Tuesday, November 28, 2006

Minembwe Touristic Attractions

Promoting Mulenge wildlife.

As you can see from the Picture, Mulenge officially the entire territory of Minembwe known as Itombwe hauts plateaux is a marvelous place with beautiful nature and wildlife. Few people have yet discovered this virgin land. No wonder Banyamulenge people are wrongly hated for living in this paradis.
The following is what the world has yet to discover about one of the best and beautiful remaining place_ the high Hills of Minembwe Territory known as Hauts Plateaux d’Itombwe. Itombwe is the entire land of mainly Banyamulenge people in the eastern Congo.We are right in Central Africa. We have one of the best Mountains you will ever find in the Great Lakes.
Minembwe torritory or Itombwe hauts Plateaux have unbeliable beautify.
Hear what one of the best Mulenge tourist had to say about Mulenge Itombwe. The Itombwe Massif on a DR Congo map, is a five day trek from Uvira on the shores of Lake Tanganyika. This is the last untouched forest of the region. Take a look, this is what the Albertine Rift looked liked a century ago” says John, Mulenge tourist. We have big rivers with clean water. Some of the Mulenge large rivers such as Ruvubu, Mushojo, Rwerera, Minembwe, and Lwiko go in different ways; some go in the Congo river, others form the Nile source and end in the Mediterranean. The heart of Mulenge is green and humid.

FAUNA AND FLORA (see the pictures)

Did you know that our special bird called “Itombwe Nightjar” was known as one of the only one specimen taken in what was known as Zaire since February 1952 it was refered to as “Itombwe Nightjar” in the Ancyclopedia? It breeds in tropical central Africa. It is assumed to be a nocturnal insectivore like other nightjars. (Nightjars by Cleere and Nurney, ISBN 1-873403-48-8 ) “Prigogine's Nightjar is a small nightjar at 19 cm, short tailed and large headed”
Minembwe territory/Mulenge/Itombwe is home to some threatened Species, we invite tourists and animal protectionist organization to come and visit the sites.

AKM

Monday, November 27, 2006

Le combat reprend a` Goma

Selon les informations qui nous arrivent aujourd'hui les combats entre les militaires du General Laurent Nkunda et la force de l'armée Congolaise ont repris ce lundi matin, à quelques kilomètres de Goma dans une ville de Sake. Comme le confirme radio Okapi "les casques bleus de la brigade indienne ont dû intervenir en utilisant des hélicoptères et en lançant des opérations au sol pour amener les hommes fidèles à Nkunda à rentrer dans leurs positions autour de Sake" raporte radio okapi.
La question qu'on se passe est de savoir si le général Laurent Nkunda a une convention avec Jean Pierre Bemba qui continue a` causer de trouble a` Kinshasa compte tenu de son opposition aux résultats életorale. Il faut aussi souligner que ces incidents risquent de se repandre au sud Kivu si le gouvernement de Kinshasa decident de deployer des troupes a` Uvira via Kalemie. Ces nouvelles sont inquiétantes surtout que ca pourra encore avec des repercussions a` la sécurité de notre peuple. Nouvelle a` Suivre.

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Sunday, November 26, 2006

INGABO ZABISOGO MUBIBOGOBOGO KUBIGANIRO

Inkuru itugezeho nuko ngo delegation yabasirikare ba Bisogo basigaye batuye mu Minembwe, ngo baba bagiye mubibogobogo kugira ngo baganire naba Bembe kubyerekeye umwuka mubi uvugwa mugace kabubembe. Ngo intego yurworugendo nukujya kuganira n'ababembe ngo kureba ko "bagabanya umwuka mubi hagati ya moko"
Uwatanze ayamakuru utashatse kuvugw'izina yavuze ko ngo uwomurongo ugamije gushaka ukuntu amoko yomuri Sud-Kivu yakwigana ayo muri Nord Kivu, ngo "bakarenga ibyamoko ndetse ngo byabangombga bakazarwanira hamwe bose".

Umuntu akabayibaza niba icyo gitekerezo kitashirwa mubikorwa n'izego zose za societe civile yamoko yose ya Sud Kivu, kugirango bose bashakishe inzira yokumara amacyakubiri bicyiye mubiganiro aho gucya muntambara.

Source
Anonym

Les élections oui, mais la démocratie Non

MAINTENANT QU’ON A EU FINALEMENT DES ELECTIONS DEMOCRATIQUES EN RDC, AVONS-NOUS LA DEMOCRATIE?


Il est évident que le peuple Congolais aspire a` la democratie jusqu’a` appeler leur pays une republique democratique!. Mais en réalité c’était plus une aspiration si pas meme une fantaisie qu’une réalité. Mais, aujourd’hui on a finalement élu democratiquement nos leaders. La question est celle-ci: sommes nous alors democrats ou democratiques?
A mon avis, l'organisation d'élections importante soit-elle, n'est qu'un élément de la democratization. Notre grand defi est de bâtir des alternatives démocratiques aux conflits.
On ne peut pas parler de la démocratie a` l’absence de développement.
Car la démocratie et le développement sont liés de manière fondamentale. Dans le contexte du Congo comme d’ailleurs, les deux sont liés car la démocratie fournit la seule base à long terme pour gérer des intérêts ethniques, religieux et culturels en compétition de manière à minimiser le risque de conflits internes violents. Il faut souligner que la démocratie est attachée de manière inhérente à la question de la bonne gouvernance, qui a un impact sur tous les aspects des efforts de développement.
Il faut aussi dire que les deux termes ou réalités sont liés car la démocratie est un droit fundamental de l’individu comme du groupe des individus, dont le progrès est en lui-même une mesure importante du développement.
Je ne sais pas s’il ya quelqu’un qui croit qu’en RDC on aura une bonne gouvernance bientot. Il faut aussi ajouter le droit à l'auto-détermination comme le stipulent bien tous les documents des droits de la personne. Bien que l'auto-détermination ne signifie pas nécessairement la sécession ou l'instauration d'un état, mais il faut qu’il y ait des structures politiques pluralistes qui permettent à des groupes socialement ou culturellement distincts d'avoir une plus grande autonomie. C’est dans ce contexte qu’au moins chacun peuple distinct obtient l'auto-détermination. Nous vivons encore des réalités ou une personne ou un groupe socio-culturel est harcellé pour avoir leur identité distinct, non pas ce qu’il a fait. Voici ce qui appel un tel groupe soci0-culturel a` une revendication a` une auto-determination totale car c'est le seul alternative a` sa survie.
Ici l’essentiel est que tous les peuples aient le droit de s'éxprimer au plan culturel, politique, social et religieux.
A cet égard, je ne pense pas que la RDC est mieux équipée a`créer des institutions spécifique qui examineront la question d'auto-détermination dans le sens surtout de developpement selon des normes objectives et universellement acceptables. Les élections oui on l' a eu, mais la démocratie, on la reve encore. Pour quoi alors ne pas rever grand?

Mon point de Vu

Akim

Friday, November 24, 2006

Urwenya Blagues ziwacyu

Umugabo w'umu Membre atese Ayaniyo Mahugurwa?

Ngumugabo umwe wumu membre yavuye ruguru azakuramutsa murumunawe iKigali. Bukeye murumunawe ati haraho bantumiye mwifete none ngwino tujyane unaramukirizeyo abandi ba membres. Bakimara kugerayo, abona amacupa menshi ya fanta, harimo imiheha( imikenke yakizungu), ngwabibone aryamurumunawe urwara, und'ati niki? wamugabo ngwese wambgira "biriya mbonye mumacyupa, niyo Mahugurwa tujya twumva kumaradio"?

By Muragizi Elise

L’Inquiétude de Banyamulenge dans un Congo incertain.

L’Inquiétude de Banyamulenge dans un Congo incertain.

Cet article s’adresse à tous nos concitoyens Congolais, hommes et femmes, jeunes et vieux, Kivutiens ou pas, ainsi que ceux de la diaspora pour engager avec eux une voix de paix et justice et surtout parvenir à lancer une nouvelle dynamique en développant une culture de la convivialité pour un Congo de demain. Quelques jours au lendemain des elections democratiques au Congo, que réserve le nouveau gouvernement élu de Kabila aux Banyamulenge? Petite minorité, exiguë, tourmentée, convoitée, le territoire de Minembwe comme ses habitants s’inquiéte encore et surtout aujourd’hui devant la croissance des voisins extremistes et genocidaires qui les entourent de partout, ainsi qu’un regime potentiellement hostile a`l’ existence de ce peuple pasteur. Car pour les Banyamulenge de Minembwe, il n’y a pas de doutes : l’entagonisme et la xénophobie de éléments extremistes au Congo vise la sublimation du territoire de Minembwe et l’annihilation du peuple Banyamulenge sur la carte du Congo comme pays. La question est de savoir comment Kabila élu jouera sa carte politique surtout a` la question du territoire de Minembwe. On n’ose imaginer en conséquence, ce que pourrait encore devenir dans cette région des hauts plateaux instable, un territoire à peine aussi grand que le Burundi et pas plus peuplé qu’un arrondissement de quartier de Bujumbura. Déjà totalement isolé et abandoné par sa classe intellectuelle, alimentée en chars et munitions par les forces negatives variées, mais tout de meme capable d’assumer son autonomie tant politique que financière, Minembwe pourrait bien se voir obligé a`se jeter entre les bras ouverts de l’un de ses cousins, en rallumant du même coup les brasiers mal éteints de la terrible et insoluble " question Banyamulenge " si le regime actuel reprenne les memes erreurs politiques que ses prédecesseurs. Mais en depit de cela, il faut dire ceci au peuple Congolais: nous avons connu toutes les guerres, nous avons vécu toutes les ségrégations, plus que les autres tribus, nous avons payé cher le prix de 3 derniers guerres du Congo qui nous ont été imposées. Nous avons démontré le courage et capacité de nous défendre, et si besoin il y a nous sommes encore prêt a` faire face aux courants des idéologies extrémismes qui se développent toujours dans notre pays et nous seront capable de contrecarrer ainsi toute possibilité de résurgence xénophobe et empêcher que notre peuple ne soit gardée, une nouvelle fois, en oppression par les leaders extrémistes. Cependant, bien conscient de la haine contre nous et le fait que personne n’a gagné pendant ce cercle vicieux de guerre au Congo, nous appelons tout de même a` nos voisins et a` notre gouvernement de savoir gérer les différences culturelles et ethniques en ayant recours au dialogue et au compromis et en développant une culture de la convivialité qui repose sur la démocratie et les droits de l’homme. Bien qu’apparemment aux yeux de certains, nous semblions avoir perdu le pouvoir politique compte tenu de l’échec électoral de notre candidat, qu’il soit connu de tout le monde que nous sommes toujours prêts et capable de défendre nos droits fondamentaux. Nous le sommes parce que nous avons décidé de prendre notre destin en main et de compter sur nous-mêmes longtemps avant même la création d’AFDL et RCD! Nous le sommes parce que nous refusons toute discrimination contre nous et que nous considérons que ce qui nous lie est beaucoup plus important que ce qui nous divise! Nous demandons a` tous les Congolais et les Kivutiens en particulier de comprendre que seul le respect du droit de chaque peuple nous rend tous égaux et fait que nos différences ne sont plus perçues comme un facteur de division, mais comme une source de richesse, comme c'est le cas ailleurs. Il n’ y aura jamais aucun jour ou Banyamulenge deviendront Bafulero ou Babembe et vis versa, et cela ne fait aucun plus congolais que l’autre. Nous disons ceci non pas parce que nous avons peur mais parce que nous pensons que nous pouvons vivre ensemble égaux et différents, comme ca toujours été le cas avec nos ancêtres! Apres tout, on n'a jamais demandé aucune assistance au gouvernement Congolais. Bien qu'isolé et délaissé, on a toujours reussi a` nous developper de notre maniere. On n'exploiter personne au contraire, le territoire de Minembwe a longtemps été une place d'opportunité pour nos voisins Kivutiens. On peut par example cité les milliers de Bashi, et Bafulero qui ne vivent qu'au detriment de faire des affaires a` Minembwe. Il est grand temps alors que nous tous, entant que Kivutiens et Congolais puissent définitivement tourner la page de la guerre dont nous avons tous été victimes. Ne perdons pas encore cette chance surtout après les élections historiques et démocratiques. A moins que le peuple et gouvernement Congolais arretent leur agenda xénophobe envers le peuple Banyamulenge, on risque tous de se voir encore plongé dans une autre époque où tout le monde reprendra encore ses armes pour cette fois nous liberer une fois pour toute ou nous annihiler tous. Dernier mot pour les extremistes, détrompez-vous, tout le monde est armé jusqu’aux dents, et cette fois-ci aucune Pierre ne restera posée sur une autre dans ces villes connues pour leur arrongance et hostilité envers les autres. Ces villes seront habitées par tous en paix ou en guerre, et peut-être aussi en ruine.

Mon Point de vu
By
Akim M

Thursday, November 23, 2006

COLETTE BRAECKMAN ATI MINEMBWE NTIGENDWA

Inaccessible Minembwe

Dominant Bujumbura, la ville congolaise d’Uvira et le lac Tanganyika, les haut plateaux de Minembwe offrent un contraste saisissant avec la luxuriance de la plaine de la Ruzizi. Des falaises abruptes, des prairies balayées par le vent où paissent d’immenses troupeaux. Pas de villages mais des fermes encloses, jalouses de leurs secrets. C’est ici, sur la terre des Banyamulenge, que la guerre a commencé en 1996. C’est ici aussi qu’elle pourrait reprendre.
Car les Banyamulenge, ces Tutsis arrivés du Rwanda par vagues, depuis des siècles ou des générations, ont toujours entretenu des relations ombrageuses, tant avec leurs cousins de Kigali qu’avec leurs voisins et compatriotes congolais. Ces pasteurs ont toujours cultivé leur différence, revendiqué leur autonomie et au début des années 90, leurs fils, par milliers, se sont engagés dans les rangs du Front patriotique rwandais. Après 1994, ils ont été renvoyés au Congo, afin de prendre à revers les camps de réfugiés hutus égrenés sur la frontière. Fers de lance de la première guerre du Congo, fantassins de la deuxième, les Banyamulenge ont alors été accusés d’être une «cinquième colonne» de Kigali, jusqu’à ce qu’un de leurs chefs, le commandant Patrick Masunzu, fasse défection et se solidarise avec la cause congolaise. Lorsqu’il prit les armes contre ses alliés d’hier, il entraîna de sévères représailles sur ses compatriotes des haut plateaux, car des hélicoptères venus du Rwanda brûlèrent alors les champs et décimèrent les troupeaux des cousins devenus indociles.
Les Banyamulenge sont désormais divisés : les uns, proches du RCD Goma, ce mouvement rebelle allié de Kigali, ne se consolent pas à l’idée de rentrer dans le rang et menacent de reprendre les armes si le vice-président Azarias Ruberwa et ses compagnons candidats à l’ Assemblée ne sont pas élus. D’autres, proches de Masunzu se présentent comme candidats indépendants, font partie de la majorité présidentielle et misent sur la rancune suscitée par les représailles rwandaises.

Y aurait-il encore des caches d’armes sur les hauteurs inexpugnables de Minembwe ? Que préparent les 47 compagnons de Jules Mutebutsi, ce militaire félon qui avait attaqué Bukavu en juin 2004, des hommes qui sont récemment arrivés du Rwanda bien armés, équipés d’appareils de transmission ? Pourraient-ils un jour faire jonction avec Laurent Nkunda, un autre dissident qui tient toujours son bastion de Kiwandja dans le Nord Kivu et reprendre les hostilités? A la veille des élections, les officiers politiques de la Mission des Nations unies au Congo basés à Uvira devront encore attendre pour obtenir la réponse à toutes ces interrogations : un lambeau de brume flottant sur les plateaux a suffi à dissuader le pilote indien de poser son hélicoptère sur la piste de terre battue et l’appareil a dû repartir avec à son bord du matériel électoral, des bâches pour les bureaux, des chaises, des lampes.
Les agents politiques de la Monuc ne cachent pas leur déception, car ils auraient voulu s’assurer qu’à Minembwe aussi, tout se passera bien. Un Congolais venu de Kinshasa, que tout le monde appelle «Mister Cash» et qui ne lâche pas une grosse valise bleue, est furieux lui aussi, car il transporte, non sans risque, la paie des agents électoraux et il sait à quel point la «motivation» déterminera le succès des opérations. Les primes ne sont cependant guère élevées : 35 dollars pour un simple assesseur, 70 pour le président du bureau de vote, 500 pour le responsable du «bureau de liaison». Mais les agents de la Commission électorale indépendante assurent que, lorsqu’ils gravissent les pistes de montagne, portant sur leur tête le matériel électoral, ce qui les motive avant tout, c’est la volonté de faire réussir ces élections. D’ailleurs le capitaine Makangila, qui doit dès jeudi déployer ses policiers sur les haut plateaux n’y tient plus : puisque l’hélicoptère l’abandonne, il réquisitionne une moto à Uvira et assure qu’il fera à pied le reste du chemin : «J’arriverai aujourd’hui, coûte que coûte …»
Malgré l’éloignement, les candidats tiennent à se rendre à Minembwe : à bord d’un hélicoptère privé, le vice-président Ruberwa est venu saluer ses cousins, puis il a tenu meeting à Uvira, fief des Babembe et des Mai Mai qui étaient hier ses ennemis jurés. Ici, les jets de pierre, les injures font désormais partie du passé; contrairement à ce qui se passe à Kinshasa, les affiches ne sont pas déchirées, les réunions électorales ne sont pas chahutées par des opposants. Cependant, les observateurs électoraux déjà installés dans les rares hôtels de la petite ville d’Uvira avouent qu’ils ne dorment plus : chaque soir, la fête électorale se prolonge par de la musique, des libations et tous les candidats se succèdent dans la rue principale, dans une atmosphère de joyeuse tolérance. A Bukavu aussi, Ruberwa a pu réunir la foule sans être importuné, même si les gens, en riant, criaient «vive Kabila» sur son passage…
Certes, rien n’est gagné dans cette région explosive: aux abords du parc de Kahuzi Biega, des villageois ont arrêté un jeune homme qui semblait être un éclaireur pour Laurent Nkunda, à Kanombo sur les haut plateaux, les infiltrés venus du Rwanda ont installé un quartier général inexpugnable, dans la plaine, des Mai Mai, arguant de ces menaces, ont refusé d’aller au brassage et de se fondre dans la nouvelle armée nationale.
Chaque jour des villageois du Sud Kivu sont encore attaqués, pillés, violés par des hommes d’origine rwandaise dont ont se demande à qui ils obéissent… Il faudra encore des mois, des années, pour que cette région retrouve une paix réelle. Cependant, malgré les retards des hélicoptères, la lenteur du paiement des primes, le fait que les téléphones satellites qui permettront de transmettre les résultats n’ont pas encore été distribués partout, il est déjà un miracle dont personne ne doute et qui justifie déjà la fête : dans ce Sud Kivu jadis épicentre de la guerre, on votera ce dimanche, autant sinon mieux qu’ailleurs.

COLETTE BRAECKMAN
Source: http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/

Saturday, November 18, 2006

Bref Socio-political and Historical Background of Banyamulenge

A synopsis of Socio-political and Historical Background of Banyamulenge

The Banyamulenge are one of the Congolese ethnic group of Tutsi living in the eastern region of the Democratic Republic of Congo (DRC). They are concentrated in the province of South Kivu close to the Burundi-Congo-Rwanda border. The delicacy and sensitive political position of the Banyamulenge contributed to the start of the First Congo war in 1996, the second Congo in 1998 and continues to a point of contention since 2003, when the Second Congo War officially ended.
According to some historians, the majority of people known as the Banyamulenge migrated gradually from Rwanda, Burundi, and western Tanzania over the course of the last few hundred years. Although it is safe to say that when the country to be known as Congo was formed when a many Banyamulenge were already inhabitant of what became Congo. The historical account states that most came at the end of the 19th century, during the political tensions that accompanied Rwandan Mwami Rwabugiri.
In 1996 the Zairian parliament issued a decree according to which all the Banyamulenge were to be deported to Rwanda, leaving behind all their properties. At the same period eastern Zaire, now Congo was flooded by the Hutus most of them being interahamwe genociders from Rwanda. Determined to resist and fight the Mobutu's injustice, Banyamulenge took arms and sought support from Rwanda in order to overthrow Mobutu. Aware of the danger caused by the extremists Hutus killers at the borders, the Rwandan government took adventage of Mobutu's stupidity and gladly lended the Banyamulenge fighters all the military support they desparetely needed to overthrow Mobutu and resolve the issue of their citizenship once for all.
In response to this perceived threat the Banyamulenge together their allies formed what came to be known as the Alliance of Democratic Forces for Liberation of Congo (AFDL) and led by Laurent Kabila, backed by Rwanda and Uganda, to overthrow the government of Mobutu Sese Seko (Yajabanga) in Zaire. Being natural fighters, Banyamulenge fighters joined by the Rwandan Patriotic Army (RPA) and overthrew the corrupted regime of Mobutu. It is important to state that had no been the Banyamulenge war, Mobutu was going to rule Congo possibly until his death. That is one of the most outstanding accomplishment and contributionn that the Banyamulenge people made in the Congo's political history although they are often not credited for it due to jealous, and hatred from their fellow countrymen. As though the first attempt by Mr. Anzuluni Bembe's abuse of his parliamentarian power to see to it that Banyamulenge are victimised, soon a group of babembe and bafulero known as "Mai-Mai" threatned to invade Banyamulenge as soon as Mr. Kabila turned against his former supporters (Rwanda and Uganda) calling them "foreign occupiers". Once again, to defend themselves against Mai-Mai groups fighting seeking to expel the Banyamulenge again under a false pretext that they (banyamulenge)have connection with Rwanda, as though Kabila had none. The two Mai-Mai groups most active against the Banyamulenge are the Babembe and Barega militias. Nonetheless, these militias were shortly defeated by the powerful Banyamulenge fighters.
Furthermore, time came when some Banyamulenge fought against the RPA force. It was in early 2002, when an extensive fight broke on the Hauts Plateaux ofSouth Kivu what is now the Minembwe district. This was mainly due to Commandant Patrick Masunzu, a Munyamulenge commender in the Rally for Congolese Democracy (RCD-Goma) rebel movement after rebeling against RCD movement. Masunzu accused RCD of not taking care of its soldiers, but working for the interest of Rwanda instead. Since RCD was backed by Rwanda, and since Masunzu himself had been in the RPA, he was then viewed and treated as an ennemi by both the RCD and RPA forces. Both forces decided to capture Masunzu and held him accountable for "desobeying military orders". Determined to fight for what he believed to be a juste cause, Masunzu resisted and gathered Banyamulenge support in an uprising against the RCD-Goma leadership, and implicitly RPA. Consequently a war broke up between Banyamulenge against each other and against RPA. This was a tragic though unnecessary war between brothers. Ever since, there has been a crack in the interrelationship of Banyamulenge and the lack of trust between the Banyamulenge forces and the Rwandan Patrotic Army.
From the year 2000, the Banyamulenge were hemmed into the Hauts Plateaux by Congolese Mai-Mai, the Burundian FDD, and the Rwandan Hutu Armee de liberation du Rwanda (ALiR, interahamwe run movement), and were unable to carry out basic economic activities without the security provided through the RCD-Goma. Numerous families fled to the relative safety of the Burundian capital of Bujumbura. Nevertheless, until recently Banyamulenge made up much of the RCD military wing, the Armée Nationale Congolaise (ANC), and controled the towns of Fizi, Uvira and Minembwe.
Unfortunately surrounded by the ennemies, Banyamulenge continued to be targed for genocide purposes by all extremists including interahamwe, FNL and Mai-Mai militia. In August 2004, 167 Banyamulenge refugees were massacred at a refugee camp in Gatumba, Burundi by a coalition of forces, including DRC forces under Gen. Mbuza Mabe, Burundian Hutu extremists known as FNL who shortly claimed the killing of banyamulenge refugees.
Unfortunately, not only nothing was done about the Gatumba genocide, even some Banyamulenge forces and politicians did nothing to make sure justice was served with regard to Gatumba genocide. Only the attempt of the Vice President Azarias Ruberwa, a Munyamulenge, who suspended his participation in the transitional government for one week in protest, before being persuaded to return to Kinshasa by South African pressure. He was then heavily critized by his own people for not leaving the government that was openly accused for its involvement of the Gatumba Massacre.
Since the end of the 3rd war, marked by the begining of the transitional government, Banyamulenge had a big share of the power in the Congolese politics, having a vice President, one senate and three members of parliament not to mention military officials. However, it remain to be seen whether their political and military power will survive after the transitional government. However, one can be sure that from now on, Banyamulenge power will never be undermined and their history is now stronger and eloquant more than ever in the history of not only the DRC but also the great lakes region.

Akim

Economie: Les Forêts de Minembwe

Fizi, terre des forêts denses

Parmi les territoires du Congo potentiellement foretiers, Minembwe tient une place de choix. Car ce territoire compte plusieurs forestiers dont la plupart ne sont pas encore exploitées. La qualité de bois et les variétés qu'on y trouvent passe de tout commentaire.
A côté du bois, il faut mentionner la valeur médecinale très impressionante que contiennent des arbres, des écorses ou des racines de ces forêts. La particularité des forêts de territoire de Minembwe, c'est aussi cette présence des arbres fétiches chargés des forces qui dépassent tous les essais scientifiques classiques. Malheureusement, il faut encore regretter une sous-exploitation criante de cette richesse forestière de Minembwe.

Akim M

Friday, November 17, 2006

La Potentialité é conomique de MINEMBWE

L'économique de MINEMBWE

Minembwe, terre agricole

Les potentialités que le territoire de Minember regorge sur le plan agricole sont en grande partie encore non suffisament exploitée. En voici les tendances agricoles: (i) Produits vivriers: le maïs, et les haricots sont les principaux produits agricoles cultivés partout le haut-plateau d'Itombwe). Les patates douces et les pommes de terre sont aussi abondament cultivés dans le tout le territoire de Minembwe. Le blé et le milet pourront faire de bonnes récoltes sur les hauts-Plateaux d'itombwe, donc dans le territoire de Minembwe ainsi que le sorgho et houblon s'ils étaient cultivés presque partout dans le territoire de Minembwe. Et d'ailleurs on peut aussi ajouter a` la liste les arachides surtout a` Minembwe si on y cultivent car ils sont cultivés ailleurs dans le territoire voisin de Fizi. Le bananerais de bonnes qualités donnent de recoltes formidables partout à Minembwe, surtout à Ilundu, Bidegu, Runundu, Kabingo et ailleurs. Le manioc a finalement été nouvellement introduite le territoire de Minembwe, il ya possibilité d'en a cultivé presque partout, surtout à Minembwe centre et Milimba.
(ii)Produits agricoles à vocation industrielle: Le café robista à forte teneur se cultive à Ilundu, Kahwela, Runundu et surtout à Lulenge. Le café arabica et le quinquina sont plus sceptible d'y etre cultivé et seront plus supérieur que celle de montagne de Bukavu.

Akim

Sunday, November 12, 2006

Minembwe Gathering


Posted by Akim



Mountain Runundu, the Heart and Symbol of Minembwe FOR YOU TO EXPLORE