Saturday, December 11, 2021

Les Extrémistes Congolais deviennent des Cannibales! Où va la RDC?

Incroyable, mais vrai: les tribalistes Kivutiens commence les pratiques de cannibalisme contre les Banyamulenge après avoir échoué leur plan genocidaire! 

La mort meurtrière du major Joseph Kaminzobe par les Bembe de Lueba en complicité avec ses collègues de la FARDC dont son chef direct s'ajoute à une sélection des catégories de population Banyamulenge à exterminer. Les bourreaux arrivent jusqu'au traitement des cadavres de leurs victimes dont non seulement ils brûlent, mais aussi mangent aisément comme l'on mange la viande normale. 

Le Major Joseph était un officier militaire dans l'armée congolaise dont sa grande responsabilité n'était que la protection des civiles et leurs bien. Mais, pour les tribalistes congolais dont la mission idéologique est devenue l'extermination et l'épuration ethnique des Banyamulenge, même les militaires Banyamulenge ne sont plus épargnés. 

Que peut-il y avoir d'ordinaire dans la politique génocidaire des autorités congolaises dont l'activité principale et quotidienne est tout entière tournée vers le meurtre à grande échelle de ses congénères ?

Au Congo, on a besoin des psychiatres et anthropologues qualifiés afin de nous donner une réponse explicative sans détour concernant un agenda militaire et politique de ceux qui dirigent la RDC et consentent à une violence extrême jusqu'au point où les gens tuent et mangent les victimes à cause de leur morphologie et appartenance ethnique et s'en font les exécuteurs directs. 

Rappelons clairement que la politique genocidaire des officiers pervers congolais et leurs monstres milices Mayi Mayi est simplement animés d'une haine à l'outrance contre les Banyamulenge jusqu'au sommet de l'état d'exécuter l'épuration ethnique contre les Banyamulenge dans leur pays. 

Pour les naïfs d'entre nous qui croient toujours en leur soit disant gouvernement, il faut comprendre que le soit disant gouvernement congolais n'est pas même intéressé de conduire une enquête minutieuse, rigoureuse, et impartiale sur l'assassinat ciblée de leurs officiers afin de mettre les criminels hors état de nuire, car c'est justement leur agenda politique contre les Banyamulenge. Quand c'est les Banyamulenge qui sont victimes, ça devient automatiquement silence radio. Mais il faut avouer que cette politique genocidaire contre les Banyamulenge arrive à l'apogée. 

Il faut aussi admettre que le pire danger épouvantable que le président Tshisekedi a instauré en RDC c'est de donner le pouvoir absolu aux extrémistes tribalistes Mayi Mayi en uniformes de l'armée nationale afin d'obtenir une popularité à l'Est du pays. 

Toute personne rationnelle et avertie sait que le gouvernement congolais a opté a priori la politique à caractère « inhumain » des meurtres de masse. 

Ici il faut souligner que malheureusement le président Tshisekedi a accepté d'apporter son concours aux régimes les plus dévastateurs de l'histoire récente de la république. Le pays continue d'être de plus en plus ingouvernable et sanglant. Mais les voisins et grandes puissances jouent le jeu des sourds-muets à cause des intérêts que leurs offrent le président touristique Mr. Tchilombo. 

En plus du danger politique, nous avons à faire à non seulement un genocide contre Banyamulenge en cours depuis début Avril 2017, mais aussi une crise morale et sociologique qui nécessite déployer une anthropologie générale capable de cerner au plus près les conditions sociales et politiques qui justifie comment un officier militaire peut organiser la meurtre même de son subalterne soldat de l'armée gouvernementale à cause simplement de leurs facieces et les brûler vifs au su et au vu de tout le monde! Tel était le cas avant hier à Lueba où un officier militaire ( Major) fût trahi par son supérieur et collègues et livré aux milices Mayi Mayi alors qu'il était tranquille dans un véhicule avec les autres. 

Le major Joseph Kaminzobe est un autre victime directe de la politique genocidaire hypocrite de Tshisekedi qui arme les extrémistes politiciens et , les milices extrémistes tribalistes alors qu'il chante la chanson de la paix. 

La discrimination et tracasseries des Banyamulenge reste continuellement monnaie courante et avec plus de force encore et il s'agit des violences les plus extrêmes comme le sont les exterminations de masse Banyamulenge de hauts plateaux est très documenté. 

Il sied de souligner aussi que les comportements, les symptômes et les silences des bourreaux tant politiciens que militaire congolais sur la politique genocidaire envers Banyamulenge est également très bien documenté. 

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