La Monusco sous l'influence en deguise de la France, l'ennemi juré des Tutsis, decide de se solidariser avec la coalition Tanzano-FDLR-FRDC afin de mettre fin aux derniers resistant des protecteurs des Tutsis dans la region du Nord-Kivu. Le M23 dont l'objectif principale est d'enfinir avec l'oppression contre la population de l'Est du RDCongo, particulierement le retour des refugies longtemps condamnés a` vivre eternellement dans des camps des refugies, et de combattre les terroristes genocidaires du FDLR qui continuent leur agenda d'extermination des Tutsis Congolais, devient malheureusement le cible de la coalition Monusco-FRDC/FDLR. Ou va ce monde malheureusement dirigé par l'ONU quasiment corrumpu jusqu'a` ce degre?
Pour plus d'information, je vous invite a` lire l'article ci-dessous:
L’ONU A Démarré, À 11h00,
Son Offensive Anti-M23 Par Le Rapt Des Civils Rwandaphones À Goma
Ce Jeudi 1e Août 2013, est la date
d’expiration de l’ultimatum fixé à 16h00 par la Monusco afin que le M23 se
désarme volontairement, sous peine de se voir désarmé de force par la Brigade onusienne
tanzano-sudafricano-malawito-FDLRienne. Mais il est surprenant de constater que
4 heures avant l’heure d’expiration de l’ultimatum, la Monusco déclenche les
hostilités en décrétant l’arrestation de tous les Rwandophones vivant à Goma,
et ce en violation flagrante des Droits humains qu’ils sont
sensés protéger.
On nous rétorquera que non, ce sont les agents de
l’ANR qui sont entrain de le faire et nous de répondre, oui bien sûr, mais sous
la barbe de l’ONU qui est là depuis 17ans pour
protéger les civils. Et puis quelle différence ? L’ONU a pris fait et cause en
faveur des FDLR avec lesquels les éléments de la MONUSCO font des bonnes
affaires en RDC sur le dos et au détriment des Congolais. Sa résolution 2098
est tout simplement l’alibi pour légaliser la guerre contre l’ennemi congolais
juré des FDLR. Désormais, il n’est plus facile de distinguer la nationalité
exacte des têtes nègres que cache le casque bleu onusien.
Les Tanzaniens, les FDLR, les Sud-Africains, les
Malawites, les FARDC vêtus en uniforme de l’ONU, c’est du bonnet blanc et blanc
bonnet. Au reste, l’AFDL, le RCD, le CNDP et maintenant le M23 ne sont jamais
entrés en guerre contre les Gouvernements qui se
sont succédés à Kinshasa. C’est, chaque fois, contre les FDLR, pour motif
d’emmener ces derniers à cesser de semer de l’insécurité et des atrocités contre
toutes les populations de l’Est de la RDC, en général, et les Tutsis Congolais
en particulier. Mais pourquoi, se demande-t-on, seuls les kivutiens se
soulèvent-ils, au point de paraître comme les uniques sensibles à ces exactions
des FDLR ? C’est simples, eux, au-delà de simples atrocités imposées aux autres
Congolais, à une partie de sa communauté, est réservé l’éradication pure et
simple ; chose qui les pousse forcément hors de la RDC et qui fait d’eux la
communauté congolaise largement majoritaire dans les camps de réfugiés
congolais en Ouganda, au Burundi et au Rwanda.
La présence pérennisée des FDLR à l’Est de la RDC,
fait d’eux surtout les seuls Congolais privés du droit de retour dans leur
patrie, la RDC, et presque les seuls condamnés à l’apatridie qu’ils rejettent
avec laplus grande violence symbolisée
par leur auto immolation à travers toutes les rebellions congolaises
répétitives dans lesquelles ils n’ont pas le choix de ne pas s’engager. Comptez
le nombre de camps des déplacés internes dans la seule province du Nord-Kivu et
vous rendrez en évidence de ce qui se passe dans cette partie de la RDCongo.
Mais puisqu’à chaque fois que l’on s’attaque à ces FDLR, le Gouvernement
congolais pose en bouclier protecteur de ces forces négatives étrangères, il
est inévitable que les coups portés contre ces dernières atterrissent en plein
visage de ce Gouvernement et, du coup, la guerre est qualifiée de guerre entre
la rébellion contre le Gouvernement congolais. Maintenant, c’est l’ONU de la
France qui (las de commissionner la RDC incapable d’être à la hauteur de la
tâche) qui renforce ce poulain mal motivé pour un enjeu mal compris.
Les Tanzaniens, les Sud-africains et les Malawites viennent, sur
l’invitation de la France socialiste (la même que celle des années du Génocide
de Tutsis au Rwanda voisin) à la rescousse des FARDC. Mais la couverture
onusienne semble mal assortie au projet machiavélique de la France, car ce sera
malaisé pour cette Brigade d’intervention de jouer, à la fois, le rôle de la
MINUAR et de la TURQUOISE (cette dernière avec, comme par hasard, le même
chiffre d’effectif : 3.000 hommes !).
Par Greber le soleil.