Aujourd'hui, le 19 Octobre 2020, les parlementaires nationaux Congolais ont exprimer leurs états d'âme en direct de la TEL National sur la problematique de la fameuse commune rural de Minembwe. L'ensemblee Nationale avait interpellee le Ministre d'Etat et de la Decentralisation son Excellence Me Azarias Ruberwa pour expliquer son role dans l'installation de la commune rurale de Minembwe.
L'évènement était en grande partie caractérisé par les interventions de nature tribaliste et xénophobie de la plupart de soient disant "honorables".
On dirait même que le drame consistait à un acte aussi banal que la politique primitive de la majorité des tribalistes politiciens Congolais, qui en tirent profit pour capter l'attention des publics aussi plus tribales et primitives qu'eux.
Franchement, on a tout vu de nos dirigeants. La bonne chose est qu'au moins le monde entier a aussi assisté à la profondeur et l'ampleur de la haine de nos compatriotes envers les Banyamulenges, non seulement à travers des discours de haine ou d'aversion profonde de l'Autre (notamment Tutsi congolais), mais aussi la discrimination et l'injustice administrative et politique aux quels les Banyamulenges sont soumis en RDC. Il s'agissait tout simplement du fait que l'on a octroyé une entité administrative de base aussi simple qu'une commune rurale a une population totalement enclavée et se trouvant a au moins 200 km de plus proche d'une entité administrative qui donne des services de base tels que certificat de naissance, ou acte de mariage. C'est de quoi il s'agit. Pour la grande majorité de nos parlementaires, la population Banyamulenge n'ont pas les droits de bénéficier les services administratifs comme les restes des congolais. Pour eux, on est des citoyens de tierce classe. La haine et les sentiments anti-Banyamulenge inondaient cette assemblée nationale de la RDC, devenue une moquerie au vu de tous les observateurs tant proche que lointains.
L'ensemblee était caractérisée pour la plus part des divertissements, des discours illusoires des gens assoiffées de visibilité aux écrans des medias sociaux, des politiciens aux raisons qui encouragent la désinhibition des députés dépourvus d'aucun sens de responsabilités et de moralité. Mais qui convergent tous vers le même résultat : la légitimation de leur xenophie en tant que cadre naturel des échanges politico-congolais.
Apres l'exposition explicites, concise, véridique, claire et précise du Mr. Azarias Ruberwa, exposant justement les mensonges et les affirmations gratuites, ainsi que les coneries de certains soient disant députés présent, tout le monde était visiblement embarrasses. Effectivement, Ministre Ruberwa a démontré noir sur blancs que, il avait au fait l'ordre de mission du premier ministre, sa mission était approuvée par le conseil des Ministres, qu'il était parti `a Minembwe, non pas pour l'installation de la commune rurale de Minembwe comme prétendaient ces tribalistes menteurs députés, et qu'il n'avait même pas participer à l ;installation car celle-ci était fait par le Ministre de l'intérieur en presence du gouverneur de la province du Sud Kivu, et que la commune de Minembwe ne couvre que 10 km carrée comme l'a confirmé le Ministre de l'intérieur Mr Lwabanja, et non pas le 150 et plus dont parlaient ces menteurs Franchement, le ridicule ne tue pas.
Mais bien évidemment comme les politiciens congolais n'ont pas honte, la dimension affective fait partie structurante de leurs natures et leurs médias dits de masse, ils ont vite changé leurs communication politique, entre autres, se sont très vite intéressés à l'instrumentalisation des émotions de leurs bases aux faibles esprits à des fins de propagande de la fameuse sous-entendu Balkanisation avec des préoccupations politiques tribales.
On pouvait voir clairement certains d'entre-eux au cœur des manifestations émotives avec leurs discours de haine prolifèraient des insultes, menaces, injures, rien ne semblait plus retenir certains. Heurseusement que Madame la présidente de l'assemblée, qui certes, a démontré une maturité d'une vraie femme d'Etat, a tentée a` maintes reprises de lutter contre la prolifération de ces propos haineux.
Bref, il convient de noter que dans ces dernières 3 années, les discours politiques de plusieurs politiciens congolais contre la population Banyamulenge couvre toute forme d'expression qui répand ou justifie la haine ethnique, la xénophobie, l'antisémitisme ou toute forme de haine basée sur l'intolérance, incitant le génocide contre Banyamulenge qui est en cours depuis Mars 2017.
Ak
Journal Minembwe
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