Gen. Masunzu mu rugendo rw’isaha imwe mu Minembwe

Gen. Masunzu mu rugendo rw’isaha imwe mu Minembwe

Amakuru dukesha imurenge.com aravuga ko kuruyumunsi wa Kabiri tariki 21 zukwa karindwi General Pacifique Masunzu yakoze urugendo rwumunsi umwe mu Minembwe nyuma yigihe kirekire adakandagira mu Minembwe. Impamvu yurwo rugendo ikaba itazwi neza kuko ntacyo General Masunzu yatangarije abaturage.

Andi makuru avugwa nuko harabantu bakoze
 Impanuka yimodoka baribavuye mugiterane cya teguwe n'Intumwa Paul Gitwaza. Ariko abagize impanuka bose bariho bajanwe mu bitaro.
Kandi ntabwo intumwa Paul G. Yari muriyo modoka kuko we yagombaga gusubirayo nindege.

Twibutse abasomyi ba JM ko nanone mu Minembwe barimo kwitegurira ikindi giterane gikomeye cyateguwe n'intumwa Mama Domitila Nabibone uyoboye itorero rya Arche de L'ETERNEL ryo muri Canada. Kikaba giteganijwe kuba mukwa Munani kuva 15-17, 2014.oi

Saturday, July 19, 2014

Statement by the Prime Minister of Canada on the downing of a Malaysia Airlines flight

Statement by the Prime Minister of Canada on the downing of a Malaysia Airlines Le Point.fr - Publié le 18/07/14 à 08h04

Crash en Ukraine : Barack Obama alerte l'Europe sur les conséquences du conflit ukrainienEn Direct. Au lendemain du crash d'un Boeing de la Malaysia Airlines dans l'Est, la communauté internationale cherche à connaître l'origine du drame.Un enquêteur sur les lieux du crash du Boeing 777 de Malaysia Airlines, jeudi soir. ALEXANDER KHUDOTEPLY / AFP



Le Point.fr (avec AFP)



Un Boeing 777 de la compagnie Malaysia Airlines, qui reliait jeudi Amsterdam à Kuala Lumpur, avec 298 personnes à bord, s'est écrasé en Ukraine dans une zone contrôlée par les rebelles pro-russes. Ces derniers et Kiev s'accusent mutuellement d'être à l'origine d'un tir supposé qui pourrait être à l'origine du drame. Une des boîtes noires a été retrouvée par les secouristes, ce qui pourrait permettre d'éclairer les circonstances exactes du crash. Les Pays-Bas, qui comptent 189 victimes, sont en deuil.



18 h 21. Le président américain Barack Obama estime que le crash de l'avion malaisien allait certainement constituer un "signal d'alarme pour l'Europe et le monde" sur les "conséquences d'une aggravation du conflit dans l'est de l'Ukraine". Il a appelé son homologue russe Vladimir Poutine à user de son influence sur les séparatistes ukrainiens. "Il ne va pas rester localisé. Il ne va pas être contenu. [...] Et cela nous rappelle combien les enjeux sont importants pour l'Europe, et pas simplement pour les Ukrainiens."



16 h 35. Un premier rapport du renseignement américain indique que l'avion malaisien MH17 a probablement été abattu par des séparatistes ukrainiens, selon un responsable américain, tout en indiquant que Washington n'en avait pas la certitude. "Il y a des indications (selon lesquelles les pro-russes ont abattu l'avion), mais nous n'avons pas encore tiré de conclusion définitive", indique un responsable américain sous le couvert de l'anonymat.



16 h 15. Double deuil. Une famille australienne a perdu deux membres en Ukraine quatre mois seulement après la mort d'un couple dans le crash d'un autre avion de la Malaysia Airlines au-dessus de l'océan Indien.



16 heures. Le Conseil de sécurité de l'ONU a demandé une "enquête internationale complète, minutieuse et indépendante" sur l'avion malaisien qui s'est écrasé la veille en Ukraine.



Le Conseil, dans une déclaration unanime, a aussi "souligné la nécessité pour toutes les parties d'accorder un accès immédiat à l'endroit du crash pour les enquêteurs".



14 h 55. François Hollande a indiqué vendredi à Niamey qu'il n'y "aurait aucun Français parmi les victimes" du crash d'un avion malaisien en Ukraine, selon les "documents transmis par la compagnie aérienne". Le chef de l'État a toutefois évoqué, en marge d'un déplacement en Afrique, "un cas qui n'a pas été élucidé".





14 h 30. L'avion qui s'est écrasé dans l'est de l'Ukraine jeudi, causant le décès de 298 personnes, avait "un carnet d'entretien en ordre" et "fonctionnait normalement" au moment où le contact a été perdu, assure Malaysia Airlines. "La dernière vérification technique avait été effectuée le 11 juillet et cet avion, qui a un carnet d'entretien en ordre, a volé pendant 17 ans" a détaillé Huib Gorter, vice-président de la branche Europe de Malaysia Airlines, lors d'une conférence de presse à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol.



14 h 20. L'avion de la Malaysia Airlines "a probablement été abattu", selon le ministre néerlandais de la Justice, Ivo Opstelten. Une équipe d'enquêteurs du pays va être envoyée sur place. Les experts des services de renseignement américains estiment que le Boeing 777 a été touché par un missile sol-air. Une enquête est néanmoins nécessaire pour mettre au clair les circonstances exactes de cette "tragédie", selon Ivo Opstelten. "L'enquête examinera la cause, la liste des passagers et le trajet de l'appareil", a-t-il déclaré.



14 h 19 : La télévision officielle russe accuse, presque sans détour, Kiev d'être responsable de la chute de l'avion malaisien abattu dans l'est de l'Ukraine avec près de 300 passagers à son bord, allant jusqu'à relayer la théorie d'un complot visant Vladimir Poutine. "La cible du missile pourrait ne pas avoir été un avion de passagers, mais bien l'avion du Numéro Un", le président russe, qui rentrait d'un voyage de six jours en Amérique latine, a ainsi lancé une commentatrice de la chaîne proche du Kremlin Vesti.



13 h 55. Le Premier ministre britannique David Cameron souhaite que "les responsables" soient amenés à "rendre des comptes" rapidement s'il était avéré que l'accident de l'avion de la Malaysia Airlines en Ukraine a été causé par un missile. "Si, comme cela semble possible, (l'avion) a été abattu, alors les responsables doivent rendre des comptes et nous ne devons pas perdre de temps" pour y parvenir, a déclaré le chef du gouvernement britannique, à l'issue d'une réunion interministérielle de crise. "C'est un incident extrêmement choquant, épouvantable et terrifiant, qui ne peut être toléré", a ajouté David Cameron, qui s'est entretenu par téléphone avec ses homologues néerlandais et australien. Neuf Britanniques se trouvaient dans l'avion, selon Malaysia Airlines. Parmi eux figurent deux supporteurs du club de Newcastle United et un ancien journaliste de la BBC.





13 h 48. Joep Lange, un éminent spécialiste de la lutte contre le sida, se trouvait dans l'avion. La chercheuse française Françoise Barré-Sinoussi - qui préside actuellement l'International Aids Society, ou IAS - a rendu hommage, vendredi, à ce chercheur néerlandais qui "a consacré sa vie à la recherche sur le VIH". "C'est une véritable tragédie qui touche notre communauté", a ajouté cette chercheuse de l'institut Pasteur, prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du VIH.



13 h 26. Le Premier ministre de la "République autoproclamée" de Donetsk, Alexandre Borodaï, a exclu, au cours d'une conférence de presse, tout cessez-le-feu dans l'est de l'Ukraine pourtant réclamé par Washington et les Européens après le crash. Contrairement à ce qu'affirme Kiev, il assure que les insurgés pro-russes laissent les enquêteurs accéder au lieu du drame.



13 h 20. Mariano Rajoy, chef du gouvernement espagnol, souhaite une "enquête indépendante". "Le monde a le droit de savoir ce qu'il s'est passé, et le monde doit faire tous les efforts pour éviter qu'une monstruosité comme celle qui s'est produite n'ait plus jamais lieu", a-t-il ajouté.



13 h 15. L'OSCE annonce être toujours en discussion avec les séparatistes pour créer un corridor d'accès vers l'épave de l'avion.



12 h 50. Kiev accuse les séparatistes pro-russes d'interdire aux enquêteurs l'accès au site du crash. "En ce moment, les séparatistes ne laissent pas les représentants de notre agence d'aviation accéder sur les lieux pour enquêter sur la tragédie", affirme le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk.



12 h 30. Moscou menace de répliquer en cas de tirs ukrainiens sur son territoire.



12 heures. Pour notre spécialiste des questions aéronautiques, Thierry Vigoureux, si l'on applique l'annexe 13 de l'Organisation de l'aviation civile internationale traitant des accidents aériens, la nation qui doit mener l'enquête devrait être l'Ukraine, où s'est déroulé le drame. Les compétences existent dans ce pays à industrie aéronautique importante qui construit les légendaires Antonov. Sauf que depuis le crash, les deux enregistreurs de vol ont déjà été transportés en Russie... (cliquez ici pour lire l'analyse de Thierry Vigoureux).



11 h 40. Le système de missiles ukrainiens était actif le jour du crash de l'avion malaisien, déclare le ministère russe de la Défense.



11 h 30. Le Premier ministre australien considère la réponse de la Russie au crash de l'avion de la Malaysia Airlines, qui avait à son bord plusieurs Australiens, comme "extrêmement peu satisfaisante".





11 h 15. La chancelière allemande Angela Merkel appelle à un cessez-le-feu immédiat en Ukraine, après "la tragédie" du crash de la Malaysia Airlines dans ce pays.



11 heures. Notre spécialiste des questions de défense Jean Guisnel revient sur l'hypothèse selon laquelle un missile a abattu l'avion ukrainien (cliquez ici pour lire son décryptage).



10 h 45. Notre spécialiste des questions aéronautiques Thierry Vigoureux rappelle que les compagnies françaises ne survolaient déjà plus le sud de l'Ukraine avant le crash de jeudi, contrairement à ce qu'avait laissé entendre le secrétaire d'État aux Transports Frédéric Cuvillier (cliquez ici pour en savoir plus).



10 h 30. L'OSCE annonce une réunion d'urgence à Vienne de son Conseil permanent à 12 h 30 (heure de Paris).



10 heures. Les coupables doivent être jugés à La Haye, déclare le Premier ministre ukrainien, accusant les Russes d'être à l'origine de l'attentat.



9 h 45. Certaines des personnes qui n'ont pas pu embarquer dans le vol MH17 qui s'est crashé en Ukraine racontent à la presse leur soulagement. Cliquez ici pour lire : les miraculés du vol MH17.



9 h 12. Cette "tragédie" montre la nécessité d'un "règlement urgent" de la crise, déclare Vladimir Poutine.



9 h 9. David Cameron convoque une réunion de crise.



8 h 35. Une boîte noire de l'avion malaisien a été retrouvée, annoncent les secouristes.





8 h 25. Le secrétaire d'État aux Transports Frédéric Cuvillier estime sur RTL qu'il "peut y avoir des Français" parmi les victimes du crash. Selon lui, il reste "34 passagers non identifiés". François Hollande a affirmé jeudi soir que "plusieurs Français pourraient avoir été" dans l'avion.



Selon des informations de la presse australienne, non confirmées, une centaine des passagers étaient des chercheurs, des praticiens et des activistes spécialisés dans la maladie du sida et qui devaient prendre un vol pour Melbourne une fois arrivés à Kuala Lumpur. Parmi eux, le chercheur néerlandais Joep Lange, figure internationale de la lutte contre le sida. Outre les 154 Néerlandais à bord, l'avion transportait 43 Malaisiens (dont 15 membres de l'équipage), 27 Australiens, 12 Indonésiens, 9 Britanniques, 4 Allemands, 5 Belges, 3 Philippins, un Canadien, selon le dernier décompte fourni par Malaysia Airlines vendredi matin.



8 heures. Pour notre spécialiste des questions de défense Jean Guisnel, si l'hypothèse du missile sol-air prend de la consistance après les déclarations américaines, elle reste à démontrer. En effet, le missile SA-17 Buk, appelé Grizzly par l'Otan, fait partie d'un système mobile complexe composé de plusieurs éléments chenillés. Contrairement à un missile sol-air de type Manpads, il ne peut pas être utilisé par des néophytes et nécessite des équipes entraînées pour sa mise en oeuvre (cliquez ici pour retrouver l'analyse de Jean Guisnel).



7 h 49. Les séparatistes pro-russes disent être d'accord pour offrir un accès sûr aux enquêteurs internationaux, annonce l'OSCE.



CONTEXTE. Le crash de l'avion malaisien transportant 298 personnes dans une zone ravagée par la guerre civile en Ukraine suscite la consternation de la communauté internationale. Des experts américains avancent l'hypothèse d'un tir de missile. Le président américain Barack Obama réclame une enquête "rapide" et "sans entrave" et appelle à un cessez-le-feu "immédiat" dans la région. Après le crash, jeudi après-midi, les autorités de Kiev et les rebelles se sont immédiatement accusés d'être à l'origine d'un tir censé avoir causé la catastrophe, sans qu'un élément matériel permette d'en attribuer solidement la responsabilité.



REGARDEZ cette vidéo amateur, vérifiée par la chaîne américaine CNN, montrant le moment exact de l'explosion de l'avion de Malaysia Airlines peu après qu'il eut touché le sol :









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Thursday, July 10, 2014

KABILA A PILLE LA RDC QUE MOBUTU

Publié: 7 juil 2014

A LA UNE La fortune de « Joseph Kabila » estimée à 15 milliards $US



C’est une information donnée par le magazine américain Forbes (www.forbes.com). Le journal se reporte à des expatriés occidentaux et des experts africains. Dans son édition datée du 30 juin, le très prestigieux journal de l’élite américaine assure qu’à l’opposé, Mobutu Sese Sese qui a dirigé le Congo durant 32 ans avait accumulé cinq milliards $US. A en croire l’auteur, « Joseph Kabila « doit quitter le pouvoir à la fin de son mandat en 2016. Dans le cas contraire, les Etats-Unis et l’Union européenne vont s’attaquer à sa fortune planquée dans des paradis fiscaux.Sous le titre « L’agenda secret néoconservateur d’Obama », Richard Miniter, journaliste d’investigation bien connu qui collabore notamment à cette publication, écrit que Barack Obama qui affiche la posture d’un non-interventionniste au Moyen-Orient se comporte de plus en plus en « néo-conservateur » en Afrique.

En Afrique, note-t-il, le même président se montre fort heureusement plus dynamique. Selon lui, le cas le plus dramatique pour les efforts de l’Administration Obama est sans doute celui de la République démocratique du Congo qui serait, pour lui, un « Etat manqué » bien que doté d’importantes ressources en minerais stratégiques. Il cite au passage l’instabilité qui règne à l’Est avec la présence des rébellions internes et externes.





Au Congo-Kinshasa, dit-il, l’Administration Obama met l’accent principalement sur la « promotion des valeurs démocratiques ». Et de constater qu’il s’agit d’un sujet qui est rarement fait mention hors du continent africain.

Richard Miniter de scruter à la loupe le « système Kabila » à la lumière de la controverse du moment relative à la fin de son second et dernier mandat en décembre 2016. Il assène : « La RDC est dirigée par un homme, Joseph Kabila, qui montre des signes de sa volonté de ne pas quitter le pouvoir en 2016″. « Kabila, poursuit-il, représente à lui seul un specimen de maux dont souffre l’Afrique. Il a hérité la Présidence à la suite de l’assassinat de son père, qui, lui-même, s’était emparé du pouvoir dans le sang et le chaos ».

Citant des sources françaises et allemandes, Miniter assure que « Joseph Kabila » a pu amasser environ 15 milliards USD au cours de la décennie précédente. Cette masse d’argent se trouverait dans des banques situées dans les îles britanniques et ailleurs. « A l’opposé, Mobutu Sese Seko, un dictateur qui a dirigé le Congo durant 32 ans, avait accumulé 5 milliards $ US ». « Kabila a sous son contrôle des concessions pétrolières et a la haute main sur des concessions minières jugées les plus riches du monde ».

Se fondant sur des informations obtenues auprès des expatriés occidentaux et des experts africains et autres, le journaliste fait remarquer qu’à l’instar de son prédécesseur, « Kabila » a érigé la kleptocratie en une affaire de famille. Son frère, Souleymane « Kabila », est soupçonné d’avoir détourné $300 millions du trésor public. « Le frère et la sœur de Kabila (Ndlr : Zoé et Jaynet), qui sont tous les deux députés nationaux, possèdent une société qui détient le monopole de tous les imprimés du gouvernement congolais. C’est le cas notamment du nouveau passeport biométrique ».

Abordant l’aspect politique, Richard Miniter écrit : « Maintenant Kabila parait décidé à se maintenir au pouvoir au-delà de 2016, en violation du prescrit constitutionnel ». Pour lui, l’homme tente ainsi d’instaurer une « présidence à vie ». « La réponse des Etats-Unis a été sans équivoque », martèle-t-il. Cette réponse a été délivrée par l’Envoyé du président Barack Obama en l’occurrence, l’ancien sénateur américain Russ Feingold. Celui-ci a rappelé la phrase prononcée par Obama à Accra. A savoir que « l’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, elle a besoin des institutions fortes. » « Il a raison », admet-il.

Selon lui, Feingold a été tout aussi direct en proposant des actions militaires pour le désarmement des groupes rebelles. L’Envoyé du président américain aurait déclaré à New York Times que, passer l’été, il n’y aura plus d’excuse pour mener des actions militaires d’envergures contre les récalcitrants. Feingold aurait exclu tout « palabre » avec les miliciens Hutu des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda).

Le collaborateur de Forbes de poursuivre qu’ « il est évident que Kabila doit quitter le pouvoir à la fin de son mandat ». « Le plus grand cadeau qu’il pourra faire à son pays est d’inaugurer une tradition de passation de pouvoir dans une ambiance pacifique et dans le respect de la Constitution”. Dans cette hypothèse, souligne-t-il, « il pourrait amorcer une nouvelle page de l’histoire ». « Dans le cas contraire, les Etats-Unis et l’Union européenne vont lui infliger des sanctions au niveau de ses avoirs ». Pour lui, les « biens mal acquis » par « Kabila » ne seront guère à l’abri en dépit du fait qu’ils sont dans des comptes ouverts dans des paradis fiscaux. « Ces biens seront saisis au profit du peuple congolais qui a tant souffert ». « Des prétendus dictateurs corrompus, pourraient ainsi, à l’avenir, quitter le pouvoir rien qu’avec leur propre argent. Ce serait un changement rafraichissant ».

L’Administration Obama pourrait également amorcer un « nouveau départ » en faisant respecter les idéaux chers à l’Amérique que sont la loi, l’ordre, le pluralisme démocratique et la tolérance sociale. Des idéaux qu’il faut appuyer par des actions militaires. « Une politique à étendre au-delà du Congo », tempête le journaliste américain.

A défaut de ces actions, conclut-il, la « doctrine Obama » sera noyée dans une cacophonie contradictoire où on pourra savoir uniquement ce dont on est contre sans toutefois savoir ce qu’il y a lieu de faire ». Pour lui, la situation au Moyen-Orient nécessite une politique américaine aussi claire que cohérente à l’image de celle conduite au Congo.



Lire l’article de Forbes–

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