Les députés Congolais dont le soit disant "honorable" Claude Misaro et Bitakwira ( ex-Ministre) continuent à intoxiquer la population du Sud Kivu en appelant les jeunes Bafulero à prendre des armes et chasser les Banyamulenge dans le Sud Kivu ce qui constitue un grand risque sérieux de génocide déjà en exécution depuis 2017 contre la minorité Banyamulenge en RDC, au moment où les violations des droits humains par les groupes armés Mai Mai sont de plus en plus dénoncées par toutes les organisations des droits humains.
Cet élu, qui figure parmi les extrémistes et tribalistes politiciens congolais est responsable de pérenniser les conflits ethniques à l'Est de la RDC. Il comptait initialement faire chasser les Tutsi Congolais par tous les moyens nécessaires y compris le crime de génocide dont il se rend coupable à ses yeux.
Selon certains observateurs, on se demande comment "dans un pays où il ya absence totale de l'état où ces anarchies peuvent être accepter. Comment on dépense l'argent pour combattre les groupes armés au moment le député comme Misare à Kinshasa met le pays en feu il mobilise sa communauté les Bafulero à tuer les Banyamulenge". Nous appelons les dirigeants des grandes puissances et ONUSIENNES à appelé la RDC à cesser les crimes contre l'humanité exécutés par son armée la FARDC et à respecter les droits humains et libertés fondamentales de la minorité Banyamulenge dans la région du Kivu ainsi que les droits et libertés de circuler librement sur toute l'étendue de leur pays, la RDC.
C'est connu de tous que la RDC est un pays faillite et que ses dirigeants ont échoué à leurs responsabilités de protéger la population à risque d'extermination. À moins que la communauté internationale veut à l'unanimité sacrifier cette population à risque d'extinction; sinon, l'ONU doit trouver une autre solution radicale pour la paix et sécurité durable pour la minorité Tutsis congolais. Le droit à l'autodétermination reste la seule alternative pour assurer l'avenir de ce peuple en danger. Moralité exige et le droit à la protection demande que cette alternative de derrière recours soit mis en accomplication si on ne veut pas assister à une unième genocide dans la region des grands lacs.
Par Achim M
Pour le Journal Minembwe
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