Wednesday, October 9, 2013

LA BALKANISATION DE LA RDCongo, SEUL ET UNIQUE SOLUTION

La situation sécuritaire au Kivu (Nord-Sud) continue à soulever un certain nombre d’interrogations. Comme si l’on venait de sortir d’un long sommeil et l’on éprouve des craintes, des inquiétudes quant à l’avenir de l’Est du Congo avec toutes ces similitudes troublantes. Depuis 1998 après la tombée du Maréchale Mobutu, presque aucuns n’hésitent plus à parler d’un nouvel ordre politique au Congo. Certains parlent de la balkanisation et confirme même qu`elle est mise en marche, non pas parce qu’ils veulent cette balkanisation, mais plutôt comme une compagne contre l’eventualite de cette nouvel ordre politique national qui doit obligatoirement avoir lieu si et seulement si les Congolais veulent vraiment la paix et sécurité.

Balkanisation : voilà un concept qui suscite un débat houleux et intéressants parmi les intellectuels surtout corrompus et extrémistes Congolais. Ces faux prophètes prétendent faire une analyses politiques ou produisent des fausses informations et des théories parfois même inutiles d’une certaines conspirations occidentale pour balkaniser la RDCongo. Ainsi, lorsqu’on évoque les dangers qui guettent la République démocratique du Congo, ils évoquent tres vite la balkanisation comme quoi ceci serait l’un des objectifs poursuivis par les commanditaires de ce complot machiavélique.

Mais la vérité est simple : tout intellectuel Congolais ou Africain qui connait tres bien l’histoire du Congo et de l’Afrique sait que la Balkanisation du Congo est la seule Solution durable pour la paix, sécurité et même le développement du Congo en général et de l’Est du Congo en particulier. Sinon, on ne peut s’expliquer pourquoi le Kivu, par où tout danger arrive, l’insécurité soit devenue récurrente et que depuis plus d’une dizaine d’années, le pouvoir de Kinshasa ait du mal à rétablir l’ordre et l’autorité de l’Etat. Ce n’est pas pour rien que l’Est de la RDC est devenu le ventre mou, une poudrière de la République et restera comme une épine sous le pied tant qu’elle ne sera pas indépendant. Nul ne doute que si les Congolais etaient des blancs, qui continuent de faire tous les appels à l’alerte qu’un Congo faible, divisé, est un danger dans le quel on ne peut pas continuer de vivre, l’indifférence n’allait pas être aussi totale au sein de la communauté internationale. L’Ex-Yougoslavie et d’autres états de l’Union Soviétique nous servent comme exemple. Mais la vérité historique est têtue. Comme une gangrène, la «nouvelle balkanisation du Congo sera un jour une réalité qu’on le veut ou pas, et bientôt elle sera bel et bien en marche. Malheureusement ceux qui savent qu’ils seront les beneficieurs de cet nouvel ordre politique manquent le courage de le dire ouvertement et publiquement comme si c’est un crime. Ils ont peur des extremistes Congolais qui n’ont aucun sens de la moralité et de droit de l’homme. Ils font comme si ils ignorent que la loi international permet le droit a` l’auto-détermination.

On n’a pas besoin de faire la guerre pour réclamer notre auto-détermination a` l’Est du Congo en moins que ce droit nous soit refuser. Nous devons demander le referendum au Kivu, car c’est la seule et unique solution pour la survie et le développement du peuple de l’Est du Congo. Jusque a quand devons-nous accepter d’être marginalisés, excluent de la société Congolaise ?. Aujourd’hui, les génocidaires Hutus d’FDLR, soutenus par des forces gouvernementales et actuellement Onusiennes continuent de jouir l’avantage de prendre leurs armes contre les Tutsis et les habitants de l’Est. Tout le Nord et Sud Kivu est occupé par ces genocidaires et le pays est devenue leur fief car elle est parmi la partie la plus riche du pays avec l’abondance des minerais, et un couloir propice au trafic d’armes et de drogue. Voila pour quoi ils sont soutenus par les pays occidentaux dont la politique d’hypocrisie leur fait posés pour les sauveurs. Ils condamnent faussement le Rwanda et l’Ouganda pour avoir soutenu les gens qui se battent pour leurs droits, notamment le retour des refugies, et l’expulsion des forces negatives etrangers, mais ils soutiennent ouvertement le gouvernement Congolais qui arme et soutient ouvertement les genocidaires et terroristes (FDLR) ! Ces hypocrites occidentaux n’ont meme pas la moindre moralite jusqu’au point de prendre des sanctions economiques contre ces pauvres pays accusés d’aider ceux qui revendiquent leurs droits et en font ca un crime, pendant qu’ils se glorifient entant que defenseurs de droits humains. Merdes, ou va ce monde ?

Vive la venue de la Balkanisation du Congo

QUI SOUTIENNENT REELLEMENT LA GUERRE EN RDCONGO?

Pour comprendre la génèse du conflit en RDC, un bref résumé indispensable :

Il s’agit tout simplement de la France avec son idéologie génocidaire contre les tutsis de partout en Afrique. L’armée française, après les avoir soutenus, exfiltre les génocidaires rwandais en juillet 1994 en RDC sous le gouvernement du dictateur Mobutu acquis à l’époque à l’autorité française et lâché par les USA. Les forces génocidaires rwandaises continuent à massacrer les populations au Rwanda à partir de la RDC.



En plus de la France, si réellement la communauté internationale veut savoir ceux qui soutiennent la guerre en RDCongo, il ne faut pas confondre les gens. Il suffit de reconnaitre que la guerre est belle et bien soutenue par les pays occidentaux a travers leurs compagnies multinationaux ci-dessous. Il faut nous épargner cette fausse manipulation et propagande comme quoi c’est le Rwanda ou l’Ouganda qui soutiennent la guerre.

Voici la liste des 85 multinationales (ci-dessous) mises en cause par l’ONU dans le pillage de la RDC et financement indirect de la guerre civile à l’Est dans un rapport de 2003. Suite à ce rapport l’ONU n’a pris aucune sanction ce qui n’a fait que renforcer les soupçons de complicité autour de la MONUSCO, force armée onusienne en RDC Parmi ces entreprises, certaines sont accusées de porter une aide logistique voir d’apporter directement de l’armement aux rebelles ou aux forces loyalistes.

Elles sont soient protégées par l’ONU soit par l’Etat qui les héberge ce fut le cas d’Anvil Mining au Canada ou bien d’Afrimex en Grande-Bretagne, ou bien de nombreuses autres multinationales belges en Belgique. A noter qu’un grand nombre sont d’origine d’Afrique du sud en lien étroit avec la Grande-Bretagne et les USA.

1. AFRICAN TRADING CORPORATION Sarl, SOUTH AFRICA

2. AFRIMEX, United Kingdom

3. AHMAD DIAMOND CORPORATION, BELGIUM

4. A.H. PONG & Sons, SOUTH AFRICA

5. A. KNIGHT INTERNATIONAL Ltd, United Kingdom

6. A & M MINERALS and METALS Ltd, United Kingdom

7. ALEX STEWART Ltd (Assayers), United Kingdom

8. AMALGAMATED METAL CORPORATION Plc, United Kingdom

9. AMERICA MINERAL FIELDS (AMFI), USA

10. ANGLO AMERICAN Plc, United Kingdom

11. ANGLOVAAL MINING Ltd, SOUTH AFRICA

12. ARCTIC INVESTMENT, United Kingdom

13. ASA DIAM, BELGIUM

14. ASA INTERNATIONAL, BELGIUM

15. ASHANTI GOLDFIELDS, GHANA

16. AVIENT AIR, ZIMBABWE

17. BANRO CORPORATION, SOUTH AFRICA

18. BARCLAYS BANK, United Kingdom

19. BAYER A.G., GERMANY

20. B.B.L. Banking, BELGIUM

21. BELGOLAISE, BELGIUM

22. CABOT CORPORATION, USA

23. CARSON PRODUCTS, SOUTH AFRICA

24. CHEMIE PHARMACIE NETHERLANDS, HOLLAND

25. COGECOM, BELGIUM

26. C. STEINWEG NV, BELGIUM

27. DARA FOREST, THAILAND

28. DAS AIR, United Kingdom

29. DE BEERS, United Kingdom

30. DIAGEM BVBA, BELGIUM

31. EAGLE WINGS RESOURCES INTERNATIONAL, USA

32. ECHOGEM, BELGIUM

33. EGIMEX, BELGIUM

34. ENTREPRISE GENERALE MALTA FORREST, DRC

35. EUROMET, UK

36. FINCONCORD SA, SWITZERLAND

37. FINMINING, SAINT KITTS

38. FIRST QUANTUM MINERALS, CANADA

39. FLASHES OF COLOR, USA

40. FORTIS, BELGIUM

41. GEORGE FORREST INTERNATIONAL AFRIQUE, DRC

42. HARAMBEE MINING CORPORATION, CANADA

43. H.C. STARCK GmbH & Co KG, GERMANY

44. IBRYV AND ASSOCIATES LLC, SWITZERLAND

45. INTERNATIONAL PANORAMA RESOURCES Corp, Canada

46. ISCOR, South Africa

47. JEWEL IMPEX Bvba, Belgium

48. KABABANKOLA MINING COMPANY, Zimbabwe

49. KEMET ELECTRONICS CORPORATION, USA

50. KHA International AG, Germany

51. KINROSS GOLD CORPORATION, USA

52. K & N, Belgium

53. KOMAL GEMS NV, Belgium

54. LUNDIN GROUP, Bermuda

55. MALAYSIAN SMELTING CORPORATION, Malaysia

56. MASINGIRO GmbH, Germany

57. MELKIOR RESOURCES Inc, Canada

58. MERCANTILLE CC, South Africa

59. MINERAL AFRIKA Limited, United Kingdom

60. NAC KAZATOMPROM, Kazakhstan

61. NAMI GEMS, Belgium

62. NINGXIA NON-FERROUS METALS SMELTER, China

63. OM GROUP Inc, USA

64. OPERATION SOVEREIGN LEGITIMACY (OSLEG) Pvt Ltd, Zimbabwe

65. ORION MINING Inc., South Africa

66. PACIFIC ORES METALS AND CHEMICALS Ltd, Hong Kong

67. RAREMET Ltd, Saint Kitts

68. SARACEN, South Africa

69, SDV TRANSINTRA, France

70. SIERRA GEM DIAMONDS, Belgium

71. SLC GERMANY GmbH, Germany

72. SOGEM, Belgium

73. SPECIALITY METALS COMPANY SA, Belgium

74. STANDARD CHARTERED BANK, U.A.E.

75. SWANEPOEL, South Africa

76. TENKE MINING CORPORATION, Canada

77. THORNTREE INDUSTRIES (Pvt) Ltd, Zimbabwe

78. TRACK STAR TRADING 151 (Pty) Ltd, South Africa

79. TRADEMET SA, Belgium

80. TREMALT Ltd, Belgium

81. TRINITECH INTERNATIONAL Inc, USA

82. TRIPLE A DIAMONDS, Belgium

83. UMICORE, Belgium

84. VISHAY SPRAGUE, USA and Israel

85. ZINCOR, South Africa

LE KIVU DOIT ETRE DECLARE UNE ZONE SINISTREE

Chef de la délégation du M23 aux négociations de Kampala, René Abandi fait le point sur les contacts avec Kinshasa. AFRIKARABIA : - René Abandi, alors que les négociations reprennent ce week-end à Kampala, votre passage à Paris est pour nous une surprise. Vous aviez rendez-vous avec des représentants du gouvernement français ? René ABANDI : - Je suis à Paris parce que nous avons de bons contacts avec le peuple français, pas nécessairement avec le pouvoir. Une rencontre avec un représentant du gouvernement français serait bienvenue, mais ce n’est pas encore programmé. AFRIKARABIA : - Vous le regrettez ? René ABANDI : - La France est un pays important. Nous, Congolais, parlons français, le Congo est le premier pays francophone du monde après la France. La France peut contribuer à des solutions pacifiques au Kivu et à faire l’économie de vies humaines et de bien des souffrances. AFRIKARABIA : - Vous êtes conscient de la mauvaise réputation du M23 ?

René ABANDI : - Pas auprès du peuple de France, mais auprès de personnes qui influencent l’opinion dans le sens des hostilités, oui.

AFRIKARABIA : - Le gouvernement des Etats-Unis vient d’annoncer qu’il supprime son assistance militaire au Rwanda parce qu’il soutient le M23, lequel enrôle des enfants-soldats… ?

René ABANDI : - Il s’agit d’une extraordinaire désinformation. A ma connaissance, le gouvernement rwandais a interdit le recrutement d’enfants soldats depuis de très nombreuse années, et le M23 ne pratique pas davantage ce genre d’enrôlement. Nos avons demandé une enquête internationale pour vérifier que nos n’avons pas d’enfants soldats. Nos sommes prêts à accueillir tous les journalistes qui voudront enquêter également. Mais pas de réponse en ce sens. Nos sommes confrontés à une machination, à des informations fabriquées.

AFRIKARABIA : - On reproche au Rwanda de vous soutenir ?

René ABANDI : - Demandez aux autorités rwandaises de répondre sur ce point. Mais je peux vous dire pour le M23 que le Rwanda ne nous soutient pas. Il est neutre.

AFRIKARABIA : - Pourquoi alors ces accusations, répétées de mois en mois ?

René ABANDI : - C’est ridicule. On a proclamé que 600 militaires rwandais combattaient dans nos rangs. Lorsque ces hommes de Bosco Ntaganda se sont réfugiés au Rwanda, tout la monde a vu que c’étaient des Congolais comme nous. Personne n’a pu établir la présence d’un seul Rwandais parmi ces réfugiés. C’étaient encore des accusations forgées à partir de rien.

AFRIKARABIA : - Pourtant ces accusations ne cessent pas… ?

René ABANDI : - Récemment, les FARDC (l’armée gouvernementale congolaise) a tiré des obus sur le Rwanda pour inciter l’armée rwandaise à entrer dans le conflit. Les gens qui ont ordonné ces tirs veulent provoquer le Rwanda, l’inciter à entrer en RDC.

AFRIKARABIA : - Votre mouvement, le M23, est la cible de toutes les critiques depuis que vous avez occupé la ville de Goma. Vous regrettez aujourd’hui cet épisode ?

René ABANDI : - Occuper Goma, c’était nous assurer un gage territorial pour nous permettre d’ouvrir un dialogue avec Kinshasa, afin de traiter les causes du conflit et les solutions à apporter.

AFRIKARABIA : - Ca n’a abouti qu’à vous marginaliser !

René ABANDI : - La négociation que nous voulions engager a été sabotée à New York. Avez-vous entendu cette déclaration selon laquelle "le M23 lèche ses plaies ?" Comme si nous étions assimilés à des chiens. Cette façon émotionnelle de nous diaboliser, de nous animaliser, est complètement contre-productive. Nous attendons mieux d’un pays comme la France : l’encouragement au dialogue. Si nous nous sommes révoltés, il y avait des raisons. Je ne connais pas une mission de l’ONU qui coûte aussi cher que la MONUSCO, en soutien au régime le plus corrompu du globe. Nous avons droit à un gouvernement plus responsable, l’ONU devait le comprendre.

AFRIKARABIA : - Est-ce vraiment votre base de négociations ? Vous voulez que Kabila se jette par la fenêtre du 10e étage ?

René ABANDI : - Nous ne demandons pas l’impossible. Notre tort, c’est d’avoir une faible voix. Les Etats membres de l’ONU ont les moyens d’imposer la voie de la paix à un régime corrompu et corrupteur. Face à cet appareil étatique gravement défaillant, personne n’accepte que nous élevions la voix. Nous sommes jugés sans débat.

AFRIKARABIA : - Concernant la justice, revendiquez-vous l’impunité pour tous ceux qui pourraient constituer des cibles de la justice internationale ?

René ABANDI : - Croyez-vous que les plus coupables soient chez nous ? Nous voulons une justice juste, pas une justice idéologique. Les criminels sont dans le camp du gouvernement.

AFRIKARABIA : - Et Bosco Ntaganda ?

René ABANDI : - Nous l’avons isolé. C’était déjà beaucoup. Mais après cette mesure, ils se sont dit « le M 23 et maintenant fragile, profitons-en pour les attaquer ».

AFRIKARABIA : - Vous réfutez avoir commis des atteintes graves aux droits de l’Homme ?

René ABANDI : - Le concept de droits de l’Homme est devenu un instrument de manipulation. On voit que ce droit est appliqué au cas par cas, en fonction d’intérêts diplomatiques ou autres de grandes puissances. Les milices gouvernementales et les armées étrangères comme les FDLR sont un problème sérieux de justice.

AFRIKARABIA : - Vous n’incluez pas dans la négociation un droit d’amnistie ou d’oubli en faveur du M23?

René ABANDI : - Non.

AFRIKARABIA : - Et vous ne revendiquez plus l’intégration du M23 dans les FARDC ?

René ABANDI : - Nous ne négocions que pour résoudre les causes profondes du conflit : la discrimination érigée en politique, la non-administration de notre peuple, pris en otage par un pouvoir corrompu qui refuse d’appliquer la décentralisation. Nos voulons aussi qu’on parle de la citoyenneté, du retour des réfugiés, de la reconstitution des villages au profit de tous ceux qui ont été obligés de les fuir. C’est ce que nous appelons promouvoir des « pôles d’attraction citoyenne ». Pour cela, il faut désarmer les milices et les armées étrangères.

AFRIKARABIA : - Ne craignez-vous pas de placer la barre trop haut, à la veille de la reprise des négociations ?

René ABANDI : - Il y a déjà des avancées de contexte. La délégation de Kinshasa s’est engagée à revenir à la table des négociations, de façon permanente et non plus à l’occasion… Conserver Kampala comme lieu de négociation semble acquis. S’il faut nous réunir à Goma, pourquoi pas ? Nous voulons sincèrement avancer. Les questions les plus sensibles ne seront pas abordées en public, elles vont se discuter en aparté. Il y a des questions pratiques à aborder comme la transformation du M23 en parti politique, la libération des prisonniers des uns et des autres.

AFRIKARABIA : - L’agenda des négociations comporte d’autres chapitres ?

René ABANDI : - Effectivement. Par exemple, nous souhaitons que le Kivu soit déclaré zone sinistrée, pour attirer l’attention de la communauté internationale et mobiliser les moyens d’un redressement économique et social, d’une reconstruction.

AFRIKARABIA : - On peut s’attendre à de bonnes nouvelles ?

René ABANDI : - Il y a eu un petit progrès depuis le communiqué du 23 septembre. Dans l’esprit de ce communiqué, la négociation peut s’accélérer. Il faut aussi éviter les manœuvres de certains. Le ministre des Affaires étrangères d’Ouganda a dénoncé le fait que, chaque fois que la négociation avance, la France et la Belgique nous tirent vers la boue. Mais nous avons confiance.

Propos recueillis par Jean-François DUPAQUIER - Afrikarabia