JOURNAL MINEMBWE/ MINEMBWE FREE PRESS
Bien Venue au Journal Minembwe. Welcome to Minembwe Free Press. Minembwe Free Press est un journal au service de la communauté Banyamulenge en particulier et toute la communauté globale des internautes. Ce Journal en ligne est un espace d'expression, d'information, d'échange d'idées autour des enjeux actuels au sujet de notre peuple et notre territoire de Minembwe. Ce journal se veut interactif. Je vous invite tous a` faire vos contributions. A M. Fondateur et editeur en Chef
Monday, May 16, 2022
Apologie de la haine tribale et de la violence dans l'hémicycle de la RDC: le député Freddy Musambya justifie le lynchage du major FARDC Kaminzobe Joseph
Tuesday, February 1, 2022
ALERTE relatif aux massacres des déplacés banyamulenge de Bibogobogo.
Sunday, January 30, 2022
CRI D'ALARME AU GOUVERNEMENT CONGOLAIS ET MONUSCO
Saturday, January 29, 2022
ÉTAT DE L’INSÉCURITÉ A MINEMBWE
Friday, January 7, 2022
Cri d’alarme contre Claude MISARE, député genocidaire
Les députés Congolais dont le soit disant "honorable" Claude Misaro et Bitakwira ( ex-Ministre) continuent à intoxiquer la population du Sud Kivu en appelant les jeunes Bafulero à prendre des armes et chasser les Banyamulenge dans le Sud Kivu ce qui constitue un grand risque sérieux de génocide déjà en exécution depuis 2017 contre la minorité Banyamulenge en RDC, au moment où les violations des droits humains par les groupes armés Mai Mai sont de plus en plus dénoncées par toutes les organisations des droits humains.
Cet élu, qui figure parmi les extrémistes et tribalistes politiciens congolais est responsable de pérenniser les conflits ethniques à l'Est de la RDC. Il comptait initialement faire chasser les Tutsi Congolais par tous les moyens nécessaires y compris le crime de génocide dont il se rend coupable à ses yeux.
Selon certains observateurs, on se demande comment "dans un pays où il ya absence totale de l'état où ces anarchies peuvent être accepter. Comment on dépense l'argent pour combattre les groupes armés au moment le député comme Misare à Kinshasa met le pays en feu il mobilise sa communauté les Bafulero à tuer les Banyamulenge". Nous appelons les dirigeants des grandes puissances et ONUSIENNES à appelé la RDC à cesser les crimes contre l'humanité exécutés par son armée la FARDC et à respecter les droits humains et libertés fondamentales de la minorité Banyamulenge dans la région du Kivu ainsi que les droits et libertés de circuler librement sur toute l'étendue de leur pays, la RDC.
C'est connu de tous que la RDC est un pays faillite et que ses dirigeants ont échoué à leurs responsabilités de protéger la population à risque d'extermination. À moins que la communauté internationale veut à l'unanimité sacrifier cette population à risque d'extinction; sinon, l'ONU doit trouver une autre solution radicale pour la paix et sécurité durable pour la minorité Tutsis congolais. Le droit à l'autodétermination reste la seule alternative pour assurer l'avenir de ce peuple en danger. Moralité exige et le droit à la protection demande que cette alternative de derrière recours soit mis en accomplication si on ne veut pas assister à une unième genocide dans la region des grands lacs.
Par Achim M
Pour le Journal Minembwe
Friday, December 31, 2021
COMMUNIQUE DU GROUPE D’AUTODEFENSE CIVILE TWIRWANEHO
Saturday, December 11, 2021
Les Extrémistes Congolais deviennent des Cannibales! Où va la RDC?
Incroyable, mais vrai: les tribalistes Kivutiens commence les pratiques de cannibalisme contre les Banyamulenge après avoir échoué leur plan genocidaire!
La mort meurtrière du major Joseph Kaminzobe par les Bembe de Lueba en complicité avec ses collègues de la FARDC dont son chef direct s'ajoute à une sélection des catégories de population Banyamulenge à exterminer. Les bourreaux arrivent jusqu'au traitement des cadavres de leurs victimes dont non seulement ils brûlent, mais aussi mangent aisément comme l'on mange la viande normale.
Le Major Joseph était un officier militaire dans l'armée congolaise dont sa grande responsabilité n'était que la protection des civiles et leurs bien. Mais, pour les tribalistes congolais dont la mission idéologique est devenue l'extermination et l'épuration ethnique des Banyamulenge, même les militaires Banyamulenge ne sont plus épargnés.
Que peut-il y avoir d'ordinaire dans la politique génocidaire des autorités congolaises dont l'activité principale et quotidienne est tout entière tournée vers le meurtre à grande échelle de ses congénères ?
Au Congo, on a besoin des psychiatres et anthropologues qualifiés afin de nous donner une réponse explicative sans détour concernant un agenda militaire et politique de ceux qui dirigent la RDC et consentent à une violence extrême jusqu'au point où les gens tuent et mangent les victimes à cause de leur morphologie et appartenance ethnique et s'en font les exécuteurs directs.
Rappelons clairement que la politique genocidaire des officiers pervers congolais et leurs monstres milices Mayi Mayi est simplement animés d'une haine à l'outrance contre les Banyamulenge jusqu'au sommet de l'état d'exécuter l'épuration ethnique contre les Banyamulenge dans leur pays.
Pour les naïfs d'entre nous qui croient toujours en leur soit disant gouvernement, il faut comprendre que le soit disant gouvernement congolais n'est pas même intéressé de conduire une enquête minutieuse, rigoureuse, et impartiale sur l'assassinat ciblée de leurs officiers afin de mettre les criminels hors état de nuire, car c'est justement leur agenda politique contre les Banyamulenge. Quand c'est les Banyamulenge qui sont victimes, ça devient automatiquement silence radio. Mais il faut avouer que cette politique genocidaire contre les Banyamulenge arrive à l'apogée.
Il faut aussi admettre que le pire danger épouvantable que le président Tshisekedi a instauré en RDC c'est de donner le pouvoir absolu aux extrémistes tribalistes Mayi Mayi en uniformes de l'armée nationale afin d'obtenir une popularité à l'Est du pays.
Toute personne rationnelle et avertie sait que le gouvernement congolais a opté a priori la politique à caractère « inhumain » des meurtres de masse.
Ici il faut souligner que malheureusement le président Tshisekedi a accepté d'apporter son concours aux régimes les plus dévastateurs de l'histoire récente de la république. Le pays continue d'être de plus en plus ingouvernable et sanglant. Mais les voisins et grandes puissances jouent le jeu des sourds-muets à cause des intérêts que leurs offrent le président touristique Mr. Tchilombo.
En plus du danger politique, nous avons à faire à non seulement un genocide contre Banyamulenge en cours depuis début Avril 2017, mais aussi une crise morale et sociologique qui nécessite déployer une anthropologie générale capable de cerner au plus près les conditions sociales et politiques qui justifie comment un officier militaire peut organiser la meurtre même de son subalterne soldat de l'armée gouvernementale à cause simplement de leurs facieces et les brûler vifs au su et au vu de tout le monde! Tel était le cas avant hier à Lueba où un officier militaire ( Major) fût trahi par son supérieur et collègues et livré aux milices Mayi Mayi alors qu'il était tranquille dans un véhicule avec les autres.
Le major Joseph Kaminzobe est un autre victime directe de la politique genocidaire hypocrite de Tshisekedi qui arme les extrémistes politiciens et , les milices extrémistes tribalistes alors qu'il chante la chanson de la paix.
La discrimination et tracasseries des Banyamulenge reste continuellement monnaie courante et avec plus de force encore et il s'agit des violences les plus extrêmes comme le sont les exterminations de masse Banyamulenge de hauts plateaux est très documenté.
Il sied de souligner aussi que les comportements, les symptômes et les silences des bourreaux tant politiciens que militaire congolais sur la politique genocidaire envers Banyamulenge est également très bien documenté.