusils mitrailleuses (PKM) et 94 boîtes des minutions pour cette opération.
Nous informons l'opinion nationale et internationale que le génocide de Banyamulenge longtemps décrié est à sa phase terminale. Les commanditaires et exécutants de ce plan macabre étant les généraux Muhima Dieudonné et Yav Philémon, ainsi que le Colonel Ekembe André, respectivement ancien commandant Brigade basée à Minembwe, commandant de la Zone de Défense Est et le commandant du 121ème bataillon des FARDC en coalition avec les Maïmaï.

Une fois encore, nous implorons notre gouvernement à mettre fin à cette meurtrière alliance FARDC- Maïmaï et qu'il protège toutes les populations des Hauts Plateaux.
Nous demandons à la communauté internationale d'intervenir avant que le pire n'arrive.

Fait à Kamombo, le 31/12/2021

Pour le groupe d'auto-défense civile Twirwaneho
KAMASA NDAKIZE WELCOME Coordinateur
 

Saturday, December 11, 2021

Les Extrémistes Congolais deviennent des Cannibales! Où va la RDC?

Incroyable, mais vrai: les tribalistes Kivutiens commence les pratiques de cannibalisme contre les Banyamulenge après avoir échoué leur plan genocidaire! 

La mort meurtrière du major Joseph Kaminzobe par les Bembe de Lueba en complicité avec ses collègues de la FARDC dont son chef direct s'ajoute à une sélection des catégories de population Banyamulenge à exterminer. Les bourreaux arrivent jusqu'au traitement des cadavres de leurs victimes dont non seulement ils brûlent, mais aussi mangent aisément comme l'on mange la viande normale. 

Le Major Joseph était un officier militaire dans l'armée congolaise dont sa grande responsabilité n'était que la protection des civiles et leurs bien. Mais, pour les tribalistes congolais dont la mission idéologique est devenue l'extermination et l'épuration ethnique des Banyamulenge, même les militaires Banyamulenge ne sont plus épargnés. 

Que peut-il y avoir d'ordinaire dans la politique génocidaire des autorités congolaises dont l'activité principale et quotidienne est tout entière tournée vers le meurtre à grande échelle de ses congénères ?

Au Congo, on a besoin des psychiatres et anthropologues qualifiés afin de nous donner une réponse explicative sans détour concernant un agenda militaire et politique de ceux qui dirigent la RDC et consentent à une violence extrême jusqu'au point où les gens tuent et mangent les victimes à cause de leur morphologie et appartenance ethnique et s'en font les exécuteurs directs. 

Rappelons clairement que la politique genocidaire des officiers pervers congolais et leurs monstres milices Mayi Mayi est simplement animés d'une haine à l'outrance contre les Banyamulenge jusqu'au sommet de l'état d'exécuter l'épuration ethnique contre les Banyamulenge dans leur pays. 

Pour les naïfs d'entre nous qui croient toujours en leur soit disant gouvernement, il faut comprendre que le soit disant gouvernement congolais n'est pas même intéressé de conduire une enquête minutieuse, rigoureuse, et impartiale sur l'assassinat ciblée de leurs officiers afin de mettre les criminels hors état de nuire, car c'est justement leur agenda politique contre les Banyamulenge. Quand c'est les Banyamulenge qui sont victimes, ça devient automatiquement silence radio. Mais il faut avouer que cette politique genocidaire contre les Banyamulenge arrive à l'apogée. 

Il faut aussi admettre que le pire danger épouvantable que le président Tshisekedi a instauré en RDC c'est de donner le pouvoir absolu aux extrémistes tribalistes Mayi Mayi en uniformes de l'armée nationale afin d'obtenir une popularité à l'Est du pays. 

Toute personne rationnelle et avertie sait que le gouvernement congolais a opté a priori la politique à caractère « inhumain » des meurtres de masse. 

Ici il faut souligner que malheureusement le président Tshisekedi a accepté d'apporter son concours aux régimes les plus dévastateurs de l'histoire récente de la république. Le pays continue d'être de plus en plus ingouvernable et sanglant. Mais les voisins et grandes puissances jouent le jeu des sourds-muets à cause des intérêts que leurs offrent le président touristique Mr. Tchilombo. 

En plus du danger politique, nous avons à faire à non seulement un genocide contre Banyamulenge en cours depuis début Avril 2017, mais aussi une crise morale et sociologique qui nécessite déployer une anthropologie générale capable de cerner au plus près les conditions sociales et politiques qui justifie comment un officier militaire peut organiser la meurtre même de son subalterne soldat de l'armée gouvernementale à cause simplement de leurs facieces et les brûler vifs au su et au vu de tout le monde! Tel était le cas avant hier à Lueba où un officier militaire ( Major) fût trahi par son supérieur et collègues et livré aux milices Mayi Mayi alors qu'il était tranquille dans un véhicule avec les autres. 

Le major Joseph Kaminzobe est un autre victime directe de la politique genocidaire hypocrite de Tshisekedi qui arme les extrémistes politiciens et , les milices extrémistes tribalistes alors qu'il chante la chanson de la paix. 

La discrimination et tracasseries des Banyamulenge reste continuellement monnaie courante et avec plus de force encore et il s'agit des violences les plus extrêmes comme le sont les exterminations de masse Banyamulenge de hauts plateaux est très documenté. 

Il sied de souligner aussi que les comportements, les symptômes et les silences des bourreaux tant politiciens que militaire congolais sur la politique genocidaire envers Banyamulenge est également très bien documenté.